Passioniste de Polynésie

23 octobre

Sant allucio di campugliano in valdinievole Saint Allucio

Martyrologe Romain : À Compugliano en Toscane, l’an 1134, saint Allucio, homme vraiment pacifique, directeur d’un hospice pour les pauvres et les pèlerins, et libérateur des captifs.

Beato arnoldo jules nicolas reche aBx Arnould RECHE
 

: RECHE   Jules Nicolas
Nom de religion: Arnould
 France  Naissance: 02.09.1838  à Landroff (Loraine)   Mort: 23.10.1890
: Frère des Ecoles Chrétienne en 1862. Enseigne à Reims (1863-77). Puis maître des novices. Meurt d'une congestion cérébrale.
Béatification: 01.11.1987  à Rome  par Jean Paul II

- A la Toussaint 1987, frère des Écoles Chrétiennes, était proclamé bienheureux. Né près de Metz, il fut valet de ferme et charretier. Vivant aussi près d’une communauté de frères, il les observa 3 ans, au bout desquels il entra chez eux. Il mourut en 1890

***************

Arnould, dans le monde Jules-Nicolas, Rèche naît à Landroff, en Moselle, le 2 septembre 1838. Il était le fils aîné d'une famille pauvre qui comptait neuf enfants.

Il quitte l’école de bonne heure pour travailler comme palefrenier, cocher et enfin charretier au service d’une entreprise de construction. Jeune homme il est connu parmi ses compagnons de travail pour sa piété et son autodiscipline.

À l'âge de 21 ans, il participa à la construction de l'église Notre-Dame de Charleville, dans les Ardennes. C'est à cette occasion qu'il connut les Frères des Écoles Chrétiennes et suivit leurs leçons. Il souhaita ensuite partager leur vie. 
Âgé de 24 ans, il entre chez les Frères à Thionville, où il devient Frère Arnould, suite à sa prise d'habit le 23 décembre 1862.

Il est ensuite envoyé à Reims, ville où il restera jusqu'à la fin de ses jours. Comme étudiant, tout d'abord et, ensuite comme surveillant, professeur et directeur de Noviciat. Il avait 39 ans, lorsqu'en 1877, il fut nommé directeur du Noviciat de Reims.

Auparavant, pendant la guerre Franco-Prussienne de 1870, il travaille avec d’autres Frères comme infirmier pour répondre aux besoins médicaux et spirituels des blessés des deux camps. Il reçoit pour cela la croix de bronze. 
On parle de petits miracles de guérison, aussi bien que de son aptitude étrange à discerner les pensées secrètes. Frère Arnould est connu pour sa dévotion à la Passion du Sauveur et sa docilité au Saint Esprit, qui, comme il le fait souvent remarquer “fortifie le cœur des hommes”.

Vivant d'une façon austère, se privant souvent des choses essentielles, frappé de congestion cérébrale au matin du 23 octobre 1890, il se traîna encore jusqu'à la chapelle, d'où, après une rapide et suprême visite à son Bien-aimé Seigneur, il fut conduit à sa cellule. Le soir du même jour il quitta le monde et s'en alla vers le Père miséricordieux. 
Inhumé à Reims, au Cimetière du Nord, l'une des plus anciennes nécropoles de France, dans la concession des Frères des Écoles Chrétiennes, sa tombe est continuellement visitée et le nombre des ex-voto ne cesse d'augmenter d'année en année.

Tous ceux qui connurent le frère Arnould: prêtres, religieux, séculiers l'ont vénéré comme saint. 
Depuis sa mort, cette réputation de sainteté a persisté jusqu'à nos jours. Bien des personnes l'invoquent avec confiance et plusieurs affirment avoir reçu des faveurs remarquables par son intercession.
En 1938, le Cardinal Suhard, archevêque de Reims, constitua un Tribunal ecclésiastique chargé de préparer la glorification du Frère Arnould.

Arnould (Jules-Nicolas) Rèche a été proclamé Bienheureux le Ier novembre 1987, par Saint Jean-Paul II (Karol Józef  Wojty?a, 1978-2005).

Saint Benoît du Poitou

Martyrologe Romain : Au pays d’Herbauges sur le territoire du Poitou, au IXe siècle, saint Benoît, prêtre.

Sainte Éthelflède 
(Elflède)

Martyrologe Romain : À Romsey en Angleterre, sainte Éthelflède (Elflède), qui fut consacrée à Dieu dès l’enfance dans le monastère construit par son père Ethelwold et, devenue abbesse, elle le dirigea parfaitement jusqu’à la vieillesse.

 Bx Géraud

 En 1120,  il naquit à Salles en Périgord, . Il fonda 7 monastères d’hommes (dont Cadouin et les Chateliers) et 2 pour les moniales : plusieurs, subissant l’attraction cistercienne, s’agrégèrent à cet Ordre.

Bx Guillaume

 le second abbé du monastère de Grandselve, près de Toulouse ; et le premier cistercien. Il mourut en 1149.

 Saint Ignace de Constantinople

Martyrologe Romain : À Constantinople, en 877, saint Ignace, évêque, qui subit de multiples affronts et fut envoyé en exil par l’empereur Bardas, à qui il reprochait d’avoir répudié son épouse, mais le pape saint Nicolas Ier lui fit restituer son siège et il s’endormit enfin dans la paix

Beato giovannangelo porro aBx Jean-Ange Porro

Martyrologe Romain : À Milan en 1506, le bienheureux Jean-Ange Porro, prêtre de l’Ordre des Servites de Marie. Prieur du couvent de la ville, il se tenait, tous les jours de fête, à la porte de l’église ou parcourait les bourgs pour rassembler les enfants et leur enseigner la doctrine chrétienne.

CapistranSaint Jean de Capistran

En 1456, Son destin est européen ; d’origine danubienne, il est le 1er magistrat de la cité de Pérouse. Converti à la vie franciscaine, il se fait, par sa lucidité et son éloquence, le défenseur de l’Europe contre le péril turc.

*******

Jean, né  à Capestrano, dans les Abruzzes (région de l’Italie centrale), le 24 juin 1386, était fils d'un gentilhomme français qui avait suivi à Naples le duc d'Anjou, devenu roi de ce pays. Après ses humanités, il fut envoyé à Pérouse pour y étudier le droit canonique et civil. On le pourvut d'une place de judicature, et un homme riche et noble, charmé de ses qualités éminentes, lui donna sa fille en mariage. Tout lui souriait dans le monde, quand tout à coup s'évanouirent ces flatteuses espérances.

Dans une guerre contre le roi de Naples, la ville de Pérouse le soupçonna de prendre le parti de ce prince ; on le fit arrêter. Malgré son innocence et son éloquence à se défendre, il fut jeté en prison. Sur ces entrefaites sa femme étant morte, il résolut de ne plus servir que Dieu. 

Il vendit tous ses biens, paya sa rançon, distribua le reste aux pauvres, et se réfugia chez les franciscains, au monastère du Mont, près de Pérouse. Le gardien, craignant que cette vocation ne fût l'effet d'un dépit passager plutôt que d'un mouvement de la grâce, voulut l'éprouver. Il lui ordonna de faire le tour de la ville de Pérouse dont il avait été gouverneur, monté à rebours sur un âne, couvert d'un mauvais habit et la tête coiffée d'un bonnet de carton où étaient écrits divers péchés. Après une telle épreuve, les humiliations du noviciat ne lui coûtèrent plus.

On lui donna pour maître un simple frère convers, à la direction duquel Jean se soumit avec la simplicité d'un enfant. Il fut traité par lui avec dureté : « Je rends grâces au Seigneur, disait-il plus tard, de m'avoir donné un tel guide ; s'il n'eût usé envers moi de pareilles rigueurs, jamais je n'aurais pu acquérir l'humilité et la patience. »

Jean fut renvoyé par deux fois du noviciat comme incapable de remplir jamais aucun emploi dans la religion. Il resta jour et nuit à la porte du couvent, souffrant avec joie l'indifférence des religieux, les railleries des passants et les mépris des pauvres qui venaient demander l'aumône. Une persévérance si héroïque désarma la sévérité des supérieurs et dissipa leurs craintes. Jean, reçu de nouveau, fut enfin admis à la profession.

Dès lors sa vie fut admirable, il vivait uniquement de Jésus sur la Croix. Embrasé d'amour pour Dieu, il faisait de sa vie une oraison continuelle : le Crucifix, le Tabernacle, l'image de Marie, le jetaient dans l'extase : « Dieu, disait-il, m'a donné le nom de Jean, pour me faire le fils de Marie et l'ami de Jésus. »

Ordonné prêtre, Jean fut appliqué au ministère de la parole. Ses paroles produisaient partout des conversions nombreuses. Une secte de prétendus moines, les Fraticelli, dont les erreurs et les mœurs scandalisaient l'Église, fut anéantie par son zèle et sa charité. Le pape Eugène IV, frappé des prodigieux succès de ses discours, l'envoya comme nonce en Sicile ; puis le chargea de travailler, au concile de Florence, à la réunion des Latins et des Grecs. Enfin il le députa vers le roi de France, Charles VII.

Ami de saint Bernardin de Sienne, il le défendit, devant la cour de Rome, contre les calomnies que lui attirait son ardeur pour la réforme de son Ordre ; il l'aida grandement dans cette entreprise, et il alla lui-même visiter les maisons établies en Orient.

Nicolas V l'envoya, en qualité de commissaire apostolique, dans la Hongrie, l'Allemagne, la Bohème et la Pologne. Toutes sortes de bénédictions accompagnèrent ses pas. Il ramena au bercail de l'Église un grand nombre de personnes, et convertit une quantité prodigieuse de juifs et de musulmans.

À cette époque, Mahomet II menaçait l'Occident d'une complète invasion, tenait Belgrade assiégée, il se promettait d'arborer le croissant dans l'enceinte même de Rome. Le pape Calixte III chargea saint Jean de Capistran de prêcher une croisade : à la voix puissante de cet ami de Dieu, une armée de 40 000 hommes se leva ; il lui trouva pour chef Huniade, un héros, et il la conduisit à la victoire.

Étant à trois journées de marche des Turcs, tandis qu'il célébrait la Messe en plein air dans les grandes plaines du Danube, les témoins ont rapporté qu'une flèche partie d'en haut vint, pendant le Saint Sacrifice, se placer sur le corporal. Après la Messe, Jean lut ces mots écrits en lettres d'or sur le bois de la flèche : « Par le secours de Jésus, Jean de Capistran remportera la victoire. » Au fort de la mêlée, il tenait en main l'étendard de la Croix et criait : “Victoire, Jésus, victoire !” Belgrade fut sauvée. C'était le 23 octobre 1456.

Trois mois après, Jean de Capistran, ayant prononcé ces paroles du Nunc dimittis : « C'est maintenant, Seigneur, que vous laisserez mourir en paix votre serviteur » expira en disant une dernière fois : « Jésus ». Il avait soixante et onze ans.

Jean de Capistran a été canonisé le 16 octobre 1690 par le pape Alexandre VIII (Pietro Vito Ottoboni, 1689-1691).

 Saint Jean de Syracuse

Martyrologe Romain : À Syracuse en Sicile, vers 609, saint Jean, évêque, dont le pape saint Grégoire le Grand a loué les mœurs, la justice, la sagesse, le conseil avisé et le souci des biens de l’Église.

Beato giovanni bonoBx Jean le Bon

Martyrologe Romain : À Mantoue en Lombardie, l’an 1249, le bienheureux Jean le Bon, ermite. Dans sa jeunesse, il quitta sa mère et parcourut diverses régions d’Italie en exerçant le métier de jongleur et de bateleur, mais atteint d’une maladie grave à l’âge de quarante ans, il promit à Dieu d’abandonner le monde pour se donner entièrement au Christ et à l’Église et il fonda une Congrégation sous la Règle de saint Augustin.

saint Paul Tong
Viet Buong

Martyrologe Romain : À Tho-Duc en Annam, en 1833, saint Paul Tong Viet Buong, martyr. Capitaine de la garde de l’empereur Minh Mang, il devint chrétien et décida de se joindre aux prêtres des Missions étrangères de Paris comme soldat du Christ. Il fut dégradé et condamné à la décapitation.

Saint Romain

Martyrologe Romain : À Rouen, vers 644, saint Romain, évêque, qui détruisit les sanctuaires des païens, encore très fréquentés dans la cité, éleva les bons à un état meilleur et s’efforça de détourner les mauvais de leurs mauvaises actions.

Saint Séverin

Martyrologe Romain : À Cologne en Germanie, commémoraison de saint Séverin, évêque, vers l’an 400, estimé pour toutes ses vertus.

San severino manlio boezioSaint Séverin Boèce

Martyrologe Romain : Commémoraison de saint Séverin Boèce, martyr en 524 ou 525. Célèbre par sa science et ses écrits, il fut détenu en prison, où il écrivit son traité “Sur la consolation de la philosophie” et servit Dieu avec droiture jusqu’à la mort que lui infligea le roi Théodoric, à Ticinum [Pavie] en Lombardie.

 Saint Théodoret

 

Martyrologe Romain : À Antioche de Syrie, vers 362, saint Théodoret, prêtre et martyr, qui fut, dit-on, arrêté par l’impie Julien, comte d’Orient et, comme il persistait à confesser le Christ, fut conduit au martyre.

 beati-martiri-di-inghilterra-galles-e-scozia-a.jpgBx Thomas Thwing

 Martyrologe Romain : À York en Angleterre, l’an 1680, le bienheureux Thomas Thwing, prêtre et martyr. Sous le roi Charles II et sur son ordre, accusé faussement de trahison, il fut pendu et démembré, obtenant ainsi la palme du martyre.

Beati martiri spagnoli passionisti di daimiel b 1BX- Ildefonse Garcia 
et 
Justinien Cuesta,  Euphrase de Celis,
Honorin Carracedo
Thomas Cuartero et son frère Joseph,
Beato leonardo olivera buera Léonard Olivera Buera
AmbrosioAmbroise Léon 
 
Florent-Martin 
et 
Honorat 

Martyrologe Romain : En Espagne dans la persécution menée contre l’Église au cours de la guerre civile, les bienheureux martyrs
- Ildefonse Garcia et Justinien Cuesta, prêtres, ainsi que Euphrase de Celis,Honorin Carracedo, Thomas Cuartero et son frère Joseph, religieux passionistes, fusillés à Manzanares en Nouvelle Castille ;
- dans la région de Valence, Léonard Olivera Buera, prêtre, à El Saler ;
- Ambroise Léon (Pierre Lorente Vicente), Florent-Martin (Alvare Ibañez Lazaro) et Honorat (André Zorraquino Herrero) frères des Écoles chrétiennes, à Benmaclet.

 Saints Jean,
et 
Jacques

 Martyrologe Romain : En Perse, l’an 344, les saints martyrs Jean, évêque d’Arbel, et Jacques, prêtre, qui, sous le roi Sapor II, furent jetés en prison et, au bout d’un an, sur l’ordre du roi, furent soumis à la question et décapités.

 saints Servand 
et 
Germain

 Martyrologe Romain : Près de Cadix en Espagne Bétique, au début du IVe siècle, les saints Servand et Germain,martyrs dans la persécution de Dioclétien.

11 Ursulines martyres de Valenciennes

- En 1794,  Elles furent guillotinées « pour fanatisme, trahison, émigration, port d’habit prohibé », et pour avoir réouvert leur école - leur mission d’Église - malgré l’interdiction des Révolutionnaires.

Bses Marie-Clotilde de Saint-François-Borgia 
(et cinq compagnes

Martyrologe Romain : À Valenciennes, en 1794, les bienheureuses Marie-Clotilde de Saint-François-Borgia(Clotilde-Josèphe Paillot) et cinq compagnes, vierges et martyres. Moniales, elles furent, sous la Révolution française, condamnées à mort en haine de la foi et, à l’admiration du peuple, montèrent à l’échafaud avec joie.

Date de dernière mise à jour : 2022-10-21

Ajouter un commentaire