18 février
Saint Agapet |
Evêque et confesseur (4ème s.) Evêque et confesseur. Moine en Cappadoce, il fut enrôlé de force dans l'armée romaine de Licinius. Il y partageait la même charité avec les autres soldats que celle qu'il avait partagée avec ses frères. Lorsque Constantin devint le seul empereur, Agapet demanda à quitter l'armée. Ordonné prêtre puis évêque de Sinaos en Phrygie, il fut le généreux intendant de la Grâce divine |
Au diocèse d’Amiens, haut fonctionnaire de la cour de Charlemagne ; il se fit moine à l’abbaye de St Riquier et en fut élu abbé. Il mourut en 814. Martyrologe Romain : Au monastère de Centule dans le Ponthieu, en 814, saint Angilbert, abbé. Après avoir quitté ses charges au palais de Charlemagne et à l’armée, il se retira dans la vie monastique, avec le consentement de son épouse, qui elle-même prit le voile des femmes consacrées, et il dirigea avec succès l’abbaye de Centule. Confesseur et abbé (? 814) Conseiller très cultivé de l'empereur Charlemagne, il était chargé du gouvernement civil de toute la contrée entre l'Escaut et la Seine. Il revêtit l'habit monastique dans l'abbaye de Saint Riquier qui connut une grande prospérité sous son abbatiat |
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A Lourdes, fillette simple, pauvre, illettrée et de petite santé , 18 fois bénéficiaire d’apparitions de la Vierge Marie dont elle fut, malgré railleries et menaces, le courageux témoin. C’est avec un sourire que “la Dame” apprivoise Bernadette, qu’Elle reçoit l’eau bénite dont l’asperge l’enfant, qu’Elle refuse plume et papier du constat sollicité par la fille de l’huissier, qu’Elle accueille l’ultimatum du Curé Peyramale - faire fleurir l’églantier -, qu’Elle diffère de dire son nom ... jusqu’au moment où, écartant ses mains jointes, Elle les tend vers la terre, puis les rejoint à hauteur de la poitrine, et, levant les yeux au ciel, Elle déclare : “Je suis l’Immaculée Conception”. Bernadette mourut religieuse à Nevers , le 16 avril 1879, croyant jusqu’au bout de sa nuit à ce qu’elle avait vu dans la lumière. “Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, lui avait dit la Dame, mais dans l’autre”. |
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Colman |
de Lindisfarne, l’un des 226 moines de ce nom recensés par les Irlandais, qui vécurent aux Iles Britanniques aux 6e et 7e siècle. Confesseur - évêque de Lindisfarne (? 676) Originaire d'Irlande, où il était moine bénédictin, il vint en Angleterre et fut évêque de Lindisfarne. Il prit une part importante dans la fixation de la date de Pâques dans ce pays, avant de retourner en Irlande. |
Saint Cosmas de Yakhrom |
ermite (? 1492) Confesseur. |
de Grenoble, lazariste, martyr par la strangulation, un des premiers saints de Chine, canonisé en 2000 et fêté avec tous ses compagnons le 9 juillet. né à Grenoble, il fut lazariste missionnaire en Chine. Agé de 72 ans, il subit le supplice de la strangulation en 1820. “Je suis arrivé trop tard en Chine pour en acquérir une connaissance passable”, écrivait-il à son frère chartreux. “Eu égard à cette difficulté de la langue, je pense à croire que j’aurais mieux fait de demeurer en Europe... Le seul avantage spirituel que je puisse trouver en Chine, c’est que, dans ma patrie, je pouvais me croire bon à quelque chose, au lieu qu’ici il est de la première évidence que je ne suis bon à rien”. Martyrologe Romain : Près de Ou-tchang-fou, dans la province chinoise de Hubei, en 1820, saint François-Régis Clet, prêtre de la Congrégation de la Mission et martyr. Après trente ans passés à annoncer l’Évangile au milieu des plus grandes épreuves, dénoncé par un païen, il fut réduit à une captivité rigoureuse, soumis à de nombreux interrogatoires suivis de tortures et enfin étranglé, à cause du nom chrétien. Lazariste, martyr en Chine (? 1820) Mort en 1820 à Ou-Tchan-Fou en Chine au temps où tant de missionnaires donnèrent le témoignage de la foi qu'ils annonçaient au peuple chinois. |
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Martyrologe Romain : À Rosica en Pologne, l’an 1943, le bienheureux Georges Kaszyra, prêtre de la Congrégation des Clercs Mariens et martyr. Durant la seconde guerre mondiale, il fut arrêté par des soldats du régime nazi d’occupation, fusillé, et son corps fut brûlé |
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Catherine (Caterina) COMENSOLI Martyrologe Romain : À Bergame en Lombardie, l’an 1903, la bienheureuse Gertrude (Catherine Comensoli), vierge, qui fonda une Congrégation de religieuses pour l’adoration du Saint-Sacrement (Sacramentines) et l’éducation de la jeunesse. Fondatrice des Sœurs Sacramentines de Bergame (? 1903) Née en 1847, Catherine Comensoli prit le nom de religion de Gertrude et fonda une Congrégation de religieuses pour l’adoration du Saint-Sacrement et l’éducation de la jeunesse à Bergame en Lombardie. |
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Bx Guillaume Harrington |
Martyrologe Romain : À Londres, en 1594, le bienheureux Guillaume Harrington, prêtre et martyr. Originaire du comté d’York, condamné à mort, sous la reine Élisabeth Ière, pour avoir reçu le sacerdoce et l’avoir exercé en Angleterre, il fut pendu et éventré à Tyburn. prêtre et martyr en Angleterre (? 1594) Né dans le Yorkshire, il étudie pour devenir prêtre après avoir rencontré Saint Edmond Campion et est ordonné à Reims en 1592. Il retourne en Angleterre et est arrêté en 1593, martyrisé à Tyburn, il n'avait que 27 ans. Béatifié par Pie XI en 1929. |
Saint Hellade |
Martyrologe Romain : À Tolède en Espagne, l’an 632, saint Hellade, qui, après avoir occupé dans sa jeunesse des charges importantes à la cour royale, devint moine, puis abbé d’Agali, enfin promu à l’épiscopat de Tolède, où il donna de grands exemples de charité. Confesseur, évêque de Tolède (? 632) Administrateur du gouvernement de Tolède, il quittait souvent son rang pour aller au monastère d'Aguilar, confondu parmi les moines, pour y vivre simplement leurs occupations. Dès qu'il le pût, il entra définitivement dans la vie monastique et c'est dans sa vieillesse qu'il devint évêque de Tolède. Saint Ildefonse, son successeur, nous a donné quelques détails sur cette vie toute simple mais exemplaire. |
Nom de religion: Angelico Martyrologe Romain : À Rome, en 1455, le bienheureux Jean (Giovanni) de Fiesole, surnommé l’Angélique, prêtre de l’Ordre des Prêcheurs, qui, toujours attaché au Christ, exprima dans sa peinture ce qu’il contemplait intérieurement, pour élever l’esprit des hommes vers les réalités d’en-haut. Frère prêcheur italien et peintre (? 1455) Confesseur. |
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Bx Jean Pibush |
Martyrologe Romain : À Londres, en 1601, le bienheureux Jean Pibush, prêtre et martyr. Sous la reine Élisabeth Ière, après avoir été plusieurs fois et longuement détenu en prison, il fut condamné à mort en raison de son sacerdoce et subit à Southwark les supplices habituels (pendu et éventré). prêtre et martyr en Angleterre (? 1601) Né dans le Yorkshire, il est ordonné à Reims en 1587 et retourne en Angleterre en 1589. Il est arrêté à Gloucester en 1593 et emprisonné à Londres, il s'échappe et, re-capturé, il est jugé et condamné. Il est exécuté à Southwark. Béatifié par Pie XI en 1929. |
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A Ste Catherine-sur-Riverie, près de Rive de Gier naquit Jean-Pierre Néel. Collégien au Petit Séminaire de Montbrison, puis prêtre des Missions Etrangères, il fut martyrisé en Chine le 18 février 1862, à l’âge de 29 ans. Martyrologe Romain : À Guizhou en Chine, l’an 1862, saint Jean-Pierre Néel, prêtre de la Société des Missions étrangères de Paris et martyr. Accusé, sous l’empereur Tu Duc, d’avoir prêché la foi chrétienne, il fut attaché par les cheveux à la queue d’un cheval et traîné violemment avec toutes sortes de moqueries et de punitions et enfin décapité d’un coup de sabre. Avec lui subirent le même supplice les saints martyrs Martin Wu Xuesheng, catéchiste, Jean Zhang Tianshen, néophyte, et Jean Chen Xianheng. |
Saint Maxime |
Martyr à Ostie, près de Rome (? 295) et sa famille, martyrs. Arrêtés sur ordre de l'empereur Dioclétien, Maxime et son frère Claude, Prépédigne, la femme de Claude et leurs deux fils, Alexandre et Cuthias, furent condamnés à être brûlés vifs comme chrétiens. Ils offrirent leur vie à Dieu au port d'Ostie près de Rome |
Saint Sadoth et 128 compagnons |
Martyrologe Romain : À Beth Lapat dans le royaume perse, en 342, la passion des saints martyrs Sadoth, évêque de Séleucie et Ctésiphon, et cent-vingt-huit compagnons, prêtres, clercs et vierges consacrées, qui refusèrent d’adorer le soleil et pour cela furent chargés de chaînes, soumis très longtemps à toutes sortes de tourments terribles et enfin, après la sentence du roi, mis à mort. Sadoth a participé au concile de Nicée en 325 et dirigea l’Église lors de la persécution du dirigeant perse Shapur II. Nommé évêque de Ctésiphon, en Perse, en 341, il est arrêté un an plus tard et comparaît devant le roi des Perses qui fait aussi saisir cent vingt-huit membres de son Église, des prêtres, des moines et des vierges consacrées. Enchaînés, torturés, tous refusent d'apostasier. Sur le lieu de leur supplice, ils chantent et louent le Seigneur, jusqu'à la mort du dernier d'entre eux. Sadoth, lui, est conduit dans une autre ville où il est publiquement décapité. |
Martyrologe Romain : À Constantinople, en 806, saint Taraise, évêque, d’un savoir et d’une piété remarquables, qui ouvrit le second Concile de Nicée, où les Pères rétablirent le culte des saintes images Patriarche de Constantinople (? 806) Évêque et confesseur. Haut-fonctionnaire sous les empereurs iconoclastes (briseurs d'images), saint Taraise fut choisi par l'impératrice Irène, car elle voulait mettre cet homme de valeur à la tête de l'Église pour qu'il obtienne le rétablissement du culte des saintes icônes. Le laïc Taraise reçoit alors les ordres sacrés et devient patriarche de Constantinople en 784. Trois ans plus tard, le second concile de Nicée, qu'il préside, rétablit en effet ce culte. Après cette victoire, saint Taraise pratique une politique de réconciliation pour ramener la paix dans l'Église, ce qui le fit accuser de laxisme par beaucoup d'évêques. |
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prieur démissionnaire à Viseu, prieur démissionnaire d’une congrégation de chanoines réguliers à Coimbra, mort à quatre-vingts ans. Martyrologe Romain : À Coïmbre au Portugal, vers 1162, saint Théotone, qui fit deux fois le pèlerinage de Jérusalem, refusa la garde du Saint-Sépulcre, et à son retour dans sa patrie, la seconde fois, fonda la Congrégation des « Chanoines réguliers de la Sainte Croix ». fondateur de la Congrégation des Chanoines réguliers de la Sainte Croix (? 1166) Confesseur. |
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Saints Léon et Parégoire de Patare |
martyrs (3ème s.) A Patare en Lycie, Parégoire venait d'être mis à mort par fidélité au Christ. Léon qui était un vieillard, en fut témoin et il voulut imiter son exemple. Il alla devant le temple du dieu Serapis et en détruisit les cierges allumés. Aussitôt arrêté et soumis à la torture, il resta inflexible. Son corps dénudé fut traîné sur les rochers jusqu'au torrent voisin. Si grande en fut la cruauté qu'il mourut sur le parcours et fut jeté dans un gouffre. Des chrétiens purent l'en retirer. Il avait le visage frais et souriant de la joie éternelle. |
Sainte Constance , Attica et Artémie |
vierges martyresà Rome (? v. 354) Constance, fille (ou nièce) de l'empereur Constantin, était atteinte d'un ulcère qui, petit à petit, envahissait son corps. Ayant entendu parler de miracles obtenus par l'intercession de Sainte Agnès, elle se rendit sur sa tombe. Elle s'y endormit et, durant son sommeil s'entendit dire: "croyez en Jésus-Christ et vous serez guérie". A son réveil, elle se trouva guérie. |
Date de dernière mise à jour : 2022-02-11
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