10 septembre
Martyrologe Romain : À Novare en Piémont, au Ve siècle, saint Agabius, évêque. |
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Grande Bretagne Naissance: 1585 Mort: 10.09.1641 ********** Martyrologe Romain : à Londres, en 1641, saint Ambroise Edouard Barlow, prêtre bénédictin etmartyr qui, pendant vingt-quatre ans, il confirma dans la foi et la piété les catholiques de la région de Lancastre ; arrêté alors qu’il prêchait le jour de Pâques, il fut emprisonné puis condamné à mort, sous le roi Charles Ier, parce que prêtre, et soumis aux supplices du gibet à Tyburn. |
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Au 8e siècle, évêque d’Avranches, construisit l’église du Mont St Michel. ******** Évêque d'Avranches († v. 725)
Aubert, originaire de Genêts (Basse Normandie), était évêque d'Avranches lorsque, selon la tradition, l'archange saint Michel lui même serait venu lui faire en songe la demande de fonder un lieu de culte sur le Mont Tombe. Ce n'était pas un lieu commode que cette pointe rocheuse à peine rattachée au continent, couverte de broussailles et seulement habitée, outre les bêtes sauvages, par quelques ermites.
Aubert, une fois réveillé, préféra penser que ce rêve venait du Malin... Et quand, quelques nuits plus tard, le rêve se répéta, l'évêque Aubert, campant sur ses positions, redoubla de prières et de jeûnes pour faire disparaître cette idée désastreuse.... L'Archange alors se fâcha : il apparut une troisième fois à Aubert, lui réitérant sa demande, en la lui enfonçant dans le crâne, au sens propre puisque, une fois réveillé, l'évêque portait sur son os pariétal cette marque en creux que l'on peut encore constater sur ses reliques. Aubert comprit alors qu'il fallait s'exécuter. Il entreprit aussitôt de faire bâtir un petit sanctuaire dédié à saint Michel. Des événements providentiels le guidèrent dans sa tâche : un rond de rosée, un matin de septembre, lui indiqua la forme de l'oratoire, un taureau attaché en montra l'emplacement. Une source fut trouvée, un puit creusé. Il fallut encore arracher une pierre cultuelle païenne. En 708 environ, Aubert envoya des moines chercher au sanctuaire du Mont Gargano en Italie, dédié à saint Michel, des reliques du lieu. Puis, le 16 octobre 709, l'évêque fit la dédicace de l'église et y installa un chapitre de douze chanoines : le Mont Saint-Michel était né. |
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Martyrologe Romain : Sur l’île Madame, au large du port de Rochefort, en 1794, le bienheureux Jacques Gagnot, prêtre carme et martyr. Déporté sous la Révolution française, à cause de son sacerdoce, dans des conditions inhumaines, sur un bateau négrier, il mourut, atteint d’une maladie putride. |
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Saint Némésion |
Martyrologe Romain : À Alexandrie, en 250, saint Némésion, martyr. D’abord accusé calomnieusement de vol, il fut déféré au juge et acquitté, mais peu après, durant la persécution de Dèce, il fut dénoncé comme chrétien devant le juge Émilien qui lui fit appliquer deux fois la torture, puis le fit brûler avec des brigands, le rendant par là semblable au Sauveur crucifié entre deux bandits. |
En 1306, ermite de St Augustin à Tolentino, dans l’Italie centrale, il prêcha tous les jours pendant 30 ans. L’église de Brou fut édifiée en son honneur. ****** Prêtre o.s.a. (1245-1305) La mère de ce saint dut sa naissance à un pèlerinage qu'elle fit à Saint-Nicolas-de-Myre. L'enfant reçut au baptême, en reconnaissance, le nom de Nicolas. Son patron continua de le protéger, et bientôt le petit Nicolas devint son émule dans la sainteté, jeûnant, dès l'âge de sept ans, trois fois la semaine, et aimant les pauvres d'une affection incroyable. À onze ans, il fut reçu dans l'ordre des ermites de Saint-Augustin, où il se fit admirer de tous par la modestie de son maintien, sa parfaite obéissance, son humeur douce et toujours égale, surtout sa chasteté, gardée par d'effrayantes mortifications. À quinze ans, il usait des chaînes, des ceintures de fer et des cilices ; il jeûnait quatre fois la semaine, mangeait peu et des mets les plus grossiers, ne couchait que par terre ou sur une paillasse. On raconte plusieurs visions d'âmes du purgatoire qui lui devaient leur délivrance. Après avoir édifié successivement plusieurs couvents, le fervent religieux est envoyé à Tolentino, où il passe les trente dernières années de sa vie. Là il s'occupe à catéchiser les ignorants, à prêcher la parole de Dieu, à confesser les pécheurs ; les cœurs les plus rebelles se rendent à ses exhortations, il embrase les plus indifférents du feu de l'amour divin, il ébranle les plus obstinés, sa douceur ramène les plus désespérés dans la voie du salut. Le salut des autres ne lui fait pas négliger le sien. On ne saurait dire quand il terminait son oraison; on le trouvait toujours absorbé en Dieu ; il aimait surtout à méditer les souffrances de Jésus-Christ. Nicolas était la terreur du démon, qui venait souvent troubler son oraison en imitant devant lui le cri de tous les animaux, en ébranlant la charpente de la maison, en faisant trembler sa cellule. Un jour l'esprit de ténèbres entra près de lui sous la forme d'un oiseau énorme, qui éteignit, renversa et brisa la lampe par un mouvement de ses ailes ; Nicolas ramassa les morceaux et les rejoignit si merveilleusement, qu'il ne parut pas trace de l'accident. Le démon alla jusqu'à le frapper et à le laisser pour mort ; le saint demeura boiteux toute sa vie des coups qu'il avait reçus. Il partageait avec les pauvres le pain qu'on lui donnait à ses repas, et, un jour, son supérieur lui demandant ce qu'il portait : « Ce sont des fleurs » dit-il, et il montra le pain changé en roses. Pendant les six derniers mois de sa vie, les anges descendaient toutes les nuits dans sa chambre et le réjouissaient de leurs chants. Le 10 septembre 1305, dans le couvent de Saint-Augustin de Tolentino, Nicolas quitte sa demeure terrestre pour la rencontre avec Dieu. |
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- En 1214, abbé cistercien de Locedio en Piémont : il est l’auteur d’homélies sur l’Evangile de la Cène et d’un traité sur la Vierge Marie. Il intervint fréquemment pour réconcilier entre elles les cités de l’Italie du Nord. Martyrologe Romain : Au monastère cistercien de Lucedio, près de Verceil dans le Piémont, en 1214, le bienheureux Ogler, abbé, homme de paix en un temps de haines et de conflits. |
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impératrice de Byzance : elle favorise, en 451, le Concile de Chalcédoine qui sauva la Foi en péril. Martyrologe Romain : À Constantinople, en 453, sainte Pulchérie, impératrice, qui s’appliqua à défendre et de promouvoir la vraie foi. |
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Saint Salvi |
Martyrologe Romain : À Albi, en 584, saint Salvi, évêque. Retiré du cloître, il fut malgré lui ordonné à ce siège; quand survint une épidémie de peste, en bon pasteur, il ne voulut pas s’éloigner de la ville, mais prescrivit des prières publiques et organisa les secours. |
Bx Serlon |
- En 1158, , supérieur des 28 monastères de la congrégation bénédictine de Savigny ; en difficulté avec quelques maisons anglaises de sa filiation, il offrit pour la sauver, de rattacher son Ordre à celui de Cîteaux. La proposition, faite au Chapitre Général de 1147, fut acceptée, en même temps que celle de St Etienne pour sa congrégation d’Obazine. Serlon se retira à Clairvaux, et Robert de Bruges, successeur de St Bernard le pria d’y exercer “le ministère de la Parole”. |
Saint Théodard |
Martyrologe Romain : Près de Spire en Rhénanie, vers 670, la passion de saint Théodard, évêque de Tongres etmartyr, assassiné alors qu’il se rendait près du roi Chilpéric. |
Martyrologe Romain : À Nagasaki au Japon, en 1622, les bienheureux martyrs Sébastien Kimura, jésuite,François Morales, dominicain, tous deux prêtres, etcinquante compagnons, prêtres, religieux, époux, catéchistes, veuves, jeunes et enfants, qui succombèrent pour le Christ à des supplices atroces sur une colline devant une foule immense. |
Date de dernière mise à jour : 2018-09-09
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