11 novembre
Bse Alice Kotowska |
Bse Alice Kotowska, martyre (†1939) Martyrologe Romain : (Maria Edvige), professe de la Congrégation des Sœurs de la Résurrection, née à Varsovie, Pologne, le 20 novembre 1899, morte à Piasnika près de Wejherowo le 11 novembre 1939. |
Saint Barthélemy |
Martyrologe Romain : Au monastère de Grottaferrata sur le territoire de Tusculum près de Rome, en 1065, saint Barthélemy, abbé. Né en Calabre, il se mit tout jeune sous la direction de saint Nil, dont il écrivit la vie et qu’il assista, alors qu’il était déjà moribond, dans la fondation du monastère sous la Règle de saint Basile. Il sut ensuite l’affermir par sa direction et en faire une école de science et d’art. |
saint Bertuin |
Martyrologe Romain : Au monastère de Malonne dans le Brabant, au VIIe siècle, saint Bertuin, vénéré comme évêque et abbé. |
Saint Jean l'Aumonier |
Martyrologe Romain : Célèbre par sa miséricorde envers les pauvres : rempli de charité pour tous, il prit soin de faire construire des églises, des hospices et des orphelinats et s’efforça, avec la plus grande sollicitude, de soulager toute misère de la cité, rassemblant dans ce but les biens de l’Église et exhortant sans relâche les riches à faire preuve de bienfaisance envers les pauvres. |
Sainte Marine de Nagasaki |
Sainte Marine de Nagasaki, tertiaire dominicaine et martyre († 1634) Martyrologe Romain : Elle fut mise dans les fers, exposée en dérision en public pour sa chasteté et enfin brûlée vive sous le chef suprême Tokugawa Yemitsu à Nagasaki au Japon. |
Près de Tours, en 397, St Martin. Il était né dans une garnison hongroise et fut enrôlé dans la garde impériale. Encore catéchumène, il partagea son manteau avec un pauvre rencontré aux portes d’Amiens ; la nuit suivante il vit (en rêve ?) le Seigneur, avec son manteau sur les épaules. En 360, il fonde, avec St Hilaire, le premier monastère de France : Ligugé. Évêque de Tours, il fonde encore Noirmoutier. Évêque itinérant, il sillonne non les grand’routes, mais les petits chemins gaulois. Parmi les villages de France “dont les noms ressemblent à une litanie”, 500 portent son nom. ************* artin, né en Pannonie, suivit en Italie son père, qui était tribun militaire au service de Rome. Bien qu'élevé dans le paganisme, il en méprisait le culte, et comme s'il eût été naturellement chrétien, il ne se plaisait que dans l'assemblée des fidèles, où il se rendait souvent malgré l'opposition de sa famille.
Dès l'âge de quinze ans, il fut enrôlé dans les armées romaines, et alla servir dans les Gaules, pays prédestiné qu'il devait évangéliser un jour. Le fait le plus célèbre de cette époque de sa vie, c'est la rencontre d'un pauvre grelottant de froid, presque nu, par un hiver rigoureux. Martin n'a pas une obole ; mais il se rappelle la parole de l'Évangile : J'étais nu, et vous m'avez couvert. « Mon ami, dit-il, je n'ai que mes armes et mes vêtements. » Et en même temps, taillant avec son épée son manteau en deux parts, il en donna une au mendiant. La nuit suivante il vit en songe Jésus-Christ vêtu de cette moitié de manteau et disant à ses anges : « C'est Martin, encore simple catéchumène, qui m'a ainsi couvert. » Peu de temps après il recevait le Baptême. Charité, désintéressement, pureté, bravoure, telle fut, en peu de mots, la vie de Martin sous les drapeaux. Il obtint son congé à l'âge d'environ vingt ans. La Providence le conduisit bientôt près de saint Hilaire, évêque de Poitiers. Après avoir converti sa mère et donné des preuves éclatantes de son attachement à la foi de Nicée, il fonda près de Poitiers, le célèbre monastère de Ligugé, le premier des Gaules. L'éclat de sa sainteté et de ses miracles le fit élever sur le siège de Tours, malgré sa vive résistance. Sa vie ne fut plus qu'une suite de prodiges et de travaux apostoliques. Sa puissance sur les démons était extraordinaire. Il porta à l'idolâtrie des coups dont elle ne se releva pas. Après avoir visité et renouvelé son diocèse, l'homme de Dieu se sentit pressé d'étendre au dehors ses courses et ses travaux. Vêtu d'une pauvre tunique et d'un grossier manteau, assis sur un âne, accompagné de quelques religieux, le voilà qui part en pauvre missionnaire pour évangéliser les campagnes. Il parcourt presque toutes les provinces gauloises : ni les montagnes, ni les fleuves, ni les dangers d'aucune sorte ne l'arrêtent ; partout sa marche est victorieuse, et il mérite par excellence le nom de Lumière et d'Apôtre des Gaules. |
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Saint Ménas |
En Egypte, martyr, protecteur de son pays. En 1943, le Patriarche d’Alexandrie attribua à sa prière la victoire d’El-Alamein, qui, le jour de sa fête, stoppa l’avance des troupes allemandes vers l’Égypte. St Ménas est célèbre par l’icône, au Louvre, qui le représente, timide, son petit rouleau d’homélies en mains, mais fortifié par la main puissante du Christ. |
Saint Théodore Studite |
Martyrologe Romain : À Constantinople, en 826, saint Théodore Studite, abbé, qui fit de son monastère une école de sages, de saints et de martyrs, victime des persécutions perpétrées par les iconoclastes ; trois fois envoyé en exil, il eut en grand honneur les traditions des pères de l’Église et, pour l’exposé de la foi catholique, il écrivit les célèbres Institutions de la doctrine chrétienne.
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Véran |
Au 5e siècle, Son père était St Eucher, évêque de Lyon. Il fut élevé à Lérins, puis devint évêque de Vence. |
Bulgarie Naissance: 1900 Mort: 11.11.1952 |
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Bse Vincenza Maria Poloni |
Bienheureuse Vincenza Maria Poloni, religieuse et fondatrice des « Sœurs de la Miséricorde de Vérone » (1802-1855). |
Date de dernière mise à jour : 2020-11-10
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