31 octobre
frère coadjuteur temporel de la Compagnie de Jésus. De sa modeste loge de portier du collège de Palma de Majorque, aux Baléares, qu’il occupa 40 ans, il exerça une influence spirituelle considérable, notamment sur St Pierre Claver alors étudiant |
|
Saint Antonin |
Martyrologe Romain : À Milan, vers 661, saint Antonin, évêque, qui travailla assidûment pour éteindre, parmi les Lombards, l’hérésie arienne. |
envoyé en France par St François d’Assise pour y propager les Frères Mineurs. Il mourut plus que centenaire, à Cahors, en 1272. Martyrologe Romain : À Cahors, en 1272 le bienheureux Christophe de Romagna, prêtre de l’Ordre des Mineurs, qui fut envoyé là par saint François et mourut centenaire après avoir beaucoup travaillé pour le salut des âmes. |
|
Martyrologe Romain : À Yoghal en Irlande, l’an 1602, le bienheureux Dominique Collins, religieux jésuite et martyr. Détenu longtemps, interrogé de manière pressante et soumis à la torture, il confessa fermement la foi catholique, ce qui le conduisit à achever son martyre par la pendaison. |
|
Saint Épimaque de Péluse |
Martyrologe Romain : À Alexandrie, en Égypte, Épimaque de Péluse, martyr. En 250 pendant la persécution de l'empereur Dèce, voyant que le préfet forçait les chrétiens à sacrifier aux idoles, tenta de renverser l'autel et pour cela fut arrêté, torturé et finalement décapité avec une épée. |
Saint Feuillen |
Martyrologe Romain : Près de Fosses dans le Brabant, vers 655, saint Feuillen, prêtre et abbé. D’origine irlandaise, frère et compagnon de saint Fursy, et toujours fidèle aux formes de vie monastique de son pays, il établit à Fosses et à Nivelles, un monastère double, l’un pour les hommes, l’autre pour les femmes et, en allant de l’un à l’autre, il fut assassiné par des brigands. |
Martyrologe Romain : À Piotrkow Kujawski en Pologne, l’an 1939, le bienheureux Léon Nowakowski, prêtre de W?oc?awek et martyr. Pendant l’occupation du pays par le régime nazi, parce qu’il défendait la foi avec fermeté, il fut arrêté le 24 octobre et fusillé une semaine après, avec sept autres prêtres. |
|
Bse Marie de l'Immaculée de la Croix |
Supérieure générale de la Congrégation des « Sœurs de la Compagnie de la Croix » María de la Purísima de la Cruz (María Isabel Salvat y Romero, de son nom de naissance) naît le 20 février 1926 à Madrid, au sein d'une famille distinguée. Elle s'oriente vers la vie religieuse, et entre dans la Congrégation de la Sainte-Croix, fondée par sainte Ángela de la Cruz (1846-1932), qui a pour but de servir les pauvres, les malades et les orphelins. En 1952, elle prononce ses vœux perpétuels, et prend comme nom de religieuse : « Marie de l'Immaculée de la Croix ». Peu après, elle est nommée supérieure du couvent de Villanueva del Río y Minas. En 1977, elle est nommée Supérieure générale de la Congrégation de la Sainte-Croix. Elle passa de la terre au ciel, à Séville, le 31 octobre 1998, avec une grande réputation de sainteté ; elle est enterrée dans la crypte de la Maison-Mère de la Congrégation de la Sainte-Croix, à Séville. Son procès en béatification a été ouvert en 2004 ; elle a été déclarée vénérable le 17 janvier 2009. Mère Marie de l'Immaculée de la Croix a été béatifiée le 18 septembre 2010 par le card. Angelo Amato s.d.b., Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le pape Benoît XVI. |
Au 3ème siècle, St Quentin évangélisa le nord de la France : une ville s’éleva sur le lieu de son martyre. Quentin fut un de ces jeunes Romains qui, comme les saintsCrépin et Crépinien, vinrent prêcher l'Évangile dans les Gaules et y communiquer le trésor de la foi qu'ils avaient reçu. Amiens fut le centre de son apostolat.
Les miracles confirmaient son enseignement : - il traçait le signe de la Croix sur les yeux des aveugles, et ils voyaient ; - il faisait parler les muets, entendre les sourds, marcher les paralytiques. Ces éclatants prodiges excitaient l'admiration des uns et la haine des autres. Quentin fut bientôt dénoncé à Rictiovarus, gouverneur romain, et il comparut devant lui : « Comment t'appelles-tu ? lui demande Rictiovarus. “Je m'appelle chrétien. Mon père est sénateur de Rome ; j'ai reçu le nom de Quentin.- Quoi ! un homme de pareille noblesse est descendu à de si misérables superstitions ! - La vraie noblesse, c'est de servir Dieu ; la religion chrétienne n'est pas une superstition, elle nous élève au bonheur parfait par la connaissance de Dieu le Père tout-puissant et de son Fils, engendré avant tous les siècles. - Quitte ces folies et sacrifie aux dieux. - Jamais. Tes dieux sont des démons ; la vraie folie, c'est de les adorer. - Sacrifie, ou je te tourmenterai jusqu'à la mort. - Je ne crains rien ; tu as tout pouvoir sur mon corps, mais le Christ sauvera mon âme.” » Cette si généreuse confession est suivie de cruels supplices ; mais Dieu soutient son martyr, et l'on entend une voix céleste, disant : « Quentin, persévère jusqu'à la fin, je serai toujours auprès de toi. » En même temps, ses bourreaux tombent à la renverse. Jeté dans un sombre cachot, Quentin en est deux fois délivré par un ange, va prêcher au milieu de la ville, et baptise six cents personnes. Après de nouveaux et plus cruels supplices, Quentin eut la tête tranchée à Vermand, ville qui prendra son nom : Saint Quentin. Les assistants virent son âme s'envoler au Ciel sous la forme d'une blanche colombe. |
|
Bx Thomas Bellaci |
Martyrologe Romain : À Riéti en Sabine, l’an 1447, le bienheureux Thomas Bellaci de Florence, religieux de l’Ordre des Mineurs, qui, parti en Terre Sainte et en Éthiopie, subit pour le Christ, de la part des infidèles, la captivité et d’autres épreuves, enfin de retour dans sa patrie, il mourut en paix |
Saint Wolfgang |
En 994, évêque de Ratisbonne. Il garda toute sa vie son habit monastique revêtu d’abord à Einsiedeln. Etant à l’agonie il fit entrer son peuple, pour « qu’on voie dans sa mort ce qu’il faut craindre et éviter ». Martyrologe Romain : À Ratisbonne en Bavière, l’an 994, saint Wolfgang, évêque. Après avoir exercé les fonctions de maître d’école et fait profession monastique, il fut élevé à l’épiscopat, restaura la discipline du clergé et mourut humblement en visitant le territoire de Pupping. |
Irene, dans le siècle Mercede, Stefani a été une grande dame non seulement pour la communauté des sœurs de la Consolata, mais également pour l’Afrique. En 1911, à vingt ans, elle quitte pour toujours Anfo, où elle était déjà reconnue comme « l’ange des pauvres ». Vers la fin de 1914, elle accepte avec courage de partir pour le Kenya, en Afrique de l’Est, dans ce champ d’action que l’Église avait confié aux Missionnaires de la Consolata. Avant de quitter l’Italie elle prononça ainsi ses premiers vœux religieux : « Seulement Jésus dans ma vie! Tout avec Jésus! Toute à Jésus! Tout pour Jésus! » À la fin de la guerre, elle est retournée parmi les Kikuyu du Kenya où elle s’est consacrée à l’évangélisation avec une passion apostolique sans pareil. Elle était à la fois enseignante, infirmière, sage-femme et assistante sociale. Sœur Irene Stefani “Nyaatha” (‘mère miséricordieuse’) a été béatifiée le 23 mai 2015 à Nyeri, ville au centre du Kenya, non loin de la chapelle où elle fut inhumée. La cérémonie a été présidée par l’archevêque de Nairobi, le cardinal John Njue. Le cardinal Polycarp Pengo, archevêque de Dar es Salaam (Tanzanie), a prononcé, au nom du pape François (Jorge Mario Bergoglio), la formule de la béatification, en présence des évêques du Kenya et de nombreuses personnalités du pays. |
Date de dernière mise à jour : 2022-10-21
Ajouter un commentaire