07 novembre
Saint Amarand |
Martyrologe Romain : À Vieux sur le territoire d’Albi, saint Amarand, vénéré comme martyr. |
Antoine Baldinucci, prêtre jesuite à Pofi, dans le Latium, est né en 1665 ; il est mort le 7 novembre 1717 et fut béatifié par Léon XIII en 1893 . |
|
Saint Athenodore |
Saint Athenodore, évêque de Néocésarée - Asie Mineure († 269) |
Saint Baudin |
Saint Baudin, évêque de Tours († VIe s.) |
Carine |
elle fut martyrisée à Ankara, avec son mari Mélasippe et leur fils Antoine, peut-être au temps de Julien l’Apostat. |
Saint Congar |
Saint Congar, abbé d’origine galloise († VIe siècle). |
Saint Engelbert |
archevêque de Cologne ; son zèle pour défendre les plus pauvres lui valait de solides inimitiés. Il fut assassiné en 1225. Saint Engelbert, archevêque de Cologne († 1225). |
Ernest |
abbé de Zwiefalten, sur le lac de Constance. Il prit part à la deuxième Croisade, mais n’en revint pas. Prenant congé de ses frères, il leur aurait dit : « Je ne compte plus vous revoir ici-bas, car Dieu m’accordera, je l’espère, de verser mon sang pour Lui ». |
Évêque († 693) | |
St Herculan |
Martyrologe Romain : Évêque et martyr à Pérouse en Italie, décapité sur les remparts de la ville par ordre de Totila, roi des Goths qui avait mis le siège devant la ville. |
saint Lazare le Galésiote |
- Près d’Ephèse, il passa ses 41 dernières années sur diverses colonnes, qui devinrent autant de centres monastiques. Pour eux, il rédigea, huit jours avant sa mort, une Règle qu’il signa le jour même de sa mort, le 7 novembre 1054 (l’année même où la Chrétienté se déchira en deux). Martyrologe Romain : Sur le mont Galision près d’Éphèse en Asie, l’an 1054, saint Lazare, stylite. Il vécut en divers lieux sur une colonne pendant bien des années, chargé même de chaînes de fer, se contentant de pain et d’eau, dans un genre de vie très rigoureux qui attira un très grand nombre de fidèles. |
Nom de religion: François de Jésus Marie Joseph Martyrologe Romain : À Tarragone en Espagne, l’an 1872, le bienheureux François de Jésus-Marie-Joseph (François Palau y Quer), prêtre de l’Ordre des Carmes déchaux, qui fonda deux instituts de sœurs carmélites missionnaires, endura dans son ministère de graves persécutions, fut relégué, à la suite d’accusations fausses, dans l’île d’Ibiza, et mourut abandonné de tous. Fêté localement le 20 mars |
|
saint Pierre Wu Guosheng |
Martyrologe Romain : À Zunyi dans la province chinoise de Guizhou, en 1814, saint Pierre Wu Guosheng, catéchiste et martyr, étranglé pour le Christ. |
saint Prosdocime |
Martyrologe Romain : À Padoue en Vénétie, au IIIe siècle, saint Prosdocime, vénéré comme le premier évêque de cette ville. |
Italie Naissance: 09.03.1845 à Pizzighettone ************** Né le 9 mars 1845, à Pizzighettone, il était l’avant dernier d’une fratrie de sept enfants ; il fut baptisé le jour même de sa naissance. Éduqué très chrétiennement par sa mère, qui fut sa première catéchiste, il manifesta, dès l'enfance, un zèle et une joie toute spéciale à aider sa paroisse. De son père il hérita le sérieux et l’amour du travail bien fait. Ayant manifesté son désir de devenir prêtre, il fut freiné par son père, non seulement pour des raisons familiales, mais aussi pour tester la vocation de son fils. Ce ne fut qu’à l’âge de 19 ans que Vincent put réaliser son désir de se consacrer tout entier à Dieu. En 1866 il entra au Séminaire de Crémone et après des études sérieuses, couronnées de succès, il fut ordonné prêtre du diocèse de Lodi à 24 ans : il célébra sa première messe dans la cathédrale de Crémone le 22 mai 1869. La messe sera toujours au centre de sa vie : il y puisera la lumière et la force pour lui-même et pour son apostolat. Il dira même aux Sœurs de son Institut : « le prêtre doit exprimer[pendant la messe], vivre et faire vivre la vie admirable de Jésus dans le ciel et continuer ici-bas la vie qu’Il aurait menée pour accomplir la volonté du Père ». Après son ordination, il fut tout d’abord nommé vicaire auxiliaire dans une paroisse du diocèse et puis, en 1873, curé de Ragona. Ses dons de pasteur excellèrent pour l'éducation des enfants et des adolescents. Après avoir perdu son époux, sa mère s’installa dans la cure et aida, par ses aumônes secrètes, à payer les dettes de la paroisse de son fils. Plus tard, le 28 décembre 1882, sous les instances de son évêque il prit en charge la paroisse de Vicobellignani, où il resta 34 ans. Cette paroisse était en déclin, à cause de l’action des protestants qui avaient mené là un apostolat très actif. Pour le convaincre, son évêque, Mgr Bonomelli, lui écrivit pour lui dire que « cette paroisse et en général toute la région, avait besoin de pasteurs pleins de zèle, désintéressés, exemplaires, d’une grande charité, d’une grande prudence et instruits : ces dons je les décèle en vous et je suis certain de ne pas me tromper… J’espère qu’en une dizaine d’années vous ressusciterez cette paroisse et ferez disparaître l’erreur ». L’évêque se révéla être un prophète, car, avec la prière intense et un généreux dévouement, le père Vincent transforma le pays en une véritable communauté spirituelle. Il était un pasteur zélé, le leader de son troupeau par la parole et l'exemple. Don Vincenzo n'était pas un homme à livres, mais plutôt un homme qui approfondissait tout avec sagesse et méthode, néanmoins il devait souvent lire et écrire. En effet il préparait avec grand soin ses sermons, que tous pouvaient comprendre, et plus tard il rédigea aussi les leçons pour ses religieuses. Sa prédication était le fruit de la prière et de la méditation régulière. Sa messe quotidienne était précédée d’une longue préparation. La célébration était simple, ordonnée, profondément exemplaire dans les paroles et les gestes. Son âme était alors toute tournée vers le Seigneur. En 1885, il fonda la première communauté des ‘Filles de l'Oratoire’ pour aider les jeunes filles. Il écrivit les règles à genoux devant le tabernacle. À ses religieuses il demanda de ne vivre que dans la sainteté et dans la joie. Il leur choisit saint Philippe Néri comme patron. Il meurt le 7 novembre 1917 en disant : « la voie est ouverte, il me faut y aller ». Ses reliques reposent dans la Maison-Mère, à Lodi. Vincenzo Grossi a été proclamé Saint le dimanche 18 octobre 2015, à Rome, par le Pape François (Jorge Mario Bergoglio, 2013) ; avec lui ont été canonisés : María Isabel Salvat Romero, une religieuse espagnole morte en 1998 et le couple Louis et Zélie Martin, les parents de sainte Thérèse de Lisieux, un geste symbolique en plein synode sur la famille. |
|
St Willibrord, fondateur des monastères de Murbach, en Alsace, et d’Echternach, en Luxembourg, où il est enseveli et dont il est le patron. Ainsi résumait-il sa vie : “Au nom du Seigneur, je suis venu d’Angleterre ; j’ai été ordonné évêque d’ Utrecht, et...-aurait-il pu ajouter-...au nom du Seigneur je vis cette année 739 qui sera celle de ma mort”. *************** Willibrord fut annoncé à sa pieuse mère par une éclatante lumière qui lui apparut en songe. Dès sa plus tendre enfance il fut placé, pour son éducation, dans un monastère de l'Angleterre, son pays. Après de brillantes études, ordonné prêtre à trente-trois ans, il sentit le feu du zèle dévorer son âme et résolut de porter l'Évangile en Frise. Il s'embarqua donc avec douze compagnons et aborda sur les rivages du Rhin, au pays des Frisons. La conversion de ces peuples farouches, commandés par des chefs cruels, présentait des difficultés incroyables ; aussi le zèle de l'ardent missionnaire ne fut-il ni toujours ni partout couronné de succès. Plusieurs fois, Willibrord s'exposa au martyre en combattant de front les superstitions des pays où il passait ; mais son heure n'était pas venue ; Dieu le destinait à de plus longs travaux. Il reçut la consécration épiscopale des mains du pape saint Sergius I (687-701), et revint travailler avec une nouvelle ardeur à la conquête des âmes. Poussant ses missions plus avant vers le nord, il eut le bonheur de gagner à Jésus-Christ la plus grande partie des contrées connues depuis sous le nom de Zélande et de Hollande. Le don des miracles ne contribua pas peu à ses succès. Dans une course apostolique, le saint évêque et ses compagnons entrèrent, harassés de fatigue, dans la maison d'un habitant du pays, qui fut très honoré de les recevoir, mais n'avait pas une goutte de vin à leur offrir. Les missionnaires en avaient un peu : leur chef le bénit, et quarante personnes purent satisfaire leur soif. Une autre fois un païen, lui voyant traverser sa propriété, lui adressa des injures ; le lendemain, il fut frappé d'une manière foudroyante par la main de Dieu. Tout pauvre qu'il était, le saint donnait toujours. Douze mendiants vinrent un jour lui tendre la main ; il n'avait qu'un petit flacon de vin, il les fit boire, et le flacon se trouva plein comme auparavant. Ainsi Dieu favorisait l'œuvre de son serviteur. Souvent, l'eau bénite et le signe de la Croix, l'apôtre mettait en fuite l'ennemi des âmes. Dieu lui donna un puissant auxiliaire en son compatriote Winfrid, devenu saint Boniface. À sa mort, son tombeau, trop petit, s'allongea pour le recevoir, et son corps exhala un délicieux parfum. |
|
saints Hyacinthe Castañeda |
Martyrologe Romain : À Ket Cho au Tonkin, en 1773, les saints Hyacinthe Castañeda et Vincent Lê Quang Liêm, prêtres dominicains et martyrs, qui, sous le gouvernement de Trinh Sam, achevèrent leurs travaux apostoliques par l’effusion de leur sang. |
saints Hiéron, Nicandre, |
Martyrologe Romain : À Mélitène en Arménie, au IVe siècle, les saints Hiéron, Nicandre,Hésichius et trente autres martyrs. |
Date de dernière mise à jour : 2022-11-03
Ajouter un commentaire