17 juillet
Revenu sur le tard à la maison de ses parents, il y passa la dernière année de sa vie sans se faire reconnaître, mendiant son pain couchant sous l’escalier… Ce Saint, à l’identité incertaine légua son nom à d’autres Saints, très authentiques. |
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les douze martyrs de Scillitains |
En 180, dans cette petite cité proche de Carthage , ce sont les premiers martyrs de l’Église d’Afrique . Le procès- verbal de leur interrogatoire (l’un des rares qui ait survécu au décret de Dioclétien ordonnant de les détruire) était gardé dans un coffret à côté des Évangiles et des Épîtres. Il témoigne, dans son laconisme, de l’aide promise par le St Esprit. |
Marcelline |
A Milan, vers l’an 400, sœur de St Ambroise, vierge consacrée à Dieu par le Pape St Libère, à St Pierre de Rome, le jour de Noël 353. |
St Léon IV, pape |
En 855, Pape bénédictin. Après le sac de Rome par les Sarrasins, il restaure la « confession » de St Pierre et entoura de murs ce qu’on appela de son nom « Cité Léonine ». |
Clément d’Okrida |
En 916, premier évêque slave, apôtre des Bulgares et fondateur du monastère d’Okrida, en Yougoslavie. |
A Paris, en 1794, cette communauté, au complet, se rendit à la guillotine au chant des Psaumes et des hymnes, après avoir renouvelé leurs promesses du Baptême et leurs vœux de religion et… sur l’ordre de la Prieure, après avoir avalé une tasse de chocolat, de crainte qu’elles ne défaillent en route. En 1790, il y avait 21 sœurs au Carmel de Compiègne dont la plus agée avait 75 ans et la plus jeune 26 ans. Chassées de leur Carmel en 1792, elles s'installèrent dans 3 maisons voisines. Lors d'une perquisition des révolutionnaires, ceux-ci trouvèrent des images du Sacré-Cœur (emblème vendéen et royaliste) ainsi que des lettres destinées à des prêtres réfractaires. Arrêtées, elles furent escortées jusqu'à Paris et là, jugées sommairement et guillotinées sur la Place du Trône (aujourd'hui, Place de la Nation). En montant sur l'échafaud, elles chantaient le Veni Creator et la mère supérieure donna la bénédiction à chacune avant d'être elle-même guillotinée. Seule une sœur en réchappa, absente le jour de l'arrestation, et publia un récit en 1836, basé sur de nombreux témoignages. Elles furent béatifiées en 1905 par Pie X. |
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André Roublev |
moine et iconographe, mort vers 1430.Il atténua ce que la tradition iconographique avait, jusque là, de farouche. A lui pourrait s’appliquer ce que Michel-Ange disait du Bienheureux Fra Angelico son contemporain : « Le peintre d’une telle oeuvre mérite d’être au ciel, pour admirer la beauté de ce qu’il a fait sur la terre » |
Mère Théodore Voiron |
( elle avait été guérie miraculeusement, à l’âge de 3 ans à N.D. de Myans ). Entrée à 17 ans chez les sœurs de St Joseph de Chambéry, elle est, à 24 ans, envoyée fonder une communauté au Brésil, laquelle, bientôt, essaimera en écoles et hôpitaux. Elle-même est promue première provinciale du Brésil ; sa mort en 1925, fut célébrée comme un deuil national. |
Ste Hedwige de Pologne |
En 1399, reine de Pologne ; elle fonda à Cracovie une faculté de théologie, pour que “ les évangélistes “ soient solidement formés. |
Bses Marie-Madeleine Linion |
et comp., martyres († 1794) |
Bx Bénigne Visdomini, |
abbé († 1236) Un Florentin qui s’engagea très tôt dans l’état ecclésiastique. Hélas un péché grave marqua sa vie. Ce qui le décida d’éviter les tentations en entrant ches les moines de Vallombreuse où il fit une telle pénitence qu’il devint une lumière pure pour son Ordre, refusant les dignités que ses frères lui demandaient d’assumer |
Les Sept saints apôtres de Bulgarie |
(† 916) |
St Ennode, |
évêque († 521) L’éloquence et la poésie furent l’occupation de sa jeunesse à Arles. L’amour du monde fut celle de ses premières années de mariage, s’égarant, selon ses biographies, dans les voies corrompues du siècle. Et puis, un jour, Dieu le renversa, comme saint Paul sur le chemin de Damas. Sa femme accepta de rompre la vie conjugale. L’évêque de Pavie le tourna vers les études théologiques. Il mit alors ses talents d’écrivain au service de l’Eglise, s’élevant contre les schismes, écrivant la vie de saint Epiphane et de saint Vincent de Lérins. Elu évêque de Pavie, il fit deux voyages en Orient pour le rapprochement des Eglise à la demande du pape Hormisdas, mais ce fut un échec. Il rentra dans son diocèse auquel il consacra tous ses soins jusqu’à sa mort à l’âge de quarante-huit ans. |
St Frégaud, |
abbé (7e s.) ou Frédégand. Fêté au diocèse d’Arras, il était comme tant d’autres, originaire d’Irlande. Il avait été le compagnon de saint Follian. Il fonda, comme tant d’autres un monastère. Ce qui le conduisit au ciel à Deurne, près d'Anvers. |
St Hyacinthe |
, martyr (4e s.) Martyr en Asie Mineure, en Paphlagonie, qui, dans sa prison, souffrit de cruels tourments et, malgré tout, resta fidèle à l’amour du Christ qui avait donné sa vie pour le sauver. |
St Nersès Lanbronazi, |
évêque († 1198) |
Prêtre en 1911. Entre dans l'ordre de Saint-Basile-le-Grand. Vœux en 1923. Administrateur apostolique de Presov en 1926. Evêque titulaire d'Harpas en 1927. Administrateur apostolique de Mukacev (Slovaquie) en 1939. Evêque résidentiel de Presov en 1940. Juridiction sur tous les grecs-catholiques de Tchécoslovaquie en 1946. Les communistes suppriment l'Eglise grecque-catholique en 1950. Interné en 1951. Condamné à la prison à vie. Il refuse de rejoindre l'Eglise orthodoxe. Meurt en prison. Béatification: 04.11.2001 à Rome par Jean Paul II |
Date de dernière mise à jour : 2021-07-04
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