16 mars
SAINT ABBAIN |
(6ème s.)Neveu de saint Kevin, il vivait en Irlande du sud où il fonda plusieurs monastères. Mais les nombreuses biographies qui le concernent, s’entre-mèlent avec celles d’autres saints irlandais, au point que de cette confusion, nous ne pouvons retirer aucun fait historique de la vie de saint Abbain. |
Abraham , solitaire |
Au 4ème siècle, en Mésopotamie . Il convertit et conduisit une nièce Marie, qui vivait de ses charmes dans la ville. |
(+ 1260) - Elle rejoignit sainte Claire au couvent de Saint-Damien à Assise et lui succéda, en donnant l‘exemple d‘une constante régularité et d‘une stricte pauvreté Née à Assise, Bénédicte – appelée aussi Benoîte – devint clarisse au couvent de Saint-Damien, fondé par Sainte Claire. Lorsque celle-ci mourut en 1253, elle lui succéda comme abbesse des soeurs Clarisses, gouvernant leur fraternité jusqu'à sa mort le 16 mars 1260. |
|
Saint Christodule |
(+ 1093) - Originaire de Nicée, ce saint ermite fut un grande voyageur. Il réforma difficilement des monastères en Thessalie et écrivit à cette occasion un ouvrage sur La manière de servir Dieu. Il obtint de l’empereur de Constantinople l’île de Patmos pour y fonder le monastère de Saint-Jean le Théologien. |
SAINT DENTELIN |
(7ème s.)L’église qui lui est dédiée à Clèves en Rhénanie, rappelle cet enfant qui mourut à sept ans et qui était le fils de saint Vincent Madelgaire et de sainte Waldeltrude et dont les quatre enfants furent tous considérés et honorés comme des saints. |
SAINTE EUSEBIE |
(+ 660)Ysoie ou Eusoye. Confiée dès sa jeunesse au couvent fondé par sainte Gertrude d’Hamage en Flandre. Après la mort de son père, saint Adalbald, elle accompagna sa mère, sainte Rictrude, dans la vie monastique à Marchiennes, puis fut élue, à douze ans, pour succéder à sa tante, sainte Gertrude, à la tête du couvent de Hamage, elle en devint abbesse. La douceur de son commandement et la stricte observance de la vie monastique firent prospérer sa communauté dans les voies de Dieu. Une localité en conserve la mémoire : Sainte-Eusoye-60480. Martyrologe Romain : En Flandre, vers 680, sainte Eusébie ou Ysoie, abbesse. Après la mort de son père, saint Adabald, elle accompagna sa mère, sainte Rictrude, dans la vie monastique à Marchiennes, puis fut élue, à douze ans, pour succéder à sa tante, sainte Gertrude, à la tête du couvent de Hamage. |
SAINT FINIEN |
(+ v. 560)Il est considéré comme étant un disciple de saint Colomba qui l’aurait fait abbé de Swords, près de Dublin en Irlande. |
Saint Grégoire Makar |
(11ème s.) - Il s‘en vint ermite dans la région de Pithiviers en France, après avoir été évêque de Nicopolis en Arménie. Il n‘est pas le seul arménien qui soit venu ainsi en Occident. Les relations ont toujours existé entre les Gaules et cette région du Caucase. |
(+ 1021)Fils du comte de Worms, il fit ses études à l’abbaye de Gorze, près de Metz. Élu malgré lui au siège épiscopal de Cologne, il fut un conseiller écouté de l’empereur germanique Othon III. Il construisit l’abbaye de Deutz sur le Rhin où il est enterré Martyrologe Romain : À l’abbaye de Deutz en Allemagne, l’an 1021, le trépas de saint Héribert, évêque. Chancelier de l’empereur Othon III, élu malgré lui au siège épiscopal de Cologne, sans plus tarder, il se dévoua à son clergé et à son peuple, donnant l’exemple des vertus dont il recommandait la pratique dans sa prédication. Il acheva sa course dans le monastère qu’il avait fondé. |
|
Saint Hilaire D'AQUILÉE |
(+ 285Evêque et saint Tatien diacre, qui communièrent aux souffrances du Christ par le supplice du chevalet, avec saint Félix d’Aquilée et de nombreux autres laïcs qui furent aussi décapités avec eux Martyrologe Romain : À Aquilée en Vénétie, les saints martyrs Hilaire, évêque, et Tatien. |
SAINT HUGUES |
(+ 1189)Abbé de Bonneval en Dauphiné, il se montra le digne imitateur de saint Bernard qu’il avait pris pour modèle et dont il a écrit la vie. Il servit de médiateur dans la querelle entre le pape Alexandre III et l’empereur Frédéric Barberousse, en 1177. |
(+ 1589), prêtres et martyrs, à York en Angleterre. Ils furent condamnés à mort uniquement à cause de leur qualité de prêtres, sous la reine Élisabeth Ière, et allèrent joyeux au gibet où ils devaient être pendus. Jean était d'abord tailleur, et, après la mort de sa femme, il fit ses études sacerdotales à Reims où il fut ordonné prêtre en 1581. Robert Dalby, ministre anglican,devint catholique et comme Jean Amias, partit étudier à Reims pour devenir prêtre en 1588. Il fut arrêté à son retour en Angleterre. Ils ont été béatifiés en 1929 Martyrologe Romain : À York en Angleterre, l’an 1589, les bienheureux Jean Amias et Robert Dalby, prêtres et martyrs, qui furent condamnés à mort à cause uniquement de leur qualité de prêtres, sous la reine Élisabeth Ière, et allèrent joyeux au gibet où ils devaient être pendus. |
|
(+ 1649)Martyr chez les Hurons au Québec. Prêtre de la Compagnie de Jésus, il fut envoyé de France dans la mission chez les Hurons et, après bien des travaux apostoliques, fut massacré par quelques païens Iroquois et succomba pour le Christ, ayant fait le vœu de ne jamais fuir l’occasion du martyre. Sa mémoire est célébrée avec ses compagnons le 19 octobre |
|
Bx JEAN DE SORDI |
(+ 1181)Evêque de Vicence, confesseur et martyr. Chanoine de Crémone en Italie à l’âge de quinze ans, il entre au monastère Saint-Laurent dont il deviendra le Père Abbé. Il exercera cette charge avec douceur et amabilité. Soutenant le pape contre l’empereur Frédéric Barberousse, il fut chassé de son monastère et se retira alors dans un ermitage. Evêque de Mantoue puis de Vicence, il conduisit son peuple avec bonté à l’égard des pauvres et fermeté à l’égard des propriétaires usuriers. L’un d’eux le fit assassiner. La ville entière, irritée, poursuivit le meurtrier et honora Jean de Sordi comme un saint martyr, ce que confirma le pape Léon XII en 1824 Martyrologe Romain : À Vicence en Vénétie, l’an 1181, le bienheureux Jean de Sordi ou Cacciafronte, évêque etmartyr. D’abord abbé de Saint-Laurent à Crémone, il fut exilé à cause de sa fidélité au pape; élu évêque de Mantoue, puis transféré au siège de Vicence, il fut assassiné par un individu qu’il avait excommunié pour défendre la liberté de l’Église. |
Bx José Gabriel del Rosario Brochero |
Prêtre argentin Par décision du Pape François la mémoire liturgique, anciennement 26 janvier (dies natalis), a été reportée au 16 mars (date de la naissance sur terre). |
Saint Julien d'Antioche |
(+ 302)Il appartenait à une famille sénatoriale et vivait en Cilicie, province au sud de l'Asie Mineure. Il avait dix-sept ans quand il refusa de sacrifier aux faux dieux et pour avoir confessé la Vérité du Christ, il fut enfermé dans un sac plein de vipères et jeté à la mer. Saint Jean Chrysostome prononça son panégyrique. Martyrologe Romain : À Anazarbe en Cilicie, au IVe siècle, saint Julien, martyr. Sous le préfet Marcien, il fut longtemps torturé; à la fin on l’enferma dans un sac avec des serpents et on le jeta à la mer. |
SAINT JULIEN DE LESCAR |
(+ 400)C’est une antique tradition qui nous fait connaître le premier évêque du diocèse de Lescar, actuellement rattaché au diocèse de Bayonne dans le Sud-Est de la France. Recueillie dans le bréviaire, nous pouvons la lire comme une certitude quant à l’évangélisation de cette région. Il est difficile d’accepter les multiples faits et gestes qui la commentent avec force détails de l’enthousiasme régional. |
SAINT PAPAS |
(4ème s.)Martyr à Séleucie en Perse. Originaire de Lycaonie en Asie Mineure, il s'en fut évangéliser la Perse. Pour avoir confessé la foi dans le Christ, il subit divers supplices et fut, dit-on, pendu à un arbre. Martyrologe Romain : À Séleucie en Perse au IVe siècle, saint Papas, martyr. Originaire de Lycaonie, pour avoir confessé la foi dans le Christ, il subit divers supplices et fut, dit-on, pendu à un arbre. |
BIENHEUREUX PIERRE TECELANO |
(+ 1289)Originaire de Sienne, il se fit tertiaire séculier de saint François à la mort de sa femme, et demeura près de leur couvent, passant ses journées, consacré à la prière et à la consolation des malades de l’hôpital de sa ville. |
Bx Placide Riccardi |
- bénédictin de St Paul-hors-les-murs. Il y fut père-maître et organiste. Il fut aussi l’aumônier des bénédictines d’Amélia qu’il dirigea de très près, trop à leur gré. Enfin, recteur de l’abbaye dépeuplée de Farfa, il y vivait en ermite la semaine, en curé le dimanche. Complètement paralysé après une attaque, il fit pour deux ans stabilité “dans l’Ordre de Job”, et mourut en 1915. “S’il est saint, constatait son abbé, c’est qu’il prie beaucoup et bien”. |
Saint Sérapion |
(+ 1516) - L‘Église russe fait mémoire du saint higoumène de la laure de la Trinité-Saint-Serge en Russie. Il fut ensuite archevêque de Novgorod où il arrêta la peste en 1506. |
BIENHEUREUX TORELLO |
(+ 1282)Il voulait se livrer aux bonnes oeuvres près des pauvres, mais il les abandonna pour se livrer à une liaison dépravée avec deux jeunes gens à quoi il ajouta une maîtresse qui captiva son coeur. Malgré tous les conseils et les reproches, il mena cette vie dissolue plusieurs années. Et puis, un beau jour, l’enfant prodigue, tourmenté de remords et dégoûté de cette vie, s’en fut en parler au supérieur du monastère de Vallombreuse qui l’accueillit avec une grande indulgence et une compréhensive bonté. Torello commença alors une vie de pénitence et devint moine-ermite à Vallombreuse, volontairement emmuré dans sa cellule. Il connût de grandes souffrances et les accepta comme une participation au salut du Christ sur la croix. Son culte fut confirmé par le pape Benoît XIV. |
Date de dernière mise à jour : 2022-03-07
Ajouter un commentaire