01 septembre
Sainte Aleth, |
En Bourgogne, mère de St Bernard ; à leur naissance, elle offrit au Seigneur, chacun de ses 7 enfants qui tous furent moines. Elle mourut vers 1107, un Ier septembre, fête de St Ambrosinien en l’honneur de qui elle invitait à sa table le clergé du pays. |
Sainte Anne |
la prophétesse , à Jérusalem, : elle ne quittait pas le temple, servant Dieu jour et nuit, dans le jeûne et la prière. |
Saint Constance |
Martyrologe Romain : Près d’Aquin dans le Latium, vers 570, saint Constance, évêque, dont le pape saint Grégoire le Grand loue le don de prophétie. |
Sainte Douceline |
beaucoup de Dames provençales désireuses de contemplation tout en demeurant dans le monde, la rejoignirent au béguinage d’Hyères, puis à Marseille où elle mourut en 1274. |
Saint Gédéon |
l’un des 12 Juges, il défendit Israël contre Madian ; conscient de la royauté de Dieu sur son peuple, il refusa celle que lui offraient les hommes. Josué et Gédéon procurèrent le salut du peuple, car, dit la Bible, « Dieu était avec eux ». |
ermite : sur les rives du Rhône, près de Nîmes, : De ce saint, très populaire au Moyen-Age, nous ne savons rien, pas même le siècle où il vécut. Il est cependant l’un des « 14 Saints Auxiliaires » reconnus comme particulièrement secourables à qui les invoque. ***** Ermite (640-720) Gilles était d'Athènes. Son éducation fut brillante, comme elle devait être pour un jeune homme de race royale. On lui a attribué de remarquables ouvrages de médecine et de poésie ; mais sa science était surtout celle des saints.
Un jour qu'il se rendait à l'église, il rencontre un pauvre mendiant malade et presque nu, qui lui demande l'aumône. Ému de compassion, Gilles se dépouille de sa riche tunique et la lui donne : à peine le malheureux en est-il revêtu, qu'il se trouve en parfaite santé. Le jeune homme comprit, à ce miracle, combien l'aumône est agréable à Dieu. Peu de temps après, à la mort de ses parents, il distribua tous ses biens aux pauvres et se voua lui-même à la pauvreté, à la souffrance et à l'humilité. Mais Jésus-Christ ne se laissa pas vaincre en générosité, et les miracles se multiplièrent tellement sous les pas du saint jeune homme, qu'il en fut effrayé lui-même et se résolut à quitter son pays et à faire voile pour l'Occident. Pendant la traversée, il calma par ses prières une effroyable tempête et débarqua bientôt à Marseille, où il guérit la fille de son hôtesse. Mais il lui fallait la solitude ; il la trouva dans une grotte sauvage, où, dégagé de toute préoccupation terrestre, il ne vécut que pour Dieu. Ses jours, ses nuits presque entières s'écoulaient dans une prière continuelle, dans l'adoration et la contemplation. Il jeûnait tous les jours ; le lait d'une biche de la forêt, que Dieu lui envoyait, suffisait à son entretien. Depuis trois ans, Gilles habitait ce lieu solitaire, quand un jour Wamba, roi des Visigoths d'Espagne, vint chasser jusque dans les forêts voisines avec une suite nombreuse. La biche qui nourrissait le saint ermite, poursuivie par les chiens allait succomber ; enfin, exténuée de fatigue, elle vint se jeter aux pieds de son maître. Gilles, ému jusqu'aux larmes, pria le Seigneur de protéger la vie de l'innocent animal. Une flèche, lancée par un chasseur, vint frapper la main de l'homme de Dieu et lui fit une blessure qui ne devait jamais guérir. La biche était sauvée, car le roi, plein d'admiration pour cet homme qui lui apparaissait avec l'auréole de la sainteté sur le front, donna ordre de cesser la poursuite. Il fit même, à la demande de Gilles, bâtir là un monastère. Après avoir dirigé quelques temps ce monastère, Gilles chercha de nouveau la solitude, et revint enfin terminer ses jours parmi ses chers religieux. Martyrologe Romain : Au pays de Nîmes dans la province de Narbonne, au VIe ou VIIe siècle, saint Gilles, dont le nom a été donné à la ville qui s'est formée ensuite dans la vallée flavienne, où lui-même aurait érigé un monastère et terminé sa vie. |
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Martyrologe Romain : À Florence en Toscane, vers 1367, la bienheureuse Jeanne Soderini, vierge du Tiers-Ordre des Servites de Marie, célèbre pour ses pratiques d’oraison et d’austérité. |
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Vers 1200 avant le Christ, : il est vainqueur d’Amalec quand Moïse priait ; il accompagne Moïse sur le Sinaï, explore la Terre Promise et y introduit Israël après le passage du Jourdain. Il inspire le pacte de Sichem qui scella l’unité d’Israël dans la foi en Yahvé. Par son nom et sa mission il préfigure Jésus. ****** Martyrologe Romain : Commémoraison de saint Josué, fils de Noun, serviteur du Seigneur, vers 1220 avant le Christ. Quand Moïse lui eut imposé les mains, il fut rempli de l’esprit de sagesse et, après la mort de Moïse, il fit passer le peuple d’Israël à travers le lit du Jourdain et l’introduisit, d’une manière merveilleuse, dans la terre de la promesse. |
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Martyrologe Romain : À Venise, en 1262, la bienheureuse Julienne de Collalto, abbesse bénédictine. |
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Évêque († 623) Moine de Lérins, saint Loup devint évêque de Sens en 609. Calomnié, il fut chassé de son siège sous le roi Clotaire. Rappelé par ses diocésains, il se vit entièrement réhabilité. |
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Saint Prisque |
Martyrologe Romain : À Capoue en Campanie, sur la voie Aquaria, vers le IVe siècle, saint Prisque, martyr. |
Saint Sixte de Reims |
Martyrologe Romain : À Reims, au IIIe siècle, saint Sixte, qui est regardé comme le premier évêque de la cité. |
Martyrologe Romain : À Todi en Ombrie, vers le IVe siècle, saint Térentien, évêque |
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Vierge o.c.d. (1747-1770) |
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Martyrologe Romain : À Zurzach sur le Rhin, dans le canton d’Argovie en Suisse, au IVe siècle, sainte Vérène, vierge. |
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Saint Victeur |
Martyrologe Romain : Au Mans, vers 490, saint Victeur, évêque, dont saint Grégoire de Tours rapporte les miracles. |
Saint Vincent de Dax |
Martyrologe Romain : À Dax, vers le IVe siècle, saint Vincent, célébré comme évêque et martyr. |
(† 1936) En Espagne, dans la persécution menée contre l’Église au cours de la guerre civile, en 1936, seize bienheureux martyrs : |
Date de dernière mise à jour : 2021-08-21
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