26 octobre
Saint Amand |
Martyrologe Romain : À Strasbourg, au IVe siècle, saint Amand, qui fut, croit-on, le premier évêque de la cité. |
Angilramme |
En 791, alias Enguerrand, évêque de Metz et conseiller de Charlemagne, qui obtint pour lui du Pape la dispense de résidence et la dignité archiépiscopale, car, affirmait-il, “j’ai besoin de l’avoir constamment à mes côtés pour les besoins de l’Eglise”. |
Saint Aptone |
Martyrologe Romain : À Angoulême, commémoraison de saint Aptone, évêque, vers 562. |
Saint Béan |
Martyrologe Romain : En Écosse, vers 1022, saint Béan, premier évêque de Morthlac. |
Bernard |
né à Calvo en Catalogne, abbé cistercien des “Saintes Croix” puis évêque de Vich. Alors sévissaient les hérésies vaudoise et albigeoise; le Pape Grégoire IX le nomma inquisiteur. En vrai fils de St Benoît, il considérait la bonne administration du temporel comme un devoir de religion. Il mourut en 1243. |
En 1711, franciscain ; il n’entreprenait aucune oeuvre sans la placer sous la protection de Marie. ****** Bonaventura était fils d'un tailleur de la petite ville de Potenza (région Basilicate, Italie). Son enfance fut remarquable par sa gravité, sa piété, son horreur du mal et sa mortification ; tout annonçait en lui le futur saint.
Il entra, vers l'âge de quinze ans, chez les Frères Mineurs Conventuels ; ses supérieurs jugèrent bientôt qu'il était plutôt fait pour la science des saints que pour toute autre science. Son obéissance était celle d'un enfant. Un jour qu'il cherchait la clef de la sacristie : « Prenez un hameçon, lui dit en riant son supérieur, et repêchez-la, elle est au fond du puits. » Bonaventure le fit et retira la clef par le moyen indiqué. Dieu récompensa l'obéissant religieux par d'autres faits non moins extraordinaires. On admirait sa dévotion au très Saint-Sacrement. Il passait des jours et des nuits auprès du Tabernacle, et souvent il y était ravi en extase ; il avait soin que la lampe du sanctuaire ne s'éteignît jamais et veillât, pour ainsi dire, avec son âme. À sa première messe, ses traits parurent illuminés, ses yeux étaient baignés de larmes ; plusieurs fois dans sa vie il fut élevé au-dessus de terre pendant le Saint Sacrifice. Son zèle pour les âmes était si brûlant, qu'il disait un jour : « Si j'étais appelé auprès de quelques pauvres infirmes ou moribonds et que les portes fussent fermées, de façon que je ne susse par où sortir, je n'hésiterais pas à me jeter par la fenêtre pour aller sauver leur âme. » Les historiens du bienheureux Bonaventure signalent plusieurs miracles et prophéties qu'il fit de son vivant et qui le rendirent célèbre dans les différents pays où l'obéissance le fit passer. Un jour, ayant rencontré un lépreux, il le pressa sur son cœur, l'embrassa avec amour, et à l'instant même le lépreux fut délivré de son mal. Près de mourir, il demanda lui-même les sacrements, pria ses frères de lui pardonner tous les scandales de sa vie, et voulut descendre de son lit pour baiser les pieds de son supérieur ; l'obéissance l'en empêcha. Il se mit à chanter des cantiques, récita trois Ave Maria et rendit son âme à Dieu sans agonie.
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Martyrologe Romain : À Lastingham en Angleterre, l’an 664, saint Cedde, ordonné par saint Finian, évêque des Saxons de l’Est, il veilla à poser chez eux les fondements de l’Église. |
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Veuve Borz?cka (1833-1913) Béatifiée le 27 octobre 2007, à Rome, par le card. José Saraiva Martins, Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le Pape Benoît XVI. |
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Martyrologe Romain : À Reggio en Émilie, l’an 1484, le bienheureux Damien Furcheri, prêtre de l’Ordre des Prêcheurs, excellent prédicateur de l’Évangile. |
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Saint Eata |
Martyrologe Romain : À Hexham en Angleterre, vers 686, saint Eata, évêque. Formé par saint Aidan, c’était un homme d’une grande douceur et simplicité, qui dirigea plusieurs monastères et Églises et, revenu à Hexham, à la fois abbé et évêque, ne renonça jamais à sa manière de vivre ascétique. |
Evariste |
Entre 100 et 110, le Pontificat de St Evariste, 4ème évêque de Rome après St Pierre, St Lin, St Clet et St Clément. |
Martyrologe Romain : À Pavie en Lombardie, l’an 1229, saint Foulques, évêque, d’origine écossaise, homme pacifique, dévoué avec le plus grand soin à l’action pastorale et à la charité. |
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Saint Rustique |
Martyrologe Romain : À Narbonne, vers 461, saint Rustique, évêque. Il pensait déposer sa charge et mener sa vie dans le silence, mais le pape saint Léon le Grand le rappela à la sainte persévérance et, ainsi réconforté, il demeura fidèle jusqu’à la fin dans le travail qu’il avait entrepris. |
Saint Sigebaud |
Martyrologe Romain : À Metz, en 741, saint Sigebaud, évêque, fondateur de plusieurs monastères |
Saint Witta ou Albin |
Martyrologe Romain : Au monastère d’Hersfeld en Germanie, vers 786, la mise au tombeau de saint Witta ou Albin, premier évêque de Burhbourg. Anglais de naissance, il fut appelé avec d’autres par saint Boniface et envoyé en Hesse, pour y répandre la semence de la parole de Dieu. |
Saints Lucien et Marcien |
Magiciens, puis martyrs chrétiens († 250) Ils sont nés dans les ténèbres de l'idolâtrie, étaient passionnés pour l'étude de la magie. Mais ils se convertirent en voyant l'inutilité de leurs charmes sur une vierge chrétienne, et la défaite des malins esprits par la vertu du signe de la croix. Ils n'eurent pas plus tôt ouvert les yeux à la lumière de l’Évangile, qu'ils brûlèrent leurs livres de magie, au milieu de la ville de Nicomédie. S'étant purifiés de leurs crimes par le baptême, ils distribuèrent leurs biens aux pauvres , et se retirèrent dans la solitude, afin que par l'exercice de la prière et par la pratique de la mortification, ils pussent soumettre leurs passions, se fortifier dans les résolutions qu'ils avaient prises pour se mettre plus sûrement à l'abri du danger, et fuir plus facilement les tentations auxquelles on est exposé dans le monde, jusqu'à ce que leur vertu fût solidement établie. Lorsqu'ils eurent passé de la sorte un temps considérable, ils se mirent à prêcher Jésus-Christ aux gentils, pour les rendre participants de la grâce qu'ils avaient reçue. L'édit de Dèce contre les chrétiens ayant été publié en Bithynie, l'an 250, ils furent arrêtés et conduits devant le proconsul Sabin. Comme celui-ci demandait à Lucien de quelle autorité il prêchait Jésus-Christ, il lui répondit que tout homme devait faire ses efforts pour retirer ses frères de l'erreur. Marcien ne fit pas une profession moins généreuse de sa foi. Le juge ordonna qu'ils fussent étendus sur le chevalet. « Tandis que nous adorions les idoles, lui dirent Lucien et Marcien, nous avons commis plusieurs crimes, nous avons donné publiquement dans les abominations de la magie, sans qu'on nous fît subir aucun châtiment : mais nous devenons chrétiens, nous remplissons les devoirs de bons citoyens, et l'on nous applique à des tortures barbares. » Le proconsul les menaçant de les faire souffrir encore davantage, Marcien reprit : « Nous sommes prêts à souffrir tout ce qu'il vous plaira : mais nous ne renoncerons point au vrai Dieu, de peur qu'il ne nous précipite dans un feu qui ne s'éteindra jamais. » Il eut à peine fini de parler, que Sabin les condamna tous deux à être brûlés vifs. Ils allèrent avec joie au lieu de l'exécution. Ils expirèrent au milieu des flammes, en louant et bénissant le Seigneur. |
Saint Rogatien, et saint Félicissime |
Martyrologe Romain : Commémoraison de saint Rogatien, prêtre de Carthage, à qui, lors de la persécution de Dèce, saint Cyprien confia l’administration de son Église, et qui souffrit, ainsi que saint Félicissime, des épreuves et des emprisonnements pour le nom du Christ. |
Date de dernière mise à jour : 2022-10-21
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