03 octobre
Bx Adalgott |
- En 1160, moine cistercien disciple de St Bernard, puis évêque de Coire dans le Canton des Grisons, et restaurateur des monastères de son diocèse. Martyrologe Romain : Au monastère de Disentis, chez les Suisses, en 1160, le bienheureux Adalgott, abbé, auparavant moine à Einsiedeln. Disciple de saint Bernard à Clairvaux, il eut à cœur de veiller à la discipline monastique |
Bx Joseph Mayr-Nusser | Né le 27 décembre 1910 à Bolzano, mort le 24 février 1945 près d'Erlangen en Allemagne. Très actif dans les groupes de jeunes catholiques de son diocèse, Josef devient président des jeunesses catholiques. Lors du choix en Tyrol du Sud, il choisit de rester et rejoint un groupe de résistants; il se marie en 1942 et a un fils. En 1944, avec l'arrivée des forces allemandes, il est incorporé et refuse de prêter le serment SS au national-socialisme, condamné à mort, il meurt dans un wagon à bestiaux en route vers Dachau. De nombreux lieux portent son nom, rues, écoles... Il est citoyen d'honneur de Bolzano, sa ville natale. |
Brésil - Portugal Naissance: ??? Mort: 03.10.1645 à Natal Martyrologe Romain : Sur le bord de l’Uruaçu, près de Natal au Brésil, en 1645, lesbienheureux Ambroise-François Ferro, prêtre, et vingt-sept compagnons : les bienheureux Antoine Baracho, Antoine Vilela Cid, Antoine Vilela junior et sa fille, Didace Pereira, Emmanuel Rodrigues Moura et son épouse, une fille de François Dias le jeune, François de Bastos, François Mendes Pereira, Jean de Silveira, Jean Lostau Navarro, Jean Martins et sept jeunes, Joseph do Porto, Matthieu Moreira, Simon Correia, Étienne Machado de Miranda et ses deux filles, Vincent de Souza Pereira., martyrs, victimes de l’oppression exercée contre la foi catholique. |
|
sainte Candide |
artyrologe Romain : À Rome, au cimetière de Pontien sur la voie de Porto, sainte Candide, martyre. |
Martyrologe Romain : À Madrid, en 1936, le bienheureux Crescence Garcia Pobo, prêtre du Tiers-Ordre de Saint-François et martyr, victime de la persécution déchaînée contre l’Église pendant la guerre civile. |
|
Au siècle suivant, à Toulon,évêque biographe de son maître St Césaire d’Arles. Martyrologe Romain : À Toulon, après 543, saint Cyprien, évêque. Disciple de saint Césaire d’Arles, il défendit dans plusieurs conciles la doctrine catholique sur la grâce, soutenant que personne ne peut, par soi-même, faire le moindre progrès dans la connaissance des réalités divines s’il n’est appelé dès le début par une grâce prévenante de Dieu. |
|
Disciple de saint Paul Évêque d'Athènes (Ier s.) ******* Denys l’aréopagite fut converti à la foi de J.-C. par l’apôtre saint Paul. On l’appelle aréopagite du quartier de la ville où il habitait. L'aréopage était le quartier de Mars, parce qu'il y avait un temple dédié à ce Dieu. Les Athéniens donnaient aux différentes parties de la ville le nom du dieu qui était honoré; ainsi celle-ci était appelée Aréopage parce que Ares est un des noms de Mars : ainsi le quartier où Pan était adoré se nommait Panopage, et ainsi des autres.. Or, l’Aréopage était le quartier le plus remarquable, puisque c'était celui de la noblesse et des écoles des arts libéraux. C'était donc là que demeurait Denys très grand philosophe, qui, à raison de sa science et de la connaissance parfaite qu'il avait des noms divins, était surnommé Théosophe, ami de Dieu. |
|
Saint François de Borgia |
Prêtre de la Compagnie de Jesus (1510-1572) Il est fêté le 30 septembre au martyrologe romain, le 3 octobre chez les Jésuiteset le 10 octobre dans l'ancien calendrier. ************* François de Borgia (en espagnol : Francisco de Borja y Trastámara), duc de Gandie, grand d'Espagne, naît à Gandie, dans le royaume de Valence (Espagne), le 28 octobre 1510. Il était le fils de Juan Borgia, le 3e duc de Gandie, et de Jeanne d'Aragon, fille d'Alphonse d'Aragon (1470-1520) ; François était aussi arrière-petit-fils du pape Alexandre VI. À peine put-il articuler quelques mots, que sa pieuse mère lui apprit à prononcer les noms sacrés de Jésus et de Marie. Âgé de cinq ans, il retenait avec une merveilleuse mémoire les sermons, le ton, les gestes des prédicateurs, et les répétait dans sa famille avec une onction touchante. Bien que sa jeunesse se passât dans le monde, à la cour de Charles-Quint, et dans le métier des armes, sa vie fut très pure et toute chrétienne ; il tenait même peu aux honneurs auxquels l'avaient appelé son grand nom et ses mérites. À vingt-huit ans, la vue du cadavre défiguré de l'impératrice Isabelle le frappa tellement, qu'il se dit à lui-même : « François, voilà ce que tu seras bientôt... À quoi te serviront les grandeurs de la terre ?... » Toutefois, cédant aux instances de l'empereur, qui le fit son premier conseiller, il ne quitta le monde qu'à la mort de son épouse, Éléonore de Castro. Il avait trente-six ans ; encore dut-il passer quatre ans dans le siècle, afin de pourvoir aux besoins de ses huit enfants. François de Borgia fut digne de son maître saint Ignace ; tout son éloge est dans ce mot. L'humilité fut la vertu dominante de ce prince revêtu de la livrée des pauvres du Christ. À plusieurs reprises, le pape voulut le nommer cardinal ; une première fois il se déroba par la fuite ; une autre fois, saint Ignace conjura le danger. Plus l'humble religieux s'abaissait, plus les honneurs le cherchaient. Celui qui signait toutes ses lettres de ces mots : François, pécheur ; celui qui ne lisait qu'à genoux les lettres de ses supérieurs, devint le troisième général de la Compagnie de Jésus. François de Borgia meurt à Rome, à l’âge de 62 ans, le 30 septembre 1572 et sera canonisé en 1671 par le pape Clément X (Emilio Altieri, 1670-1676). |
Au 10ème siècle au pays de Namur, fondateur de ce monastère de chanoines réguliers qui devint par la suite une grande abbaye bénédictine. Saint Gérard de Brogne Fondateur de l'Abbaye de Brogne († 959) Né à Namur (Belgique), il refusa tôt la vie aisée qui lui était promise, pour entrer chez les bénédictins de Saint-Denis près de Paris. Poursuivant ses études, il devint prêtre. Envoyé fonder, en 931, un monastère à Brogne et s'étant acquitté à merveille de sa tâche, on le chargea de réformer certaines communautés où on avait constaté quelque relâchement. Il visita ainsi les monastères de Flandres, de Champagne et de Lorraine où sa sainteté et sa fermeté opérèrent les redressements nécessaires. |
|
Saint Hésychius |
Au 4ème siècle, moine, disciple de St Hilarion et son héritier : par testament, Hilarion lui légua sa fortune - l’Evangile et son cilice. Martyrologe Romain : Commémoraison de saint Hésychius, moine à Maïouma en Palestine, qui fut disciple de saint Hilarion et son compagnon dans ses pérégrinations. |
Saint Maximien |
A Bagaï en Algérie, au 5ème siècle, évêque : donatiste converti, il eut beaucoup à souffrir de la part de ses anciens coreligionnaires : ils le poursuivirent et le battirent jusque sous l’autel où il s’était caché. Martyrologe Romain : Commémoraison de saint Maximien, évêque de Bagaï en Numidie, qui subit de graves sévices à plusieurs reprises de la part des hérétiques et, à la fin, fut précipité d’une haute tour et laissé pour mort, mais recueilli peu après par des passants et ayant retrouvé la santé, il ne cessa pas de défendre la foi catholique jusqu’à sa mort, vers 410. |
Bx Utto |
Martyrologe Romain : À de Metten en Bavière, l’an 802, le bienheureux Utto, fondateur et premier abbé du monastère de ce lieu. |
Au 7ème siècle, compagnons de St Willibrord, jetés dans le Rhin par les Saxons qu’ils étaient venus évangéliser. Martyrologe Romain : Chez les Saxons, en 695, les deux saints martyrs Ewald, surnommés l’un le Noir, l’autre le Blanc. Prêtres nés en Angleterre et formés par l’exemple de saint Willibrord et d’autres, ils passèrent chez les Saxons et, alors qu’ils avaient commencé à leur annoncer le Christ, ils furent saisis par les païens etmassacrés. |
|
Saints Fauste, Caïus, |
Martyrologe Romain : À Alexandrie, commémoraison des saints Fauste, Caïus, Pierre, Paul, Eusèbe, Chérémon,Lucius et deux autres. D’abord sous Dèce, puis sous Valérien, au IIIe siècle, sur l’ordre du gouverneur Émilien, ils endurèrent bien des souffrances, avec l’évêque saint Denis, et furent confesseurs de la foi. Parmi eux, Fauste mérita même la palme du martyre sous le règne de Dioclétien, au début du IVe siècle. |
Date de dernière mise à jour : 2022-10-08
Ajouter un commentaire