01 février
Saint Agrève |
Martyrologe Romain : Dans le Velay, au VIe ou VIIe siècle, saint Agrève, évêque du Puy dont l’apostolat s’étendit jusqu’au Vivarais. Evêque du Puy en Auvergne (7ème s.) |
Saint Anastase de Nauplie |
Martyr en Grèce (? 1655) Il vivait à Nauplie, en Grèce. Peintre habile de son métier, il perdit un jour la tête, à la suite de ses fiançailles rompues. Il se laissa circoncire et fut coiffé du turban musulman. Revenu à lui quelque temps plus tard, il renia l'Islam et réaffirma sa foi chrétienne. Pour cette raison, il fut condamné à être décapité. Après son exécution, la foule excitée déchira son corps et le découpa en morceaux. |
Grand théologien (? 1302) La famille des comtes de Segni attendait beaucoup de ce fils brillant d'intelligence. Il épousa la pauvreté et l'humilité de saint François. Son oncle, le pape Alexandre IV, voulut le tirer de la solitude où il s'était retiré dans les Apennins. Il refusa. Vingt-cinq ans plus tard, un autre membre de sa famille, le pape Boniface VIII eut le même déboire. André refusait d'être cardinal. Grand théologien, à l'égal de saint Thomas d'Aquin, saint Bonaventure et saint Jean Dun Scot, ses contemporains, il connut également des extases mystiques étonnantes. Son biographe dit de lui: "Il mena une vie angélique plus qu'humaine." Martyrologe romain |
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Bse Anne Michelotti |
Fondatrice de la Congrégation des Petites Servantes du Sacré-Cœur (? 1888) Originaire d'Annecy, elle fut marquée par la spiritualité de saint François de Sales. Elle fonda la Congrégation des Petites Servantes du Sacré-Cœur pour soutenir les pauvres dans leur dénuement. Elle-même vécut dans l'humilité, les incompréhensions les plus grandes. Elle fut béatifiée en novembre 1975. |
Bx Antoine le Pèlerin |
"Fol en Christ" (? 1267) Né à Padoue dans une famille aisée, il préféra la pauvreté la plus complète, donnant ses biens aux pauvres et ne vivant que d'aumônes. « Fol en Christ » selon l'expression russe, il se rendit en pèlerinage dans tous les lieux saints : Rome, Lorette, Compostelle, Jérusalem. Pour sa famille, ce n'était que vagabondage. Même ses deux soeurs religieuses, bien rangées dans le monastère, le méprisaient à cause de cette vie errante où il n'avait pas même une pierre pour reposer sa tête. |
Saint Aubert |
Moine bénédictin de Landevenec en Bretagne (? 1129) ou Albert. Moine bénédictin de Landevenec en Bretagne, il devint chapelain des religieuses de Saint-Sulpice, près de Reims. Il est vénéré dans ce diocèse et dans sa Bretagne natale |
Sainte Brigide |
Vierge à Fiesole (9ème s.) On dit qu'elle serait une sœur de Saint André, abbé à Fiesole, en Toscane. Elle aurait été portée par des anges auprès de son frère mourant. Elle mourut après une vie de recluse dans les Apennins. |
Au 5ème siècle, en Irlande dont elle partage, avec St Patrice, le patronage, , fondatrice du monachisme féminin irlandais ; un feu perpétuel brûlait en son honneur, dans son abbaye de Kildare. Martyrologe Romain : Kildare en Irlande, l’an 523, saint Brigitte, abbesse, qui aurait fondé un des premiers monastères de l’île et poursuivi l’oeuvre d’évangélisation commencée par saint Patrice. |
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Bse Candelaria de San José |
Religieuse et cofondatrice des « Hermanas Carmelitas Venezolanas » |
Saint Chartier |
Prêtre du Berry (6ème s.) De ce bon prêtre du Berry, dont sans doute le rayonnement fut grand, il ne reste que la mémoire d'un village, ce qui est déjà un signe que sa sainteté n'était pas passée inaperçue : Saint-Chartier-36400 |
Sainte Cinnie |
Princesse d'Ulster (5ème s.) Princesse d'Ulster, elle fut convertie par saint Patrick qui lui donna le voile de religieuse en fondant avec elle un monastère. Elle convertit beaucoup de ses concitoyens. |
Saint Clair |
Moine bénédictin à l'abbaye de Seligenstadt (? 1048) Il fut d'abord moine bénédictin à l'abbaye de Seligenstadt, près de Mayence, mais il préféra la vie de solitaire à la vie conventuelle et une vie érémitique très austère, vivant selon l'idéal qu'il s'était choisi : "Je ne veux connaître que le Christ et le Christ crucifié", selon la parole de saint Paul. |
Sainte Crewenna |
Moniale irlandaise (5ème s.) Moniale irlandaise, elle accompagna sainte Bréaca, disciple de sainte Brigitte de Kildare lorsque celle-ci se rendit en Cornouailles, sur les rives de la Haye. On ne sait rien de plus, mais le village de Crownan, près de Saint-Erth, garde son nom et sa mémoire. |
Saint David |
A Troade, non loin de la Mer Egée (? 844) et ses frères les saints Syméon et Georges de Mytilène. Ils vécurent en Troade, non loin de la Mer Egée, sur le mont Ida. Syméon voulut imiter les pratiques de saint Syméon le Stylite, servi par son frère Georges qui était dans un monastère voisin, fondé d'ailleurs par saint David. Durant la persécution iconoclaste, Syméon fut exilé et Georges s'en fut prêcher la vraie foi dans les saintes images. Une fois la paix revenue, saint Georges qui avait été contraint d'accepter la charge du diocèse de Mytilène, contribua à l'élection du patriarche saint Méthode. Syméon reprit sa vie de solitaire et David rejoignit ses deux frères dans les demeures célestes en 844 |
Sainte Ella |
abbesse de Laycock (? 1261) Ella Fitzpatrick, par son époux Guillaume(*), était la belle-sœur de Richard Cœur de Lion, prince d'Angleterre. Son époux n'était pas des plus fidèles, ce dont elle souffrait tout en étant indulgente pour son inconduite, espérant toujours qu'il reviendrait à une vie morale plus proche des exigences évangéliques. Ce qui arriva. Au retour de la 3ème croisade et sauvé d'une tempête, Guillaume résolut de ne plus la tromper et de vivre vertueusement. Il tint parole. |
Vierge à Valence dans la vallée du Rhône (6ème s.) ou Jalle, consacrée vierge à Valence au VIe siècle, vécut dans la prière constante et le dévouement aux pauvres et aux malades. |
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Originaire du Suffolk en Angleterre, il se convertit au catholicisme et fit ses études au séminaire anglais de Douai en France, puis à Rome où il entra chez les jésuites. De retour à Londres, il soigna les victimes de la peste de 1636, ce qui n'empêcha pas son emprisonnement sous l'inculpation de trahison. Libéré, il reprit son apostolat neuf années durant. Arrêté de nouveau, il fut livré au martyre à Tyburn. Il fut canonisé en 1970 avec quarante martyrs d'Angleterre et du Pays de Galles Martyrologe Romain : À Londres, en 1645, saint Henri Morse, prêtre jésuite etmartyr. Plusieurs fois arrêté, deux fois envoyé en exil, il fut enfin, sous le roi Charles Ier, à cause de son sacerdoce, enfermé en prison et, après y avoir célébré la messe, pendu à Tyburn. |
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Jean de Châtillon dit jean de la grille |
En 1163, dit “Jean de la Grille” à cause de la clôture qui défendait son tombeau contre la dévotion indiscrète des pèlerins. Il fut chanoine de St Augustin, puis évêque de St Malo. Il était ami de St Bernard. Martyrologe Romain : Dans la ville de Saint-Malo en Bretagne, l’an 1163, saint Jean, évêque. Admirable par son austérité et sa justice, il transféra dans cette ville le siège épiscopal d’Aleth, et saint Bernard le recommanda comme un évêque pauvre, ami des pauvres et amoureux de la pauvreté Evêque d'Aleth (? 1163) Il doit ce surnom à la grille qui entourait son tombeau, pour le protéger tant était grande la dévotion des pèlerins à son égard. Breton de naissance, il entra à Clairvaux et fit profession religieuse dans les mains de saint Bernard lui-même qui l'envoya en Bretagne pour fonder l'abbaye de Buzay et de Bégard. Nommé évêque d'Aleth, il transféra le siège épiscopal à Saint-Malo. Il resta ami de saint Bernarddurant toute sa vie. |
Anne (Anna) MICHELOTTI |
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Italie - Colombie . Naissance: 15.01.1875 à Viarigi (Asti) . Mort: 01.02.1923 à Cucuta (Colombie) Novice Salésien le 17.08.1891. Vœux perpétuels le 02.10.1892. Envoyé à Agua de Dios (Colombie) le 06.08.1894, auprès des lépreux. Prêtre le 24.04.1898.- Fonde la Congrégation des Filles des Très Saints Cœurs de Jésus et de Marie (07.05.1905). avec la Maison "Don Michele Unia". Apostolat dans diverses villes de Colombie et à Tariba au Vénézuela. Béatification: 14.04.2002 à Rome par Jean Paul II |
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Saint Nil de Damas |
Martyr (? 779) Placé à douze ans chez un charpentier qui, de chrétien, était devenu musulman, il fut contraint de danser au cours d'un banquet ce qui fut considéré comme un acte d'adhésion à l'Islam. Neuf ans plus tard, son ancien patron le dénonça comme étant resté chrétien. Durant les tortures qui précédèrent sa décapitation, saint Nil dit à ses juges :"Je resterai chrétien. Il vous appartient de me frapper. A moi, il me revient de supporter les coups." |
Bse Odile Baumgarten |
vierge et martyre (? 1794) En 1793-94, la Terreur faisait rage dans toute la France, particulièrement dans les régions de l’Ouest, où paysans et tisserands avaient pris les armes pour défendre leur foi. En Anjou, il y eut des milliers de victimes. L’histoire constate qu’un grand nombre d’entre elles furent exécutées en haine de la foi. Quatre-vingt-dix-neuf de ces martyrs ont été proclamés bienheureux, le 19 février 1984, par le Pape Jean-Paul II. Parmi eux, une fille de la Charité, sœur Odile Baumgarten, originaire de Gondrexange, dans le diocèse de Metz. Elle était entrée à vingt-quatre ans chez les Filles de la Charité de Metz: elle servit ensuite quelques mois à l’hôpital de la Maison de Brest puis fut nommée à l’hôpital Saint-Jean d’Angers pour être employée à la dépense. Elle fut au nombre des fusillés du 1er février 1794. |
A Aoste, au 6ème siècle, , un irlandais qui évangélisa le midi de la France. Passant par la cité d’Aoste, il en fut nommé archidiacre : les querelles de l’arianisme l’obligèrent à se retirer. Il fonda la collégiale St Ours. Prêtre à Aoste (6ème s.) Il serait né en Irlande pour venir dans la région de Digne dans les Alpes où son évangélisation marqua grandement la population. Puis il arriva dans la vallée d'Aoste où il seconda l'évêque et fonda une collégiale. Il était bon pour les pauvres et on a trouvé de vieux autels où on voit saint Ours entouré de pauvres et leur distribuant des chaussures. Il est l'un des patrons spirituels de la vallée d'Aoste. Une localité s'est placée sous son patronage : Saint Ours-73410. |
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évêque à Trois-Châteaux Martyrologe Romain : Dans la cité du Tricastin, dans la région de Vienne, sans doute au IVe siècle, saint Paul, évêque, dont la ville a pris ensuite le nom. |
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Saint Pierre de Galatie |
(? 404) Son biographe, Théodoret de Cyr, dans son histoire des moines de Syrie en dit le plus grand bien, d'autant qu'il le connut. La mère de Théodoret, sous l'influence de saint Pierre, avait été guérie d'une grave maladie et, surtout, corrigée de sa tendance à une vanité fardée et trop coquette. Saint Pierre s'endormit dans la paix du Seigneur à l'âge de 99 ans. |
Saint Précord |
ermite à Vailly sur Aisne (6ème s.) ou Précore |
Martyrologe Romain : À Ciruelos en Nouvelle Castille, l’an 1163, saint Raymond, abbé cistercien de Fitero, dont il fut le fondateur avant de fonder l’Ordre de Calatrava, moitié militaire moitié monastique. Il fut aussi un remarquable combattant de la chrétienté contre le joug des Maures. Abbé du monastère de Fitero en Espagne (? 1163) Il naquit à Saint-Gaudens dans le sud de la France. |
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Né à Saint-Gilles dans la seconde moitié du XIIe siècle, Réginald fait de brillantes études et enseigne le droit canon à Paris. Il devient doyen de la collégiale Saint-Aignan d'Orléans. Au cours d'un pèlerinage à Rome, il rencontre Saint Dominique et se fait Frère prêcheur. Saint Dominique l'envoie à Bologne où, grâce à sa parole et ses vertus, il obtient de très grands succès. On l'appelle un second Elie. Il part enfin à Paris sur l'ordre de Saint Dominique et y meurt (février 1220) en odeur de sainteté. Son tombeau à Sainte Marie aux Champs s'illustra de miracles et c'est là que commença son culte. |
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Saint Saturnin |
et ses compagnons martyrs à Carthage (3ème s.) Ils étaient tous encore catéchumènes, et la plupart d'entre eux, esclaves. Arrêtés, ils furent entassés dans un étroit cachot, les uns sur les autres, sans air et sans lumière, dans une atmosphère suffocante. Condamnés aux bêtes, ils reçurent ainsi le baptême du sang versé, avant d'être achevés par le glaive. |
Saint Sever |
Evêque d'Avranches (7ème s.) Né dans une humble famille chrétienne du Cotentin en Normandie, il fut emmené très jeune comme serf par un certain Corbec qui était encore païen. Ses vertus ébranlèrent son maître qui se convertit et le libéra. Séver put ainsi se retirer dans une solitude jusqu'au moment où son grand rayonnement et sa piété décidèrent les habitants d'Avranches d'en faire leur évêque. Une localité rappelle sa mémoire : Saint Sever-14380. |
Evêque de Ravenne (? 389) Il défendit, contre l'arianisme, la foi en la divinité du Verbe de Dieu fait homme, définie au concile de Nicée. Il accompagna le légat pontifical lors du concile de Sardique en 344. Martyrologe Romain : À Ravenne en Flaminie, vers 389, saint Sévère, évêque. |
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A Metz sa capitale, roi d’Austrasie. En donnant sa fille en mariage à St Herménégilde, il communiqua ainsi sa foi catholique à ce prince wisigoth arien, dont le martyre inaugura la rentrée de l’Espagne dans l’unité catholique. St Sigisbert mourut en 658, après avoir gouverné pacifiquement ses états. Martyrologe Romain : À Metz, en 656, saint Sigebert III, roi d’Austrasie, qui construisit les monastères de Stavelot, Malmédy et beaucoup d’autres, et fit de larges aumônes aux églises et aux pauvres. Fils de Dabogert 1er (? 656) Sigebert ou Sigisbert. Saint Sigisbert, roi d’Austrasie, était fils de Dagobert 1er, roi des Francs. On lui attribue la fondation d’une douzaine de monastères, dont celui de Saint-Martin-devant-Metz (aujourd’hui Le Ban-Saint-Martin). Il mourut vers l’âge de vingt-huit ans, le 1er février 656. son corps reposa dans l’abbaye jusqu’à sa ruine en 1552. Ses reliques sont conservées à la cathédrale de Nancy. Saint Sigisbert est patron de la ville de Nancy. (site du diocèse de Metz) |
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Saint Torquat |
Au diocèse de Viviers (4ème s.) Sa vie nous est inconnue, même s'il fut mentionné dans les livres liturgiques du diocèse de Viviers jusqu'au 18ème siècle |
Martyrologe Romain : En Phrygie, commémoraison de saint Tryphon, martyr. martyr (? v. 251) Martyr originaire de Lampsaque en Phrygie (Asie Mineure), fêté le 1er février au martyrologe romain. |
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Sainte Viridiane |
ou Verdiana . Née à Castel Fiorentino en Toscane (Italie), elle fut toute sa vie favorisée de dons célestes. Elle souffrit proportionnellement du démon qui la tourmenta jusqu'à sa mort sous la forme de deux serpents. Recluse en Toscane (? 1247) qui, après avoir multiplié les vivres au temps d'une famine, voulut échapper à l'enthousiasme populaire en vivant en recluse à Castelfiorentino en Toscane (Italie). Ses extases lui donnaient une grande joie intérieure. Saint François d'Assise vint la voir en 1221 pour s'en réjouir avec elle et la réconforter dans les tourments spirituels qu'elle connaissait |
Saintes Perpétue et Félicité |
martyrologe romain, mémoire des saintes martyres Perpétue et Félicité. En 203, sous l’empereur Septime Sévère, elles furent arrêtées à Carthage avec de jeunes catéchumènes. Perpétue était l’une d’elles, patricienne d’environ vingt-deux ans, mère d’un enfant à la mamelle; Félicité était une esclave; comme elle était enceinte, elle devait, d’après les lois, attendre d’avoir enfanté; elle gémissait dans les douleurs à l’heure de l’enfantement, mais se réjouissait d’être exposée aux bêtes. Elles s’avancèrent de la prison à l’amphithéâtre, le visage radieux, comme pour le ciel. |
99 martyrs d'ANGERS |
En 1984, le Pape Jean-Paul II proclamait bienheureux les 99 martyrs guillotinés à Angers ou fusillés à Avrillé en 1794 : le plus connu était Guillaume Répin, prêtre de 85 ans, qui dit sa volonté de “conserver sa Foi et sa religion”. Moururent aussi 80 femmes de toutes conditions sociales, dont 3 religieuses. |
Martyrologe Romain : À Avrillé, près d’Angers, en 1794, la passion de Marie-Anne Vaillot et de quarante-six compagnes: les bienheureuses Odile Baumgarten, religieuse ; Jeanne Gruget, Louise Rallier de la Tertinière, Madeleine Perrotin, Marie-Anne Pichery et Simone Chauvigné, veuves ; Françoise Pagis, Jeanne Fouchard, Marguerite Rivière, Marie Cassin, Marie-Jeanne Chauvigné, Marie Fausseuse, Marie Galard, Marie Gasnier, Marie Lenée, Marie Leroy Brevet, Marie Rouault, Perrine Phélippeaux, Renée Cailleau, Renée Martin et Victoire Bauduceau, épouses ; Jeanne, Madeleine et Perrine Sailland d’Espinatz, soeurs ; Gabrielle, Perrine et Susanne Androuin, soeurs ; Marie et Renée Grillard, soeurs ; Anne Hamard, Anne-Françoise de Villeneuve, Catherine Cottanceau, Charlotte Davy, Françoise Bellanger, Françoise Bonneau, Françoise Michau, Jacqueline Monnier, Jeanne Bourigault, Louise-Aimée Déan de Luigné, Madeleine Blond, Marie Leroy, Perrine Besson, Perrine Ledoyen, Perrine Grille, Renée Valin et Rose Quenion., martyres, victimes de la Terreur sous la Révolution française, fusillées en raison de leur attachement à l’Église. |
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Martyrologe Romain : À Dublin, en 1612, les bienheureux martyrs Conor O’Devany, évêque de Down et Connor, franciscain, et Patrick O’Lougham, prêtre, qui, sous le roi Jacques Ier, furent condamnés à mort à cause de la foi catholique et subirent le supplice de la pendaison. |
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saints |
Martyrologe Romain : À Séoul en Corée, l’an 1840, les saints martyrs Paul Hong Yong-ju, catéchiste, Jean Yi Mun-u, qui s’occupait des pauvres et ensevelissait les corps des martyrs, et Barbara Ch’oe Yong-i, qui suivit les exemples de ses parents et de son mari, mis à mort pour le nom chrétien, tous les trois décapités. |
Date de dernière mise à jour : 2022-01-31
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