15 février
Bx André Conti |
Frère convers chez les franciscains (? 1302) Fils du comte de Segni en Italie et neveu du pape Alexandre IV, il devint frère convers chez les franciscains et refusa le cardinalat qui lui était offert. Il fut béatifié en 1724. |
Bx Ange Scarpetti |
Martyrologe Romain : À Borgo San Sepolcro en Ombrie, vers 1306, le bienheureux Ange Scarpetti, prêtre de l’Ordre des Ermites de Saint-Augustin. Condisciple de saint Nicolas de Tolentino (? 1306) Natif de Bourg Saint Sépulcre (Borgo San Sepulcro) en Ombrie, il entra dans l'Ordre des Religieux de Saint Augustin et fut condisciple de saint Nicolas de Tolentino. Il avait une réputation de faiseur de miracles et l'on raconte même qu'il ressuscita un condamné à mort après l'exécution, afin de prouver son innocence. Son culte fut approuvé en 1921 |
Vén Anne-Madeleine Rémuzat |
religieuse à Marseille (? 1730) Madeleine Rémuzat, née à Marseille, le 29 novembre 1696, au sein d’une famille très pieuse... Sa vocation s’affermit au contact des malades et des pauvres. Le 2 octobre 1711, elle entre comme postulante au Premier monastère de la Visitation (les 'Grandes-Maries')... Anne-Madeleine prononce ses vœux perpétuels le 23 janvier 1713... La peste se déclare à Marseille en juillet 1720. En octobre, alors qu’elle est en adoration, le Christ lui fait entendre qu’à la faveur de ce fléau elle verra se réaliser l’institution d’une fête en l’honneur de son Cœur sacré... En 1724, elle reçoit l’empreinte des stigmates de la Passion, dont elle demande que les marques restent invisibles. Elle poursuit son apostolat auprès de personnes dont l’état de conscience lui est montré par voie surnaturelle, qu’elle contacte par l’intermédiaire des prêtres. Elle prie et souffre pour les pécheurs... Gravement malade fin janvier, elle meurt le 15 février 1730. Elle demande que l’on récite pour elle les Litanies du Sacré-Cœur qu’elle a composées. Le peuple de Marseille affirme que 'la Sainte est morte'. Des miracles lui sont attribués. Elle est considérée, à la suite de sainte Marguerite-Marie, comme l’apôtre, la propagandiste du Sacré-Cœur. L’Eglise l’a déclarée vénérable... |
France . Naissance: 02.02.1641 à Saint-Symphorien d'Ozon (Dauphiné) |
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Bx Conrad, |
fils du duc de Bavière et moine de Clairvaux. St Bernard l’autorisa à se rendre à Jérusalem, où il se mit au service d’un ermite . Il mourut à Bari, en 1226. Moine à Clairvaux (? 1125) Fils du duc de Bavière, il se fit moine à Clairvaux, attiré par saint Bernard. Au retour d'un pèlerinage en Terre Sainte, il reste sur les côtes de la Pouille en Italie du sud et c'est là qu'il terminera son pèlerinage terrestre quelques années plus tard. |
Saint Craton |
et ses compagnons martyrs (? 273) |
Saint Dalmate de Sibérie |
Ermite dans l'Oural (? 1697) L'Eglise russe fait mémoire de saint Dalmate de Sibérie. Né dans une famille de cosaques tatares récemment convertie, il servit dans l'armée impériale puis s'en fut ermite dans l'Oural. Il s'échappa d'un raid des tribus kalmoukes qui tuèrent presque tous les moines voisins |
Saint Décorose |
Martyrologe Romain : À Capoue en Campanie, après 680, saint Décorose, évêque. Évêque de Capoue (? v. 695) Evêque de Capoue pendant 20 à 30 ans il participa au concile de Rome en 680 avec le pape saint Agathon |
Saint Druthmar |
Bénédictin de Lorsch en Allemagne (? 1064) Il fut nommé abbé de la « Nouvelle Corbie », Corbey en Saxe par l'empereur saint Henri II. Grande était sa ferveur et sa fidélité à l'observance monastique, ce qui le conduisit au cœur de Dieu. |
Saint Euseus |
ermite dans le Piémont (14ème s.) Euseo ou Eusée. |
Saint Faranan |
Ermite à Allernan, en Irlande (? 590) Disciple de saint Colomba à Iona, en Ecosse, il était irlandais. Ce pourquoi il revint au pays pour y terminer sa vie d'ermite à Allernan où il mourut. |
Bx Fréderic Bachstein et 13 compagnons |
Prêtres et religieux o.f.m., martyrs |
Sainte Géorgie (Georgette) |
Martyrologe Romain : En Auvergne, au Ve ou VIe siècle, sainte Géorgie, vierge. Sainte Georgette Pénitente à Tours (5ème s.) Georgie ou Georgina. |
Saint Major de Gaza |
Soldat romain (3ème s.) Soldat, il se trouvait en garnison à Gaza en Palestine. Dénoncé comme chrétien, il fut battu de verges pendant 7 jours. Il en mourut en confessant sans défaillance sa foi. |
Prêtre [Juszewszczyzna (LT) 1° novembre 1888 - Bia?ystok (PL) 15 février 1975] Micha? Sopo?ko fut le confesseur et le père spirituel de sainte Faustine Kowalska. Par l'intermédiaire de la sainte, il se trouva lié directement au mystère des révélations de Jésus Miséricordieux. Il eut la tâche de réaliser les demandes, transmises à sainte Faustine par le Seigneur Jésus. Il y consacra toute sa vie ; il supporta nombre d'ennuis et souffrit beaucoup pour cette œuvre. L'abbé Sopo?ko était un homme de contemplation et d'action. Quand ses forces physiques s'atténuèrent, sa vie spirituelle devint primordiale comme en témoigne son Journal :« Il faut traiter la vieillesse comme une vocation à un plus grand amour de Dieu et du prochain. Dieu possède vis-à-vis des personnes âgées d'autres projets pour les enrichir, en leur révélant, les yeux dans les yeux, Sa vie intérieure. Le seul acte efficace dont nous sommes capables est la prière. Dans cette passivité active tout se prépare, tout se décide, tout se travaille. Le ciel sera pour nous le “Notre Père”. » Il remit son âme à Dieu le 15 février 1975 en la fête de saint Faustin, patron de sainte Faustine. Micha? Sopo?ko a été béatifié le 28 septembre 2008, à Bia?ystok en Pologne, par le cardinal Angelo Amato s.d.b., Préfet de la Congrégation pour la cause des saints, qui représentait le pape Benoît XVI. |
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Martyrologe Romain : Commémoraison de saint Onésime, que l’Apôtre saint Paul a recueilli esclave en fuite, qu’il a engendré dans la foi du Christ alors que lui-même était en prison, comme il le dit dans sa lettre à Philémon. |
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Saint Quinide |
Martyrologe Romain : À Vaison en Provence, vers 578, saint Quinide, évêque. évêque de Vaison (? v. 579) Quenin ou Quinis. |
Saint Saturnin |
Martyr à Terni en Ombrie (3ème s.) De nombreux fidèles partagèrent alors le sort de leur évêque après avoir imité sa fidélité à Jésus-Christ. |
Saint Sévère |
Martyrologe Romain : Dans la province de Valérie dans les Abruzzes, au VIe siècle, saint Sévère, prêtre, qui, comme l’écrit le pape saint Grégoire le Grand, à force de larmes ramena un cadavre à la vie. Honoré au diocèse de Trèves (6ème s.) Il vivait dans la province des Abruzzes en Italie. Ses reliques furent apportées à Trèves au temps de l'empereur Othon Ier au Xe siècle. |
Vers 1045,, prêtre d’York, qui vint comme missionnaire en Suède, dont il est l’un des saints patrons. Martyrologe Romain : À Wexiow en Suède, vers 1045, saint Sigfrid, évêque, qui partit d’Angleterre, annonça avec zèle l’Évangile aux peuples du Gotland et baptisa dans le Christ le roi Olav lui-même. Bénédictin originaire de la région d'York en Angleterre (? 1045) Il fut invité par le roi Olaf de Norvège à évangéliser à nouveau la Suède redevenue païenne après l'évangélisation de saint Anschaire. Le pape Adrien IV le canonisa. |
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Saint Théognios |
Evêque de Béthanie, moine en Palestine (? 523) Originaire de Cappadoce. Entré jeune dans la vie monastique, il se rendit à Jérusalem en pèlerinage au monastère de Gethsémani. Lorsqu'il reçut le soin de le gouverner, il l'accomplit avec sagesse. Puis il se retira dans une laure proche du Jourdain. C'est là qu'il offrit sa vie quelques années plus tard. |
Saint Walfrid |
ermite († VIIIe s.) Après avoir eu et élevé cinq enfants, il décida, de concert avec son épouse, de mener la vie monastique à Palatiole en Toscane. |
Saint Winaman |
Martyr suédois (? 1040) Martyr à Växjö en Suède avec deux de ses compagnons, saint Sunamann et saint Unamann, bénédictins anglais venus à l'appel de saint Siegfried |
A Brescia, le martyre de St Faustin et de Ste Juventia, dont le nom fut ultérieurement transformé en Jovite. Faustin (Faustino) et son frère Jovite (Giovita) étaient de fervents chrétiens, appartenant à une famille distinguée de Brescia. Alors que l'évêque de la cité s'était caché au plus fort de la persécution, ils se mirent à prêcher hardiment l'évangile. Arrêtés, ils furent présentés à l'empereur Adrien en personne : celui-ci essaya de les faire renoncer à Jésus-Christ. N'y parvenant pas il les fit décapiter. La ville de Brescia qui possède leurs reliques les honore comme ses principaux patrons : une église fort ancienne est dédiée sous leur vocable. Faustin et Jovite, nés à Brescia, étaient frères et de noble origine. Pendant la persécution de Trajan, ils furent conduits, chargés de liens, dans plusieurs villes d’Italie, et eurent à y souffrir les plus cruels tourments, mais ils persévérèrent avec courage à confesser la foi chrétienne. Ils restèrent longtemps étroitement emprisonnés à Brescia, et ils y furent aussi exposés aux bêtes et jetés dans le feu, mais les flammes, comme les bêtes, les laissèrent sains et saufs. De Brescia on les mena enchaînés ensemble à Milan, où leur foi, éprouvée par les plus rigoureux tourments, brilla de plus en plus au milieu des souffrances, comme l’or devient plus éclatant par le feu. Envoyés ensuite à Rome, Faustin et Jovite y furent fortifiés par le Pape Évariste, et là encore cruellement torturés. Ayant été conduits à Naples, et de nouveau tourmentés de diverses manières en cette ville, on les jeta pieds et mains liés à la mer ; mais ils furent délivrés miraculeusement par les Anges. Leur constance au milieu de tant de supplices, et la vertu de leurs miracles convertirent un grand nombre de personnes à la foi du Christ. En dernier lieu, ramenés à Brescia au commencement de l’empire d’Adrien, ils eurent la tête tranchée et obtinrent ainsi la glorieuse couronne du martyre. |
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saints Isice, Josippe, Zosime, Baral et Agapè |
Martyrologe Romain : À Antioche de Syrie, au début du IVe siècle, les saints martyrs Isice, prêtre, Josippe, diacre de Rome, Zosime, Baral et Agapè, vierge. |
Date de dernière mise à jour : 2022-02-09
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