09 septembre
Saint Ciaran ouKiéran |
Martyrologe Romain : Au monastère de Clonmacnoise, sur la rive du Sannon en Irlande, au VIe siècle, saint Ciaran ouKiéran, prêtre et abbé, fondateur de ce monastère. |
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- En 1929, frère coadjuteur jésuite : 40 ans il fut le portier de l’Université de Deusto, en Espagne. On l’avait surnommé “Frère Courtoisie” ! Martyrologe Romain : À Bilbao dans la province basque de Biscaye, en 1929, lebienheureux François Garate Aranguren, religieux de la Compagnie de Jésus, qui, pendant quarante-deux ans, s’acquitta, avec une humilité toute chrétienne, de l’office de portier. |
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Martyrologe Romain : York en Angleterre, en 1587, le bienheureux Georges Douglas, prêtre etmartyr. Maître d’école d’origine écossaise, ordonné prêtre à Paris, il subit, sous la reine Élisabeth Ière, le supplice de la pendaison, parce qu’il avait persuadé d’autres personnes d’embrasser la foi catholique. |
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on vénère sous ce nom deux martyrs : l’un faisait partie de la maison de César et fut mis à mort sous Dioclétien, en 303, à Nicomédie en Turquie ; l’autre est un martyr romain. Martyrologe Romain : À Rome, au cimetière “Aux deux lauriers” sur la voie Labicane, après 203, saint Gorgon, martyr. |
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En 1864, “le St Pierre Claver de l’île Maurice” où il est vénéré comme un héros national. Né dans le diocèse d’Evreux, il était médecin , mais “devenu prêtre je pourrai faire plus de bien” se dit-il. Il passa les 23 dernières années de sa vie à l’Ile Maurice, où il se fit pleinement l’ami et le serviteur de tous, spécialement des Noirs, des malades et des pauvres. Martyrologe Romain : À Port-Louis, dans l’île Maurice de l’Océan Indien, en 1864, le bienheureux Jacques-Désiré Laval, prêtre. Après quelques années d’exercice de la médecine, il se fit missionnaire dans la Congrégation du Saint-Esprit et amena les noirs, récemment délivrés de l’esclavage, à la liberté des enfants de Dieu. |
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Saint Hyacinthe |
Martyrologe Romain : En Sabine au trentième kilomètre de Rome, saint Hyacinthe, martyr. |
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Sœur de la Miséricorde |
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Martyrologe Romain : En Castille, au XIIe siècle, la bienheureuse Marie Toribia, surnommée de la Cabeza, épouse de saint Isidore le laboureur, qui mena avec lui une vie humble et laborieuse. |
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Saint Omer |
Au 7e siècle, il était normand et moine de Luxeuil ; la volonté de Dagobert en fit l’évêque de Thérouanne. Pour le seconder dans ce pays païen, St Omer fit venir trois autres normands qui fondèrent le monastère de St-Bertin. |
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Prêtre et fondateur des : « Sœurs de Notre Dame du Calvaire » ******
ierre Bonhomme naît à Gramat, petit village du Quercy, à quelques kilomètres de Rocamadour, le 4 Juillet 1803, dans le modeste foyer d’un artisan coutelier. Son enfance vécue dans une famille chrétienne l’imprègne tout jeune de la vie de prière. Après une solide formation au petit séminaire de Montfaucon (Lot) il s’inscrit au Collège royal de Cahors où il obtient le diplôme de bachelier, puis il entre au grand séminaire de Cahors. En 1832, 109 jeunes filles s’engagent dans cette association ; leur dynamisme spirituel, les services rendus aux plus pauvres transformeront Gramat. Le Père Bonhomme veut ouvrir un hospice pour les personnes âgées souvent abandonnées, sans soins. Il en parle à Hortense Pradel, l’une des Enfants de Marie qui l’écoute et pense : « que je serais heureuse d’être sœur dans cet hospice ! ». Elle en parle à sa sœur, à ses amies, et ce projet mûrit. Pierre Bonhomme, témoin de Foi et d’espérance pour le monde d’aujourd’hui, pèlerin infatigable du sanctuaire de Rocamadour. Le Père Bonhomme, le 8 Septembre 1861 à Gramat, quitte sa demeure terrestre pour la rencontre avec Dieu. Aujourd’hui les Sœurs de Notre Dame du Calvaire continuent à marcher dans les pas du Père Bonhomme. Elles vont en pèlerinage à Rocamadour prier Marie, lui confiant joies et peines de tous. La Congrégation ne cesse de se développer en France, au Brésil, en Argentine, en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, en Guinée, aux Philippines, au Vietnam. Pierre Bonhomme a été béatifié, aété béatifié le 23 mars 2003, sur la Place Saint-Pierre de Rome, par Saint Jean-Paul II |
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En 1654, jésuite catalan, apôtre des Noirs déportés en Colombie : à l’arrivée des négriers, il accourait avec des vivres et des remèdes. « Nous devons leur parler avec nos mains avant d’essayer de parler avec nos lèvres ». Il prit soin cependant de former des interprètes africains pour catéchiser leurs frères noirs. Il avait, disait-il, fait plus de 300.000 baptêmes en 37 ans. ************** Pierre (Pedro) Claver Corberó naît à Verdú (Catalogne) le 25 juin 1581; sa naissance fut le fruit des prières de ses parents. À vingt ans, il entra au noviciat des jésuites. Il se lia avec le saint vieillard Alphonse Rodriguez, jésuite comme lui, et qui fut canonisé le même jour que lui, le 8 janvier 1888. Alphonse avait compris, d'après une vision, que Pierre Claver devait être un apôtre de l'Amérique ; il lui en souffla au cœur le désir, et le jeune religieux obtint, en effet, de ses supérieurs, de s'embarquer pour les missions du nouveau monde.
À son arrivée en Amérique, en 1610, il baisa la terre qu'il allait arroser de ses sueurs. Il se dévoua corps et âme au salut des esclaves, pénétra dans les magasins où on les entassait, les accueillit avec tendresse, pansa leurs plaies, leur rendit les plus dégoûtants services et s'imposa tous les sacrifices pour alléger les chaînes de leur captivité. Il en convertit, par ces moyens héroïques, une multitude incalculable. Quand fut venu le moment de ses vœux, Pierre Claver obtint d'y ajouter celui de servir les esclaves jusqu'à sa mort ; il signa ainsi sa formule de profession : « Pierre, esclave des nègres pour toujours ». Il fut ordonné prêtre en 1616. Les milliers d'esclaves de Carthagène étaient tous ses enfants ; il passait ses jours à les édifier, à les confesser, à les soigner. Il ne vivait que pour eux. Aux hommes qui lui demandaient à se confesser, il disait : « Vous trouverez des confesseurs dans la ville ; moi, je suis le confesseur des esclaves. » Il disait aux dames : « Mon confessionnal est trop étroit pour vos grandes robes ; c'est le confessionnal des pauvres négresses. » Le soir, épuisé de fatigues, asphyxié par les odeurs fétides, il ne pouvait plus se soutenir ; cependant un morceau de pain et quelques pommes de terre grillées faisaient son souper; la visite au Saint-Sacrement, la prière, les disciplines sanglantes, occupaient une grande partie de ses nuits. Que de pécheurs il a convertis en leur disant, par exemple : « Dieu compte tes péchés ; le premier que tu commettras sera peut-être le dernier ! » Pierre Claver multipliait les miracles avec ses actes sublimes de charité. En quarante-quatre ans d'apostolat, il avait baptisé plus de trois cent mille esclaves. À l’âge de 73 ans, le 8 septembre 1654, c'est pour lui l'heure de la Rencontre avec Celui auquel il a donné toute sa vie ! Pierre Claver a été béatifié le 16 juillet 1850 par le Bx Pie IX (Giovanni Maria Mastai Ferretti, 1846-1878) et canonisé, le 15 janvier 1888, par Léon XIII (Gioacchino Pecci, 1878-1903) qui, en 1896, l'a déclaré patron des missions. |
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Bse Séraphine Sforza |
Vers 1478, épouse infidèle d’un époux infidèle, elle fut par lui clôturée chez les Clarisses de Pésaro, près d’Ancône. Peu à peu, faisant de nécessité vertu, la jeune femme infusa à cette vocation forcée toute la sainteté et toute la joie d’une vocation authentique. Elle n’était sans doute pas de la “farine dont on fait les hosties”, mais vingt ans de vie religieuse en firent la sainte que Benoît XIV béatifia en 1754. |
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Saint Véran |
Au 5e siècle,fils de St Eucher, évêque de Lyon ; il fut lui-même évêque de Vence. |
Date de dernière mise à jour : 2018-09-08
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