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Passioniste de Polynésie

06 novembre

 

Bse Béatrice

 moniale cistercienne de l’Olive, en Hainaut. Elle s’était enfuie, mettant sur l’autel de la Ste Vierge les clefs de son emploi et fit mille folies. Longtemps après, elle apprit que soeur Béatrice faisait l’édification de sa communauté ! La Vierge Marie avait tenu sa place tout le temps de ses infidélités ! Légende, sans doute, mais si belle ! qui inspira peut-être “le soulier de satin” de Claudel.

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Bse Christine de Stommeln

Martyrologe Romain : Près de Cologne en Allemagne, l’an 1312, la bienheureuse Christine de Stommeln, vierge, qui communia aux souffrances du Christ et vint merveilleusement à bout de toutes les tentations du monde.

Saint Étienne d'Agde

Saint Étienne d'Agde, évêque († 1046)
Martyrologe Romain : Évêque d’une douceur remarquable, il fit deux fois le pèlerinage de Jérusalem et entreprit la reconstruction de sa cathédrale

 Saint Félix

Martyrologe Romain : À Thinisa en Numidie, au IIIe ou IVe siècle, saint Félix, martyr, dont saint Augustin semble parler, quand il dit : « Il est vraiment heureux, et par son nom et par sa couronne. Car il a confessé le Christ, il fut ajourné pour son supplice et le lendemain son corps a été trouvé sans vie dans la prison. »

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Saint Iltud

Martyrologe Romain : Au pays de Galles, dans le monastère qui a reçu son nom (Llanilltud Fawr), au VIe siècle, saint Iltud, abbé, qui fonda ce couvent, où sa renommée de sainteté et de science excellente rassembla beaucoup de disciples, dont plusieurs devinrent des saints.

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Saint Léonard de Noblac

“Dans la deuxième moitié du premier millénaire après le Christ” St Léonard, patron des prisonniers : il leur accorde la délivrance, souvent, et au moins, la résignation, toujours. “Presque tout l’univers lui reconnaît ce pouvoir” constate une vieille chronique. A St Léonard, en Limousin, où il avait son ermitage, les anciens prisonniers reconnaissants, suspendaient leurs chaînes en ex-voto.

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Parmi les jeunes seigneurs de la cour de Clovis qui abjurèrent le paganisme après la bataille de Tolbiac, il y avait un brillant officier nommé Léonard. Pour des hommes de cette trempe, la vertu commune ne suffit pas : il se fit moine.

À l'école de saint Rémi, près duquel il se fixa, il fit de rapides progrès dans la vertu. « Il était affable dans ses entretiens, fidèle à ses promesses, prodigue par ses aumônes, modeste en ses paroles, humble et simple en tout. »

Clovis, informé par la voix publique de sa sainteté et des merveilles que Dieu opérait par ses mains, voulut le faire évêque ; mais Léonard refusa : « Eh bien ! lui dit le roi, demandez-moi quelque grâce, je vous l'accorderai. - Ô prince ! dit Léonard, accordez-moi le pouvoir de visiter les prisons et de délivrer les prisonniers que je jugerai dignes de cette faveur. »

Clovis fut heureux d'y consentir.

Le saint moine passa quelques temps à Orléans, près de saint Mesmin, abbé de Mici, pour se former aux règles de la vie monastique, puis il traversa le Berry, où il prêcha la foi à des populations encore païennes et obtint un succès immense par sa parole et par ses nombreux miracles.

De là il se rendit en Aquitaine et chercha un lieu solitaire pour se livrer à la prière et à la contemplation des choses célestes. Il trouva cette retraite dans une forêt, près de Limoges, et y mena, pendant vingt ans, une vie plus angélique qu'humaine, dont Dieu seul a le secret.

À sa parole, une source d'eau vive sortit de terre pour alimenter son ermitage. La solitude de ces lieux autrefois sauvages fut bientôt envahie. Une infinité de malades se faisaient transporter auprès du saint et obtenaient leur guérison ; d'autres venaient entendre sa parole et recevoir ses avis. Mais surtout les prisonniers échappés de leur cachot par l'effet de ses prières venaient lui présenter leurs fers en hommage, et recevoir de lui les leçons de la pénitence et de la vie chrétienne.

 Saint Melaine

Saint Melaine, évêque de Rennes († v. 530)
Martyrologe Romain : Il mourut à Platz, son village natal, au bord de la Vilaine, où il avait construit de ses mains une église et rassemblé des moines pour le service de Dieu.

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Saint Paul de
Constantinople,

St Paul de Constantinople, archevêque et martyr († v. 350) 
Martyrologe Romain : En moins de vingt ans, il subit trois fois l'exil pour sa fidélité à la foi apostolique. Il fut rétabli dans sa charge par le Pape de Rome, Jules Ier.
Plusieurs fois chassé de son siège par les ariens à cause de la foi de Nicée, et plusieurs fois rétabli, il fut enfin relégué par l’empereur Constance à Cucuse, petite ville de Cappadoce ; là, dit-on, les manœuvres des ariens le firent étrangler cruellement.

saint Protais

Martyrologe Romain : En Suisse, au VIIe siècle, saint Protais, vénéré comme évêque de Lausanne.

 saint Sévère

Martyrologe Romain : À Barcelone en Catalogne, saint Sévère, évêque, qui passe pour avoir reçu la couronne du martyre.

Bx Simon de Gueldre

A l’abbaye cistercienne d’Aulne, en 1208, convers et maître de grange. Homme de prière que le Pape Innocent III invita à Rome. 

Saint Théobald

Saint Théobald, chanoine († 1070)
Martyrologe Romain : Chanoine régulier, chargé de l’office de sacristain puis d’écolâtre, il ne sortit jamais des bâtiments claustraux, sinon pour assister les malades et pourvoir à leurs besoins.

Saint Winnoc

- Près de Dunkerque, vers 715,  moine bénédiction, supérieur et meunier de sa communauté. Un Ange, souvent, venait l’aider dans son travail. Les meuniers l’ont donc choisi pour patron.

Martyrologe Romain : Breton de naissance, il fut accueilli par saint Bertin parmi les moines de Sithiu, qui fut envoyé bâtir un petit monastère à Warmhoudt, dont il devint le supérieur, travaillant beaucoup de ses propres mains.

 saints Callinique, 
Himère, 
Théodore,

Martyrologe Romain : À Jérusalem, en 638, les saints martyrs Callinique, Himère, Théodore, Étienne, Pierre,Paul, un autre Théodore, Jean, un autre Jean et un autre anonyme. Quand la ville de Gaza fut prise par les Sarrasins, eux qui étaient soldats furent arrêtés, mais exhortés par l’évêque saint Sophrone, ils confessèrent le Christ, et pour cela furent décapités

Vénération des saintes reliques 

celles du Prophète Elisée avaient ressuscité un mort, et, dès les premiers siècles, l’Eglise célébra l’Eucharistie sur les tombes des Martyrs. Les corps des Saints furent membres du Christ et temples du Saint-Esprit. Ils demeurent semence de la résurrection.

Beati martiri spagnoliBx 498 martyrs espagnols

Le 28 octobre 2007, le card. José Saraiva Martins, Préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints, représentant le pape Benoît XVI, a présidé, à Rome, la Messe de béatification de 498 martyrs des “persécutions religieuses” de la guerre civile espagnole. Ces catholiques ont été tués dans diverses circonstances en 1934, 1936 ou 1937 ; parmi eux il y avait deux évêques, vingt-quatre prêtres, quatre cent soixante-deux religieux, trois diacres ou séminaristes et sept laïcs qui « versèrent leur sang pour rendre témoignage de l'Evangile de Jésus Christ…soient dorénavant appelés du nom de bienheureux et que leur fête soit célébrée chaque année le 6 novembre dans les lieux et selon les modalités établies par le droit. »

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Lettre apostolique par laquelle le pape Benoît XVI  a inscrit dans l'Album des Bienheureux 498 Serviteurs de Dieu martyrs en Espagne

Nous, accueillant le désir de nos frères, Lluís Martínez Sistach, Archevêque de Barcelone; Francisco Gil Hellín, Archevêque de Burgos; Antonio Card. Cañizares Llovera, Archevêque de Tolède; José María Yanguas Sanz, Evêque de Cuenca; Antonio Ángel Algora Hernando, Evêque de Ciudad Real; Santiago García Aracil, Archevêque de Mérida-Badajoz; Antonio María Card. Rouco Varela, Archevêque de Madrid; Carlos Osoro Sierra, Archevêque d'Oviedo; Carlos Amigo Card. Vallejo, o.f.m., Archevêque de Séville; Ramón del Hoyo López, Evêque de Jaén; Vicente Jiménez Zamora, Evêque de Santander; Juan Antonio Reig Pla, Evêque Cartagena en Espagne; Carles Soler Perdigó, Evêque de Gérone; Antonio Dorado Soto, Evêque de Malaga; et Ciriaco Benavente Mateos, Evêque d'Albacete; ainsi que de nombreux autres frères dans l'épiscopat et de très nombreux fidèles, après avoir pris l'avis de la Congrégation pour les Causes des Saints, en vertu de Notre autorité apostolique, accordons la faculté que les vénérables serviteurs de Dieu: 

Lucas de San José Tristany Pujol, prêtre profès de l'Ordre des Frères déchaux de la Bienheureuse Vierge Marie du Mont Carmel; Leonardo José Aragonés Mateu, religieux profès de l'Institut des Frères des Ecoles chrétiennes; Apolonia Lizárraga du Très Saint Sacrement, religieuse professe et Supérieure générale de la Congrégation des Carmélites de la Charité et 61 compagnons et compagnes; Bernardo Fábrega Julià, religieux profès de l'Institut des Frères maristes des Ecoles; Víctor Chumillas Fernández, prêtre profès de l'Ordre des Frères mineurs, et 21 compagnons du même Ordre; Antero Mateo García, père de famille, du Tiers Ordre de Saint-Dominique, et 11 compagnons du Deuxième et du Tiers Ordre de Saint Dominique; Cruz Laplana y Laguna, Evêque de Cuenca, et Fernando Español Berdié, prêtre; Narciso de Esténaga Echevarría, Evêque de Ciudad Real, et 10 compagnons; Liberio González Nombela, prêtre, et 12 compagnons du clergé de l'archidiocèse de Tolède; Eusebio del Niño Jesús Fernández Arenillas, prêtre profès de l'Ordre des Frères de la Bienheureuse Vierge Marie du Mont Carmel, et 15 compagnons du même Ordre; Félix Echevarría Gorostiaga, prêtre profès de l'Ordre des Frères mineurs, et 6 compagnons du même Ordre; Teodosio Rafael, religieux profès de l'Institut des Frères des Ecoles chrétiennes, et 3 compagnons du même institut; Buenaventura García Paredes, prêtre profès de l'Ordre des Frères prêcheurs; Miguel Léibar Garay, prêtre profès de la Compagnie de Marie, et 40 compagnons; Simón Reynés Solivellas et 5 compagnons, profès de la Congrégation des Missionnaires du Sacré-Coeur de Jésus et de Marie et de la Congrégation des Soeurs franciscaines Filles de la Miséricorde, et Prudencia Canyelles i Ginestá, laïque; Celestino José Alonso Villar et 9 compagnons, de l'Ordre des Frères prêcheurs; Ángel María Prat Hostench et 16 compagnons, de l'Ordre des Frères de la Bienheureuse Vierge Marie du Mont Carmel; Enrique Sáiz Aparicio et 62 compagnons, de la Société salésienne de Saint Jean Bosco; Mariano de San José Altolaguirre y Altolaguirre et 9 compagnons, de l'Ordre de la Très Sainte Trinité; Eufrasio de l'Enfant Jésus Jesús Barredo Fernández, prêtre profès de l'Ordre des Frères déchaux de la Bienheureuse Vierge Marie du Mont Carmel; Laurentino Alonso Fuente, Virgilio Lacunza Unzu et 44 compagnons, de l'Institut des Frères maristes des Ecoles; Enrique Izquierdo Palacios, prêtre, et 13 compagnons, de l'Ordre des Frères prêcheurs; Ovidio Bertrán Anucibay Letona, Hermenegildo Lorenzo Sáez Manzanares, Luciano Pablo García García, Estanislao Víctor Corsero Fernández et Lorenzo Santiago Martínez de la Pera y Álava, religieux profès de l'Institut des Frères des Ecoles chrétiennes, et José María Cánovas Martínez, prêtre diocésain; María del Carmen, Rosa y Magdalena Fradera Ferragutcasas,  religieuses  professes de la Congrégation des Filles du Très Saint et Immaculé Coeur de Marie; Avelino Rodríguez Alonso, prêtre profès de l'Ordre des Frères de Saint-Augustin, et 97 compagnons du même Ordre, plus 6 compagnons du clergé diocésain; Manuela del Corazón de Jesús Arriola Uranga et 22 compagnes, de la Congrégation des Servantes adoratrices du Très Saint Sacrement de la Charité; qui en Espagne, au cours du XX siècle, versèrent leur sang pour rendre témoignage de l'Evangile de Jésus Christ, soient dorénavant appelés du nom de bienheureux et que leur fête soit célébrée chaque année le 6 novembre dans les lieux et selon les modalités établies par le droit. Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.

Du Vatican, le 26 octobre 2007

Date de dernière mise à jour : 2022-11-03

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