Passioniste de Polynésie

09 mars

SAINTE ALVERE

(4ème siècle)Ses reliques, à Limeuil en Périgord, sont la seule preuve de son existence.

SAINT ANTOINE DE FROIDEMONT

(10ème s.)Confesseur. Moine de Luxeuil, il se retira dans une forête non loin de Beauvais pour y vivre la solitude. 

SAINT BOTOLF

 (+ 655)ou Botulphe. Originaire de Maestricht, il fut converti alors que son pays était encore païen. Il passa alors en Belgique, puis en Angleterre, pour trouver un lieu désertique et mieux se consacrer à Dieu. Les invasins danoises détruisirent son ermitage. Il fut très honoré en Angleterre, jusqu’au jour où celle-ci quitta l’Eglise romaine. 

SAINT BRUNO DE KERFURT

(+ 1009)Il naquit en Saxe. Moine à Rome, puis à Ravenne, il fut remué par l'autorité de saint Romuald dont il adopta la règle de vie, alors qu’il accompagnait en Italie l’empereur Othon III. Il prit le nom religieux de l'évangélisateur des Saxons, saint Boniface et, en 1004 il fut ordonné "archevêque des païens" par le pape Jean X. Il avait trente ans. Grand évangélisateur à la suite de saint Adalbert de Prague, il parcourut ainsi la Prusse, la Russie occidentale et la région polonaise attenante à la Prusse. Lors d'une de ses missions, il fut assassiné avec dix-huit de ses compagnons, le 9 mars 1009, en Moravie orientale.

Martyrologe Romain : Dans la Moravie orientale, en 1009, saint Bruno, évêque de Querfurt et martyr. Alors qu’il accompagnait en Italie l’empereur Othon III, il fut remué par l’autorité de saint Romuald, il se livra à sa règle de vie en recevant le nom de Boniface, puis il retourna en Allemagne, ordonné évêque des païens par le pape Jean X et, dans une de ses courses missionnaires, il fut massacré par des idolâtres avec dix-huit compagnons.

Santa caterina vigri da bolognaSainte Catherine de Bologne

A Bologne, vers la même époque, une autre grande mystique,  Lettrée et artiste, elle vécut les jeunes années de sa vie à la Cour de Marguerite d‘Este, et fut ensuite abbesse des Clarisses de Bologne.

SAINT CESAIRE DE NAZIANZE

 

(+ 369)Frère cadet de saint Grégoire de Nazianze, il le suivit dans les grands centres culturels de son époque où il apprit, avec succès, les mathématiques, l’astronomie, la philosophie, donnant toutefois préférence à la médecine. Nommé médecin du palais impérial à Constantinople, il fut l’un des rares chrétiens à ne pas évoir été exilés par Julien l’Apostat. Sous le règne de Valens, il fut nommé questeur des finances publiques à Nicée. Ce n’est que plus tard qui demandera le Baptême,rndant son âme à Dieu quelque temps plus tard. Son grère, saint Grégoire le théologien, prononcera son éloge funèbre, dont nous avons encore le texte dans la Patrologie grecque. 

Saint Constantin

(+ 576) - Roi de Cornouailles, il mena tout d‘abord une vie déréglée. Puis il se retira dans le Pays de Galles et en Irlande pour faire pénitence. Il se rendit enfin en Écosse pour en être le missionnaire et c‘est là qu‘il fut tué par des pirates

San domenico savio rSaint Dominique Savio 

 Naissance: 02.04.1842  à Riva di Chieri (Piémont) .  Mort: 09.03.1857  à Mondonio
Adolescent : Disciple de Don Bosco. Entre en octobre 1854 à l'Oratoire fondé à Turin par S.Jean Bosco. Fonde à 13 ans la "Compagnie de l'Immaculée Conception"
Béatification: 05.03.1950  à Rome  par Pie XII . Canonisation: 12.06.1954  à Rome  par Pie XII

Dominique Savio naît dans le Piémont près de Turin en 1842. Très avancé au point de vue spirituel et désireux de s’instruire, il a la chance de rencontrer Don Bosco qui l’accepte immédiatement dans son œuvre : “l’Oratoire”. L’enfant adopte avec enthousiasme le programme de son maître : sainteté et salut des âmes, le tout vécu dans un climat de joie à l’école de Saint François de Sales. Se faisant tout à tous, au milieu des autres enfants, spécialement attentif aux plus faibles, il est très bon camarade, mais avec discernement. Deux événements mariaux marquent son parcours à l’Oratoire : la fête de l’Immaculée Conception, le 8 décembre 1854, jour de la proclamation du dogme par Pie IX, et 9 mois avant sa mort, la fondation avec quelques amis de la “compagnie de l’Immaculée”. dont le règlement en trois points était : devoir d’état, apostolat auprès des camarades, culte de l’Eucharistie. N’ayant pas encore tout à fait atteint ses 15 ans, il meurt le 9 mars 1857. Don Bosco écrira sa vie. (Il est le plus jeune saint non-martyr). Pie XII l’a donné pour protecteur aux jeunes, en particulier aux petits chanteurs, mais aussi aux délinquants juvéniles.. 

SAINT FELIX DE RHUYS

 (+ 1308)D’abord ermite dans l’île d’Ouessant, il quitta son ermitage lors des invsasions normandes pour se réfugier à l’abbaye de Fleury, actuellement Saint-Benoît sur Loire. Par la suite, revenu dans son pays d’origine, il restaura la célèbre abbaye de Saint Gildas de Rhuys, en Bretagne.

0309francescacallotSainte Françoise ROMAINE

 En 1440, Ste Françoise Romaine. Elle vécut saintement dans le mariage se consacrant à l’éducation de ses quatre enfants. Veuve à 52 ans après 40 ans de mariage, elle réunit autour d’elle un groupe d’oblates bénédictines du Mont Olivet, dans la “Tor dei Specchi”. Ce n’est pas là cependant qu’elle mourut, mais au chevet de son fils malade. Elle avait vécu en grande intimité avec son ange gardien.

SAINT GREGOIRE DE NYSSE

(+ 394)L’Eglise accueille dans ses martyrologes (livre des témoins, en grec "marturos") et dans ses synaxaires (en grec "sunaxis" assemblée autour d’une personne) sa grand-mère, ses deux parents et cinq de ses frères et soeurs. Pourtant, il ne commençait pas dans cette voie. C’est un intellectuel passionné de rhétorique qui enseigne la philosophie. Son épouse l’adore et c’est réciproque. Quand son grand frère, saint Basile de Césarée, le consacre évêque de Nysse, une petite bourgade rurale de Cappadoce, cet intectuel le ressent comme un exil, mais il l’accepte par devoir dans un monde si peu chrétien. Il se heurte à l’empereur qui soutient l’arianisme et qui l’exile. Il reviendra dans son diocèse à la mort de Valens et se fait le champion de la foi en la Trinité. Il sera l’un des principaux artisans de la victoire de l’orthodoxie au concile de Constantinople en 381. Saint Grégoire de Nysse est sans aucun doute l’un des plus grands théologiens spéculatifs, d’une ouverture d’esprit rarement égalée. Ce grand maître de la théologie contemplative par ses grands traités spirituels, est en même temps un pasteur et un catéchète soucieux de se faire comprendre par tous.

Saint Pacien

 (+ 390) - Évêque de Barcelone et confesseur, ses écrits développent la doctrine évangélique et apostolique du baptême, sacrement de la Foi qui fait participer l‘homme à la victoire du Christ sur la mort

Martyrologe Romain : À Barcelone en Catalogne, vers 390, saint Pacien, évêque. Exposant la foi, il déclarait : « Mon nom est : chrétien, et mon surnom : catholique ».

SAINT URPASIEN

(4ème s.)Martyr. Il était officier de l’empereur Maximien quand il fut arrêté comme chrétien. Après avoir eu le corps déchiré à coups de fouets, il fut enfermé dans une étroite cage de fer et suspendu au-dessus d’un brasier. La chaleur des braises le consumèrent lentement jusqu’à ce qu’il ne devint que cendres.

Saint Vital

Martyrologe Romain : À Armentum en Lucanie, l’an 993, saint Vital, ermite.

40sebaste Saints Martyrs de Sébaste

 

40 soldats de la légion XII Fulminata († 320)

Santi pietro ch oe hyong e giovanni battista chon chang un Saints Pierre Ch’oe Hyong et Jean-Baptiste Chon Chang-un

 Martyrologe Romain : À Nei-Ko-Ri en Corée, l’an 1866, les saints martyrs Pierre Ch’oe Hyong et Jean-Baptiste Chon Chang-un. Pères de famille, ils administraient le baptême et éditaient des livres chrétiens, ce qui leur valut d’être soumis à la torture. Ils demeurèrent tellement fermes dans la foi qu’ils provoquèrent l’admiration de leurs persécuteurs eux-mêmes

Date de dernière mise à jour : 2022-03-04