Vén Adalberta Vojt?cha |
Supérieur générale de la Congrégation des Sœurs de la Miséricorde de Saint Charles Borromée (? 1988)
Adalberta Vojt?cha Hasmandová
Entrée à 13 ans dans la communauté des sœurs de Saint Charles Borromée à Prague, elle y fait ses vœux. Infirmière, elle soigne les soldats malades et blessés pendant la seconde guerre mondiale
Dénoncée d'avoir caché un prêtre, elle est emprisonnée de 1952 à 1960 par le régime communiste, traversant cette épreuve avec courage, pleine de foi, d'espérance et d'amour.
Elle devient supérieure générale en 1970 et encourage les religieuses à prier et à placer leur mission dans la société contemporaine dans la ligne du concile Vatican II. Frappée par la tuberculose en 1987 qui affecte la colonne vertébrale et le système nerveux, provocant de terribles souffrances, elle meurt le 21 janvier 1988
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Bse Agnès Albinana |
Religieuse au monastère de Saint Augustin à Béningamin (? 1696)
ou Inès.
Originaire de la région de Valence en Espagne, elle entra au monastère des religieuses déchaussées ermites de Saint Augustin à Béningamin où elle prit le nom de Josepha-Maria. Les Espagnols préfèrent l'appeler de son nom de baptême, Inès. Elle a été béatifiée en février 1888
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Sainte Agnès
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A Rome, en 305, c’était, selon St Ambroise, une adolescente de 12 ans qui, pour l’amour du Christ, préféra être égorgée que de pécher contre la foi et la chasteté. On voulut la brûler vive : le feu s’éteignit. Aussi les paroissiens de Plancherine, au 17ème siècle, lors d’un incendie, firent un voeu à Ste Agnès qui, dès lors fut reconnue comme patronne de Plancherine, avec saint Christophe.
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Saint Alban-Barthélémy Roe
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Un des quarante martyrs d'Angleterre (? 1642)
Martyrologe romain:
Membre de la Communion anglicane et élève à Cambridge, il se convertit au catholicisme. Il poursuivit ses études au séminaire anglais de Douai et devint bénédictin en 1612, dans l'actuel Ampleforth. Pendant 28 ans, il travailla dans la mission anglaise et fut arrêté. Il subit le martyre à Londres-Tyburn, comme tant d'autres.
Il fait partie des Quarante martyrs d'Angleterre et du Pays de Galles qui ont été canonisés en 1970.
À Londres, en 1696, saint Alban Roe, bénédictin, et le bienheureux Thomas Green, prêtres et martyrs. Sous le roi Charles Ier, l’un après dix-sept ans, l’autre après quatorze ans passés en prison, et tous deux d’un âge déjà avancé, furent ensemble pendus pour le Christ au gibet de Tyburn.
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Vén Angeline Teresa |
fondatrice des Carmélites au service des personnes âgées et des malades (? 1984)
Mary Angelin Teresa (Bridged Teresa McCrory), religieuse américaine d'origine irlandaise, fondatrice des Carmélites au service des personnes âgées et des malades (1893 - 1984).
Née en Irlande le 21 janvier 1893, sa famille émigre en Ecosse lorsqu'elle a 7 ans. Elle quitte sa famille à 19 ans pour entrer chez les Petites sœurs des pauvres. Après son noviciat en France et sa profession elle est envoyée aux Etats Unis. En 1926, elle devient supérieure de la Maison pour les pauvres dans le Bronx.
Elle se rend compte que la vieillesse laisse tout le monde, quelle que soit son origine sociale, dans la solitude et la peur.
Le cardinal Hayes l'encourage et, convaincu qu'on peut faire plus pour les personnes âgées de New York, il l'aide à démarrer une nouvelle communauté avec l'autorisation de Rome. Le 3 septembre 1929, les sœurs Carmélites au service des personnes âgées et des malades sont fondées, et sont affiliées à l'ordre du Carmel en 1931.
Mère Angéline Teresa meurt le 21 janvier 1984 ayant vu la congrégation s'étendre au delà de ses espérances
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Saint Busiride |
confesseur de la foi à Ancyre (? v. 379)
Confesseur de la foi à Ancyre, où il endura les tortures après avoir renoncé à l’erreur encratite(*).
(*)"Les Tatianistes, ainsi appelés de Tatien, leur maître, portent aussi le nom d'Encratites : à les entendre, les noces sont blâmables ; ils mettent le mariage au nombre des fornications et des autres excès de la corruption, et aucune personne mariée, homme ou femme, ne peut faire partie de leur secte. Ils ne font point usage de viandes, les condamnent toutes, admettent certaines émanations ridicules des Eons, et nient le salut d'Adam. Au dire d'Epiphane, les Encratites s'étaient schismatiquement séparés des Tatianistes, et ne s'en distinguaient que par là."
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Saint Epiphane de Pavie
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Evêque (? 496)Au 5ème siècle, “gloire de l’Italie”.
Martyrologe romain Évêque de Pavie en Italie auquel ses diocésains décernèrent de son vivant les titres de "pacifique", "gloire de l'Italie" et "lumière des évêques." Il connut la période troublée des invasions de Théodoric et d'Odoacre et travailla avec ardeur à réparer les brèches que tant de troubles avaient faites dans l'Église et dans la vie paisible du petit peuple.
À Pavie en Lombardie, l’an 496, saint Épiphane, évêque. Au temps des invasions barbares, il se préoccupa avec le plus grand zèle de réconcilier les peuples, de racheter les captifs, de reconstruire la cité elle-même détruite.
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Bx Gautier de Bruges |
ou Gauthier; évêque de Poitiers (? 1307)
Originaire de Bruges, il s'en vint en France où nous le retrouvons provincial des franciscains. En 1279, contre son gré, il est nommé évêque de Poitiers. Pour de justes raisons sans doute, et avec l'accord du pape, Gautier excommunie son voisin et suffragant (dépendant) l'évêque de Bordeaux, Bertrand de Got, mêlé à la politique. Bertrand s'en souviendra quand il sera élu pape sous le nom de Clément V, lui qui fera venir la papauté en Avignon. Gautier est destitué et emprisonné dans le couvent franciscain de Poitiers. L'évêque déchu acceptera sereinement cette disgrâce. Sur son lit de mort, il demanda que soit placé son appel au jugement de Dieu. Lorsque Clément V eut vent de cela, il vint à Poitiers, fit ouvrir le cercueil, lut le parchemin de Gautier, le fit replacer dans le cercueil et ordonna qu'un mausolée fût construit en l'honneur du serviteur de Dieu.
72e évêque de Poitiers
Le diocèse de Poitiers communique: "Gautier de Bruges ... est célébré avec les saints évêques de Poitiers le 21 janvier, son nom est bien retenu dans le propre du diocèse."
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Bse Inès
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En 1696, religieuse de St Augustin, à Beniganim en Espagne.
Martyrologe romain Originaire de la région de Valence en Espagne, elle entra au monastère des religieuses déchaussées ermites de Saint Augustin à Béningamin où elle prit le nom de Josepha-Maria. Les Espagnols préfèrent l'appeler de son nom de baptême, Inès. Elle a été béatifiée en février 1888.
Au monastère de Beniganim dans la région de Valence en Espagne, l’an 1696, la bienheureuse Iñès [Agnès] (Joseph-Marie de Saint-Agnès), vierge moniale de l’Ordre des Augustines déchaussées, qui cherchait toujours la dernière place.
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Saint Jean Yi Youn-il |
Père de famille et catéchiste en Corée (? 1867)
Martyrologe romain Il donna sa vie, comme des milliers de chrétiens coréens, pour maintenir sa foi au Christ. Il a été béatifié en 1984.
À Taegu en Corée, l’an 1867, saint Jean Yi Yun-il, martyr. Père de famille, paysan et catéchiste, malgré les coups de verge et les membres déboités, il demeura ferme dans la foi chrétienne, et obtint le martyre en acceptant de grand cœur la décapitation. Il fut la dernière victime de la grande persécution dans ce pays.
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Saint Maxime le Confesseur
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Moine, confesseur de la foi (? 662)
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Saint Maxime le Grec |
Originaire d'Arta dans l'Epire (? 1556)
Originaire d'Arta dans l'Epire en Grèce, il partit, jeune adolescent, à Florence faire ses études classiques. Il suivit avec enthousiasme le dominicain Savonarole dans son mouvement de rénovation religieuse et spirituelle qui se termina tragiquement. Saint Maxime, une fois ses études terminées, se rendit sur la Sainte Montagne de l'Athos, au monastère de Vatopedi, dans l'étude et la méditation. Appelé par le prince russe, Basile Ivanovitch, il vient en Russie pour traduire en slavon le psautier et d'autres livres liturgiques dont la traduction du grec était très imparfaite. Après avoir effectué ce travail, on l'obligea à rester pour continuer d'autres traductions. Mais, accusé par certains de se mêler de ce qui ne le regardait pas, il fut condamné pour hérésie et relégué au monastère de Volokolamsk. On lui reprochait notamment de défendre la primauté du siège de Constantinople contre les prétentions de Moscou de s'y substituer comme "troisième Rome". Il fut condamné aux fers dans le monastère de Tver. Ce qui ne l'empêchait pas d'avoir une importante correspondance et d'écrire encore des traités de théologie. Sur la fin de sa vie, il fut envoyé au monastère de la Trinité saint Serge, près de Moscou, où il eut une plus grande liberté. Il continua sa production littéraire jusqu'à l'épuisement de ses forces à 86 ans. Il s'opposa à l'infiltration de l'humanisme occidental, transmit au peuple russe les trésors spirituels de Byzance et c'est à ce titre qu'il est surnommé "l'illuminateur de la Russie."
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Vén Marie-Christine de Savoie |
Reine des Deux-Siciles (? 1836)
Le pape François a autorisé la Congrégation des causes des saints à promulguer le décret reconnaissant un miracle attribué à l’intercession de la Vénérable Marie-Christine de Savoie (1812-1836), reine des Deux-Siciles, a indiqué le Vatican le 3 mai 2013.
Lors d’une audience accordée la veille au cardinal Angelo Amato, préfet de ce dicastère, le pape a aussi autorisé la reconnaissance du miracle de la mystique italienne Maria Bolognesi (1924-1980) et des vertus héroïques des deux 'serviteurs de Dieu', première étape vers leur béatification.
Une femme très pieuse qui lutta contre la peine capitale.
Née à Cagliari, en Sardaigne, Marie-Christine était la fille de Victor-Emmanuel Ier de Savoie, dynastie à laquelle ont appartenu les rois d’Italie aux XIXe et XXe siècles. En 1832, elle épousa Ferdinand II, roi des Deux-Siciles, de la dynastie Bourbon. Très pieuse, elle lutta contre la peine capitale, alors très courante à Naples. Elle mourut dans la Cité parthénopéenne après avoir accouché d’un fils unique, François. En 1859, le Vatican la proclama vénérable.
Marie-Christine de Savoie viendra s’ajouter aux nombreux souverains européens élevés à la gloire des autels au cours des siècles.
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Saint Meinrad de Sulchen
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Vers 860, ermite assassiné par deux individus auxquels il avait donné l’hospitalité. Son nom est associé au célèbre sanctuaire de N.D. des Ermites à Einsiedeln, près de Zurich.
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Saint Patrocle |
ou saint Parre. Martyr (? 273)
Martyrologe romain
Originaire de Troyes en Champagne, il vécut en solitaire dès qu'il le pût. Il avait le talent de la parole, et ses prédications touchaient les cœurs. Il était d'une humeur douce et son affabilité lui faisait apaiser toute querelle et adoucir toute souffrance morale. Lors de la persécution de l'empereur Aurélien, il fut arrêté et mis à mort. Plusieurs localités ont conservé son patronage. Saint-Parre-les-Vaudes-10260.
À Troyes, au IIIe siècle, saint Patrocle ou Parre, martyr.
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Saint Publius
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Evêque, martyr à Athènes (? 180)
Martyrologe romain
Saint Jérôme et l'historien Eusèbe parlent de lui comme étant évêque d'Athènes ayant connu Denys l'Aréopagite. Il aurait été martyrisé pour sa fidélité au Christ.
Commémoraison de saint Publius, évêque des Athéniens au IIe siècle, qui rendit au Christ le témoignage du martyre.
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Saint Zacharie |
Ermite, moine d'Egypte (? v. 950)
Le martyrologe romain reçoit saint Zacharie, ermite qui fut le maître spirituel de saint Nil, moine d'Egypte et qui aurait vécu en Calabre, selon le synaxaire italo-grec.
Au mont Mercure en Lucanie, vers 950, saint Zacharie, ermite, qui fut le maître de vie monastique de saint Nil.
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Bx Jean Baptiste Du Cormier et les 19 martyrs de Laval
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En 1794, mis à mort en haine de la Foi : ils ont été béatifiés par Pie XII. C’étaient 15 prêtres, 3 religieuses et une maîtresse d’école. L’un d’eux appelé par traîtrise au chevet d’un paroissien malade, fut fusillé le ciboire entre les mains.
Martyrologe romain Bienheureux Jean Baptiste Du Cormieret ses compagnons, martyrisés pendant la Révolution française (? 1794)dont quatorze prêtres et plusieurs religieuses de Laval, martyrisés pendant la Révolution française pour leur fidélité à l'Église romaine et à leurs engagements sacrés.
"Fin 1792, les prêtres âgés ou infirmes ne pouvant être déportés sont emprisonnés dans le couvent des Cordeliers à Laval. En octobre 1793, au moment où les Vendéens approchent de Laval, certains d'entre eux sont évacués sur Chartres puis sur Rambouillet; les autres, au nombre de quatorze, quittent leur prison le 21 janvier 1794 pour être présentés devant les juges de la Commission révolutionnaire. Sommés de prêter serment, ils refusent à l'image de René Ambroise: "Je veux bien obéir au gouvernement mais je ne veux pas renoncer à la religion" ou de Jean-Baptiste Trinquerie: "Ah! vraiment non, citoyen! Je serai fidèle à Jésus-Christ jusqu'au dernier soupir". Ils sont condamnés à mort et sont immédiatement guillotinés place de la Révolution (actuellement place de La Trémoille) à Laval.
Le 19 juin 1955, ils sont béatifiés par Pie XII. Avec deux autres prêtres, trois religieuses, deux appartenant à la congrégation des Sœurs de la Charité Notre-Dame d'Evron et une appartenant à la congrégation des Augustines Hospitalières de la Miséricorde de Jésus, et cinq laïcs, ils sont les Martyrs de la Foi en Mayenne." (21 janvier 1794, 14 prêtres sont guillotinés: les Martyrs de Laval)
À Laval, en 1794, les bienheureux Jean-Baptiste Curpin du Cormier et treize compagnons: les bienheureux Jean-Baptiste Triquerie, franciscain conventuel, Jean-Marie Gallot, Joseph Pellé, René-Louis Ambroise, Julien-François Morvin de la Gérardière, François Duchesne, Jacques André, André Duliou, Louis Gastineau, François Migoret Lambardière, Julien Moulé, Augustin-Emmanuel Philippot, Pierre Thomas, prêtres et martyrs. Sous la Révolution française, sur leur refus de prêter serment à la Constitution civile du Clergé, ils furent guillotinés.
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Saint Fructueux et ses compagnons, Augure et Euloge de Tarragone
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En Espagne, le martyre de St Fructueux, évêque de Tarragone, et de ses deux diacres : Augure et Euloge. Sur le lieu du supplice, l’évêque répondit à un chrétien qui implorait sa prière : “je prie pour toute l’Eglise répandue sur toute la terre, de l’Orient à l’Occident”. Ils moururent brûlés vifs le vendredi 21 janvier 259.
Martyrs (? 259)
Evêque de Tarragone, martyr avec ses deux diacres, saint Augure et saint Euloge. Durant la persécution de l'empereur Gallien, ils furent d'abord jetés en prison, puis condamnés à être brûlés vifs. Quand leurs liens furent consumés, ils se mirent à prier les bras en croix et c'est ainsi qu'ils terminèrent leur martyre.
Martyrologe romain À Tarragone en Espagne, l’an 259, la passion des saints martyrs Fructueux, évêque, Augure et Euloge, diacres. Dans la persécution des empereurs Valérien et Gallien, après leur confession de foi devant le gouverneur, ils furent conduits à l’amphithéâtre, où l’évêque, en présence des fidèles, pria à haute voix pour l’Église catholique répandue dans la paix de l’Orient à l’Occident ; enfin précipités dans les flammes, et priant à genoux, ils achevèrent leur martyre.
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Bx Edouard Stransham
et Nicolas Wheeler |
Prêtres (? 1586)
Martyrologe romain Tous deux prêtres, ils furent arrêtés lors de la persécution de la reine Élisabeth Ière et furent pendus pour leur attachement à l'Église catholique romaine.
À Londres, en 1586, les bienheureux martyrs Édouard Stransham et Nicolas Wheeler, prêtres, condamnés à mort sous la reine Élisabeth Ière à cause de leur sacerdoce et conduits aux supplices du gibet à Tyburn.
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