18 avril
En 1618, au carmel de Pontoise, la Bse Marie de l’ Incarnation. Elle vécut à la perfection, sous le nom de Madame Acarie, la vie d’une femme du monde, d’épouse (elle sauva la vie de son mari qui s’était compromis pendant la Ligue), et de mère. Une parole de St Augustin, trouvée dans ses lectures, la frappa : « Trop est avare à qui Dieu ne suffit ». Elle contribua à l’introduction des carmélites en France, leur donna ses trois filles, et après son veuvage se mit comme soeur converse sous le gouvernement de l’une d’elles. |
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Apollonius l’Apologiste |
Vers l’an 190, : sénateur chrétien de Rome, il fut dénoncé par un de ses esclaves et décapité. Dans son Apologie prononcée devant le Sénat, il déclara : « La foi, c’est à Dieu qu’il appartient de la donner, car en ce domaine un homme n’est pas plus capable d’en éclairer un autre que le soleil un aveugle ».. |
Bse Sabine PETRILLI |
Italie . Naissance: 29.08.1851 à Sienne Mort: 18.04.1923 Religieuse - Fondatrice . Dès 1874 elle mène la vie commune avec trois compagnes. D'où les Sœurs des pauvres de Ste Catherine de Sienne. Béatification: 24.04.1988 à Rome par Jean Paul II |
BIENHEUREUX ANDRE HIBERNON |
(+ 1602)Confesseur. Ses frères franciscains disaient de lui :" Il était doué de toutes les vertus." Né en Espagne à Murcie, il est pauvre. Il se place chez l’un de ses oncles et, à force de privations sur son maigre salaire, il met assez d’argent pour donner une petite dot à sa soeur qui, sans cela, ne pouvait se marier. Puis il quitte le monde pour la vie conventuelle, ne voulant connaître qu’un seul enseignement : celui de la croix. Beaucoup de Maures lui durent leur conversion en cette époque de la "Reconquista". Il ne leur parlait que de Jésus et Jésus les entraînait à sa suite. Ce fut cela le miracle de sa vie. |
SAINTE ATHANASIE |
(9ème s.)Elle naquit dans l’île d’Egine en Grèce. Une destinée étonnante pour celle que ses parents contraignirent au mariage. Seize jours après les noces, des barbares firent une incursion dans l’île et massacrèrent son jeune époux qui travaillait aux champs. Un édit impérial ordonnait à l’époque aux veuves de se marier avec un païen. Ce qu’elle fit, et elle le convertit si bien qu’il voulut entrer dans un monastère. Elle fit de même et quatre ans plus tard elle fut élue higoumène. Elle dut se rendre à Constantinople, mais elle garda la nostalgie de la solitude d’Egine. Dieu lui donna la grâce de l’appeler à la joie du ciel sept ans plus tard. |
SAINTE AYE |
(8ème s.) Elle épousa saint Hidulphe et tous deux se regardaient comme consacrés à Dieu. Leur martyrologe n’en dit pas plus. Il dit l’essentiel :"On ne connaît point le détail des oeuvres saintes opérées par ces deux vertueux époux, faute de documents." (P. Guérin). Qu’importe puisque l’essentiel a été dit. |
SAINT COSMAS |
(9ème s.)Evêque de Chalcédoine. Il sut résister à l’empereur iconoclaste et, pour sa foi dans le culte des Saintes Images, qui sont le témoignage de l’Incarnation du Fils de Dieu, il connut les tourments et l’exil. |
SAINT ELEUTHERE |
(+ 130)Martyr à Messine en Sicile, avec sa mère sainte Anthie. La tradition veut qu’il ait été évêque en Illyrie (actuelle Slovénie) puis venus en Sicile, ils connurent de cruels supplices avant d’être exposés aux bêtes, puis égorgés dans les jeux du cirque. La tradition veut aussi que leurs reliques soient à Rieti en Ombrie. |
SAINT EUTHYME DE CARELIE |
(+ 1435)Confesseur. Vers 1410, il s’en vint en Carélie finlandaise pour évangéliser les chrétiens néophytes. Il fonda à leur intention un monastère orthodoxe dont le rayonnement était un soutien pour leur foi nouvelle. Il dut affronter les Suédois qui, eux aussi, évangélisaient mais en missionnaires de l’Eglise latine. Six années après sa mort, l’Eglise russe le compta officiellement au nombre des saints. |
SAINT JEAN-FRANCOIS REGIS CLET |
(+ 1820)Martyr à Ou-Tchan-Fou en Chine au temps où tant de missionnaires donnèrent le témoignage de la foi qu’ils annonçaient au peuple chinois. Il est fêté au diocèse de Grenoble le 17 février. |
SAINT GAUDIN |
(+ 1176)ou Galdin. Archevêque de Milan. Dès qu’il fut ordonné prêtre, il reçut la charge de chancelier de l’évêque. Il connut, en 1262, le sac de Milan par l’empereur Frédéric Barberousse qui en voulait à la liberté que prenaient les magistrats de la ville. Il aida les habitants de telle manière que ceux-ci le demandèrent comme évêque en 1266. Il fut un pasteur efficace, humble et tout donné à son peuple qui remarquait qu’au sortir de la prière, il était comme un homme divin, rempli de force et de douceur. |
SAINT JEAN DE JOANNINA |
(+ 1526)Martyr. Avec ses parents, originaires de Joannina en Epire grecque, il tenait à Constantinople une petit échoppe de tailleur. Les pressions des Turcs étaient incessantes pour qu’il quitte la foi en Jésus-Christ. Il désirait témoigner jusqu’au martyre. Mais son confesseur l’en dissuada jusqu’au jour du Vendredi Saint 1526 où, devant les attaques des voisins musulmans, il confessa le Christ, rejetant publiquement Mahomet. Ce pourquoi il fut immédiatement arrêté et condamné, au jour du "Vendredi du Renouveau", le vendredi après Pâques, à être brûlé vif quand des chrétiens intervinrent pour éteindre le feu. Il fut alors traîné hors des murailles pour y être décapité. |
SAINT JUBIN |
(+ 1082)ou Gebuin, archevêque de Lyon. Il était l’archidiacre de Langres, dans l’Est de la France, quand son évêque vint à Lyon, en 1077, pour l’élection d’un nouvel évêque. Le précédent, Hugues avait dû se retirer, accusé de simonie. Placé à la tête de cette antique métropole, Géduin demanda au pape saint Grégoire VII de lui accorder le droit de primatie sur les provinces de Sens, de Tours et de Rouen, ce qu’il obtint en 1079. Il rendit son âme à Dieu trois ans plus tard, vénéré par tous les lyonnais. |
SAINT NAUCRACE |
(+ 848)Confesseur. Il était moine au célèbre monastère de Studion à Constantinople au temps de la persécution iconoclaste. Il fut d’abord emprisonné en 811, puis à nouveau en 815, et ce pendant 5 années. Libéré à la mort de l’empereur Léon V l’Arménien, il eut la joie d’assister au "Triomphe de l’Orthodoxie" le 11 mars 843 quand fut définitivement reconnu le culte des Saintes Icônes. |
Parfait |
En 850, prêtre espagnol de Cordoue. Pour avoir, dans une conversation, dit sa foi au Christ, il fut traduit devant le Cadi, condamné et exécuté. |
Bx Idesbald |
L’an 1167, au monastère cistercien de Dunes, près de Dunkerque, , abbé. |
Date de dernière mise à jour : 2022-04-12
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