Saint Alton
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Martyrologe Romain : En Bavière, commémoraison de saint Alton, abbé, au VIIIe siècle. Irlandais d’origine, il construisit dans la forêt de cette région un monastère, qui prit ensuite son nom.
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Bse Anne Catherine Emmerich
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religieuse mystique allemande, béatifiée en 2004.
Quelques écrits
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Saint Ansbert de Rouen
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Martyrologe Romain : À Hautmont sur la Sambre, dans le Hainaut, vers 695, le trépas de saint Ansbert, qui fut abbé de Fontenelle puis évêque de Rouen et mourut relégué en exil par le maire du palais Pépin d’Héristal.
Bénédictin, évêque et confesseur (? 695)
ou Austrebert, évêque de Rouen.
Il fut d'abord chancelier de France. Renonçant à tous les honneurs et à la vie facile que lui offrait la cour royale de Clotaire III, il choisit de suivre le Christ sous la direction de saint Wandrille, abbé de Fontenelle à qui, plus tard, il succéda. Élu par la suite au siège épiscopal de Rouen, il mourut exilé, pour des raisons politiques, à l'abbaye de Hautmont dans le Hainaut.
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Sainte Apolline
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A Alexandrie, en 249 . “Les persécuteurs, rapporte Eusèbe, brisèrent les jambes et la mâchoire de cette vierge âgée et vénérable, puis ils allumèrent un bûcher et menacèrent de l’y précipiter si elle refusait de prononcer “les formules de l’impiété”... D’elle-même, elle s’élança dans le feu ainsi préparé...” On l’invoque, donc, contre les maux de dents : c’est ce que fit St François de Sales, en ajoutant : “Mon Dieu, si c’est votre volonté ! ” “Et tout aussitôt mon mal a cessé ! Dieu a voulu que ce mal me soit venu aujourd’hui 9 février, en la fête de Ste Apolline, pour nous donner une preuve de la Communion des Saints”.
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Saint Aubert
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évêque de Senlis (? v. 685)
Ausbert, Audebert ou Autbertus. |
Saint Braque
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(? 576)
ou saint Brachion
Honoré à Ménat en Auvergne. C'est au cours d'une chasse, dont il était grand amateur, qu'il rencontra saint Emilien, un pieux ermite, qui le conduisit à la poursuite de Dieu. Il devint à son tour solitaire pour s'en aller un jour rejoindre la multitude des saints du ciel.
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Saint Bravy |
moine (? v. 590)
Successeur de saint Braque (Brachion) comme abbé du monastère de Menat en Auvergne.
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Saint Chamassy |
(6ème s.)
ou Eumache. Natif de Périgueux dans une pauvre famille, il fut mis au service d'une dame qu'entouraient beaucoup de domestiques. Chargé de conduire les bêtes aux pâturages, il s'occupait surtout de Dieu, ce qui lui valut des reproches de sa maîtresse. Il put enfin suivre sa vocation d'ermite et la localité où il mourut, proche de la Vézère, porte toujours son nom : Saint-Chamassy-24260
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Vén Giacomo Abbondo |
prêtre italien (? 1788)
Giacomo Abbondo (1720 - 1788), prêtre italien.
décret du 10 avril 2014
Né près de Vercelli le 27 août 1720, ordonné prêtre le 21 mars 1744. Il étudie la littérature à l'université de Turin puis enseigne dans les écoles de Vercelli. En 1757, il quitte l’enseignement pour devenir prêtre de sa paroisse natale. Bon prédicateur, il anime des catéchèses et des prières recentrant la foi de ses paroissiens dans la bonté de Dieu, dans sa Parole et ses sacrements.
Toujours disponible à l'égard de ses paroissiens, proche des enfants et des jeunes, il laisse l'image d'un excellent curé de campagne parcourant tous les lieux de sa paroisse même les plus éloignés. Il mourut saintement le 9 février 1788 laissant un souvenir respecté par tous.
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Bx Léopold d'Alpandeire |
Religieux o.f.m. cap. (1866-1956)
Léopold d'Alpandeire, au siècle Francisco Sánchez Márquez, à été béatifié le 12 septembre 2010 à Granada (E). La messe solennelle était présidée par le Card. Angelo Amato s.d.b., Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le Pape Benoît XVI.
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Bx Luís Magaña Servín |
Laïc mexicain et martyr († Guadalajara, 9 février 1928)
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Saint Maron
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En 410, en Syrie, , ermite et thaumaturge, considéré comme “le père” de l’Église maronite.
Martyrologe Romain : Sur la montagne près d’Apamée en Syrie, vers 410, saint Maron, ermite, qui se donna de tout son cœur à une pénitence et une vie intérieure profonde. Sur sa tombe fut construit un monastère célèbre, d’où tire son origine la nation qui plus tard portera son nom.
Moine au Liban, père de l'Eglise maronite (? 410)
Il vécut en anachorète dans le nord du Liban dans la région actuelle d'Homs. Il s'était construit une petite hutte à côté d'un temple païen abandonné, mais en fait il passait tout son temps en plein air, s'exposant volontairement à toutes les intempéries. Après sa mort, un monastère s'élèvera sur son tombeau et "Mar Maroun" deviendra un grand lieu de pèlerinage. Ce monastère sera la capitale religieuse des chrétiens de Syrie qui furent appelés "ceux de Maroun" ou maronites. Ils conservèrent ce nom quand, pour éviter d'être exterminés par les musulmans envahisseurs, ils se réfugièrent dans les montagnes du Liban. L'Église maronite compte actuellement près de deux millions de fidèles regroupés en un patriarcat rattaché à Rome de tout temps.
Saint Maroun est fêté le 9 février au Liban.
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Saint Michel FEBRES CORDERO
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FEBRES CORDERO François (Francisco)
Nom de religion: Michel (Miguel)
Equateur . Naissance: 07.11.1854 à Cuenca (Equateur)
Mort: 09.02.1910 à Premia de Mar (Espagne)
Frère des écoles chrétiennes . Poète, philologue (langue castillane). Apostolat en Equateur et en Europe (Belgique, Paris, Catalogne).
Béatification: 30.10.1977 à Rome par Paul VI
Canonisation: 21.10.1984 à Rome par Jean Paul II
Né à Cuenca (Équateur), Miguel, au siècle François Febres, Cordero fut le premier à être admis dans l'Institut des Frères des Écoles Chrétiennes en Amérique Latine.Quarante ans durant, il enseigna à Quito et composa des manuels scolaires en espagnol qui restèrent très longtemps des références. Exilé à Paris puis en Belgique, il finit sa vie en Espagne. Lors de la révolution espagnole, ses reliques furent expédiées en Équateur par crainte de profanation. En 1910, . Il naquit et vécut en Équateur. Un handicap lui rendant la marche difficile fut source d’approfondissement intellectuel et spirituel. Après avoir été leur élève, il entra chez les Frères des Écoles Chrétiennes : 40 ans il se consacra aux enfants, se sanctifiant par là même, selon le charisme de son institut.
frère des Écoles chrétiennes (? 1910)
Il naquit en Equateur, à Cuenca, en 1854. Lorsque les Frères des Ecoles chrétiennes s'établirent en Amérique du Sud, ils commencèrent par l'Equateur. Après avoir été leur élève, Miguel sollicita d'être admis dans l'Institut. Il fut le premier sud-américain à y entrer. Il enseigna à Quito pendant quarante ans, composant des manuels scolaires qui sont devenus et sont encore des classiques dans tous les pays de langue espagnole.
Chassé de sa patrie par des gouvernants anticléricaux, il séjourna à Paris puis en Belgique et enfin en Espagne.
Lorsqu'éclata la révolution espagnole de 1930, ses reliques furent renvoyées en Equateur et reçues en triomphe. Un imposant monument les accueillit auprès de Quito.
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Saint Nicéphore d'Antioche |
Martyr (? 260)
A Antioche de Syrie. Il demanda à mourir à la place d'un prêtre apostat, posa joyeusement sa tête sur le billot que l'apostat venait de quitter par peur de la mort. Il reçut ainsi la couronne du martyre que le prêtre venait de laisser échapper.
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Saint Pierre de Damas |
(8ème s.)
contemporain de saint Jean Damascène, il combattit les hérésies des manichéens et blâmait ouvertement l'Islam. Arrêté sur l'ordre du calif Walid, il eut la langue coupée et fut exilé en Arabie où, sans pouvoir parler, il continue d'annoncer la vraie foi par sa vie et ses écrits, et de célébrer les saints Mystères avant de trouver dans le ciel la juste récompense de ses travaux.
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Prime et Donat
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A Lémélé en Algérie, vers 362 les , diacres, martyrisés dans l’église qu’ils tentaient de soustraire à la profanation des Donatistes.
Martyrologe Romain : Commémoraison des saints Prime et Donat, diacres et martyrs, qui, à Lémelé en Afrique, s’étaient enfermés dans l’église pour protéger l’autel et furent mis à mort par des donatistes, vers 361.
martyrs (? 362)
Diacres africains, martyrisés dans l'église qu'ils défendaient à Lémelé en Afrique contre les attaques des donatistes qui prétendaient que la validité des sacrements dépend de la sainteté de la personne qui les administre
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Saint Raynald
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Martyrologe Romain : Moine camaldule à Font-Avellane qui, devenu évêque de Nocera en Ombrie, maintint avec ténacité son genre de vie monastique : jeûnes, prières, pénitences...
moine puis évêque (? v. 1222)
ou Rainald.
Moine camaldule à Font-Avellane qui, devenu évêque de Nocera en Ombrie, maintint avec ténacité son genre de vie monastique: jeûnes, prières, pénitences...
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saint Sabin de Canossa
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Martyrologe Romain : À Canossa en Apulie, vers 566, saint Sabin, évêque, qui fut ami de saint Benoît et envoyé à Constantinople comme légat par le pape saint Agapit pour défendre la foi orthodoxe contre l’hérésie monophysite.
Évêque (6ème s.)
Évêque près de Bari dans le sud de l'Italie. Nous savons peu de choses de lui, mais le pape saint Grégoire le Grand nous dit qu'il rendit un jour visite à saint Benoît qui aimait saint Sabin à cause de sa sainte vie.
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Saint Théliau
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Martyrologe Romain : Évêque et abbé du monastère de Llandaff, dont de nombreuses églises aussi bien au Pays-de-Galles qu’en Cornouailles et en Armorique célèbrent les éminents travaux.
évêque gallois de Llandaff (? 560)
Téliau, Télio ou Thélo.
On l'honore en Angleterre, à Dol-de-Bretagne et dans une petite localité des Côtes d'Armor. On ne sait rien de plus de cet évêque du Pays-de-Galles. La Bretagne garde pieusement sa mémoire dans bien des paroisses dont il est le titulaire de l'église sinon de la localité. Saint Thélo-22460
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Saints martyrs d'Alexandrie
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Martyrologe Romain : Commémoraison de beaucoup de saints martyrs, qui furent massacrés à Alexandrie par les ariens, alors qu’ils étaient assemblés pour la liturgie dans l’église de Saint-Théonas, vers 375.
(? v. 375)
"Dans la nuit du 8 février 356, le duc Syrien, à la tête de plus de cinq mille hommes de troupe, investit l'église de Saint-Théonas, où les Chrétiens étaient rassemblés en foule pour célébrer une Vigile."
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