Passioniste de Polynésie

10 octobre

beata-angela-maria-sofia-camilla-truszkowska.jpgBse Angèle Marie TRUSZKOWSKA

TRUSZKOWSKA    Sophie Camille
Nom de religion: Angèle Marie
Pologne   Naissance: 1825  à Kalisz
Mort: 10.10.1899  à Cracovie
Fondatrice des Sœurs de Saint-Félix de Cantalice. Elle insiste sur l'étroite union de la vie contemplative et de l'action apostolique.
Béatification: 18.04.1993  à Rome  par Jean Paul II

À Cracovie, en 1899, la bienheureuse Angèle-Marie(Sophie-Camille Truszkowska), vierge, qui fonda la Congrégation franciscaine de « Saint-Félix de Cantalice », pour venir en aide aux enfants abandonnés, aux pauvres et aux personnes marginalisées.

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Saint Cerbonius

Vers 575, saint Cerbonius, évêque à Populonia en Toscane. Comme le rapporte le pape saint Grégoire le Grand, alors que les Lombards dévastaient la région, il se retira dans l’île d’Elbe, montrant beaucoup de signes de sa vertu.

Saint Clair

 

A Nantes, au IVe siècle, saint Clair, vénéré comme le premier évêque de la cité.

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Saint Daniel COMBONI

 Italie - Soudan  Naissance: 15.03.1831  à Limone sul Garda (Brescia)  Mort: 10.10.1881  à Khartoum
Prêtre en 1854. Part pour l’Afrique en 1857. "Plan pour la Régénération de l'Afrique" présenté à Pie IX en 1864. Fonde l'Institut Missionnaire pour l'Afrique en 1867 (Comboniens), puis l'Institut des Pieuses Mères de la "Nigrizia" (Comboniennes) en 1872. Évêque en 1877: Vicaire apostolique de l'Afrique centrale.
Béatification: 17.03.1996  à Rome  par Jean Paul II
Canonisation: 05.10.2003  à Rome  par Jean Paul II

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Daniele Comboni naît à Limone sul Garda (Brescia - Italie) le 15 mars 1831, dans une famille de paysans au service d'un riche seigneur de la région. Son père Louis et sa mère Dominique sont très attachés à Daniel, le quatrième de huit enfants, morts presque tous en bas âge. Ils forment une famille unie, riche de leur foi et de valeurs humaines, mais pauvre en moyens économiques. C'est justement la pauvreté de la famille Comboni qui pousse Daniel à quitter son village pour aller fréquenter l'école à Vérone, auprès de l'Institut de l'Abbé Nicola Mazza.

Ordonné prêtre en 1854, il part trois ans plus tard pour le Soudan. Le choc initial est rude : climat, pauvreté. En assistant à la mort en Afrique d'un jeune compagnon missionnaire, Comboni, au lieu de se décourager, se sent encore plus intérieurement confirmé dans sa décision de continuer sa mission : « Ou l'Afrique ou la mort » dit-il. Pour cette grande entreprise du « salut des âmes les plus abandonnées du monde », il est prêt à tout, même s’il doit revenir en Italie momentanément pour raison de santé.

En 1864, alors qu'il était en prière sur la tombe de S. Pierre à Rome, Daniel est frappé par une illumination fulgurante qui le pousse à élaborer son fameux « Plan pour la régénération de l'Afrique », un projet missionnaire qui peut être synthétisé en une phrase: « Sauver l'Afrique par l'Afrique », fruit de sa confiance sans limites dans les capacités humaines et religieuses des peuples africains.

Plusieurs fois, le Père Comboni revient d’Afrique en Europe et, aidé par sa connaissance des langues, il visite plusieurs pays européens pour faire connaître la mission de l’Afrique Centrale.

Sa foi inébranlable dans le Seigneur et dans l'Afrique le conduit à fonder, respectivement en 1867 et en 1872, les Instituts masculin et féminin de ses missionnaires, connus plus tard sous le nom de « Missionnaires Comboniens » et de sœurs « Missionnaires Comboniennes ».

Entre temps, il assiste au Concile Vatican I comme théologien et fait signer par 70 Pères conciliaires une pétition en faveur de l’évangélisation de l’Afrique Centrale. Les souffrances ne lui sont pas épargnées, ni les calomnies, mais il reçoit la croix avec un esprit de foi.

Évêque de Khartoum en 1877, il affronte, avec ses missionnaires hommes et femmes, la sécheresse et la famine des années 1877-78 qui réduisent de moitié la population locale et épuisent le personnel et l'activité missionnaire.

En 1880, avec toujours le même courage, Mgr Comboni revient en Afrique, pour la huitième et dernière fois, à côté de ses missionnaires, décidé à continuer la lutte contre la plaie de l'esclavage et à consolider l'activité missionnaire avec les africains eux-mêmes. L'année suivante, éprouvé par la fatigue, les morts fréquentes et récentes de ses collaborateurs, l'amertume des accusations et des calomnies, le grand missionnaire tombe malade.

Le 10 octobre 1881, à l'âge de cinquante ans, marqué par la croix qui jamais ne l'a abandonné comme une épouse fidèle et aimée, il meurt à Khartoum, parmi ses gens, conscient que son œuvre missionnaire ne mourra pas. « Je meurs, dit-il, mais mon œuvre, qui est oeuvre de Dieu, ne mourra pas ».

Daniel Comboni a été beatifié le 17 mars 1996 et canonisé le 20 décembre 2002, sur la Place Saint-Pierre de Rome (dans les deux cas), par le même pape, saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojty?a, 1978-2005).

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Bx Édouard Detkens

Près de Linz en Autriche, l’an 1942, le bienheureux Édouard Detkens, prêtre de Varsovie et martyr, qui, dans la persécution nazie, fut arrêté, déporté à Sachsenhausen, puis à Dachau, enfin envoyé à la chambre à gaz.

François de Borgia

En 1572,  son hérédité ne le prédestinait pas à la sainteté (par son père, il était le petit-fils d’Alexandre VI, pape, sa mère était fille de l’archevêque de Saragosse)... Veuf, il assura l’avenir de ses 8 enfants, s’acquitta parfaitement de ses fonctions de vice-roi de Catalogne, et entra dans la Compagnie de Jésus : il en fut le 3e Général et « après St Ignace, il n’est personne à qui elle soit plus B

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saint Jean
de Brindlington

À Brindlington en Angleterre, l’an 1379, saint Jean, prêtre. Prieur du monastère de chanoines réguliers de Saint-Augustin, il brilla par son esprit de prière, son austérité et sa douceur.

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Bx Léon Wetmansk

Au camp de concentration de Dzialdowo en Pologne, l’an 1941, le bienheureux Léon Wetmanski, évêque et martyr.

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Bse María Catalina Irigoyen Echegaray

 

Bse María des Épousailles, religieuse (1848-1918)

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María Catalina (en religion : María des Épousailles) naît à Pamplona (Navarra, Espagne) le 25 novembre 1848. Ses parents, Tiburcio Irigoyen et Leonarda Echagaray étaient de très bons chrétiens ; ils eurent huit enfants, dont les deux derniers étaient jumeaux, et María était cette jumelle.
Baptisée dès le lendemain, elle grandit dans une ambiance saine où éclot bientôt sa vocation religieuse.

En 1878, elle demande son admission à l’Institut des Servantes de Marie, fondé par María Soledad Torrés Acosta (1826-1887, canonisée en 1970). Mais il lui est conseillé de patienter encore un peu, car elle doit s’occuper chez elle de plusieurs malades de sa famille.

Après avoir solutionné la situation familiale, elle peut enfin entrer chez les Religieuses, à Pamplona, le 31 décembre 1881, à l’âge de 33 ans.

Elle fait sa première profession dans la nouvelle Maison de Madrid le 14 mai 1883, puis la solennelle et définitive le 15 juillet 1889.

Tout le reste de sa vie se passe à Madrid, où elle part pleine d’entrain au domicile des malades pour les soigner, les consoler, les écouter patiemment. Elle fut si bienveillante pour chacun d’eux qu’ils la considéraient comme leur mère.

Après vingt-trois années de ce long apostolat, María Catalina fut destinée pendant sept autres années à la réception des dons pour l’Institut.

Les dernières années de sa vie, la pauvre ne pouvait plus se rendre utile matériellement, car les infirmités la crucifiaient de plus en plus, l’identifiant au Sauveur crucifié. Elle passa de la terre au ciel le 10 octobre 1918.

María Catalina Irigoyen Echegaray a été béatifiée le 29 octobre 2011, dans la cathédrale Santa María la Real de la Almudena à Madrid, par le card. Angelo Amato s.d.b., Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le Pape Benoît XVI.

Saint Paulin

Au 7e siècle,  bénédictin envoyé en renfort en Angleterre par St Grégoire le Grand. Sa prédication lui valut le titre d’ “Apôtre des 7 Royaumes anglo-saxons”. Pendant la réunion avec les plus cultivés des Païens, qui prépara leur conversion, l’un d’eux parabolisait ainsi : “Nous sommes comme l’oiseau qui, une nuit d’hiver, traverse une salle de festin illuminée et chaude, pour, ensuite, rentrer dans l’obscurité glacée : qu’y avait-il avant notre brève existence ? Qu’y aura-t-il après ? Si la nouvelle doctrine peut nous éclairer, suivons-la !”

Saint Pinytos

 Au 2e siècle,  évêque crétois de knossos : il écrivit à Denis, évêque des Corinthiens, rapporte St Jérôme, “une lettre fort élégante où il dit qu’il ne faut pas  nourrir les fidèles d’un lait sempiternel - ils mourraient avant d’avoir atteint l’âge de raison ! -  mais de leur donner une alimentation solide, pour qu’ils progressent jusqu’à la vieillesse spirituelle”.

 sainte Tanche

Près de Ramerupt, au pays de Troyes, au VIe ou VIIe siècle, sainte Tanche, vierge etmartyre, qui, dit-on, reçut la couronne de gloire pour avoir défendu sa virginité.

Sainte Telkide
ou  sainte Telchtilde

abbesse de Jouarre en région parisienne, au 7e siècle. Son sarcophage portait ces mots “Mère de ce monastère, elle invite ses filles, vierges consacrées à Dieu et portant leur lampe, à rejoindre le Christ leur Epoux”.

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sept premiers martyrs de l’Ordre de St François

  À Ceuta au Maroc, en 1227, la passion des sept premierssaints martyrs de l’Ordre des Mineurs: DanielSamuelAngeLéonNicolas et Hugolin, prêtres, ainsi que Domne, religieux. Envoyés par le frère Élie pour annoncer l’Évangile du Christ aux Maures, ils subirent des affronts, des chaînes, des coups et eurent enfin la tête tranchée, recevant ainsi la palme du martyre. Leur jeune gloire combla de fierté leur Père St François qui rêvait de leur sort, et suscita la vocation de St Antoine de Padoue.

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Sts Cassius, Florent

 À Bonn en Germanie, au IIIe siècle, les saints Cassius, Florent et plusieurs autres, martyrs

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Sts Eulampios
et Eulampie

 

À Nicomédie en Bithynie, au début du IVe siècle, les saints Eulampios et sa sœur Eulampie, martyrs de la persécution de Dioclétien.

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Sts Géréon et ses compagnons

 À Cologne en Germanie, vers le IVe siècle, les saints Géréon et ses compagnons, martyrs, qui avec courage soumirent leur cou à l’épée, pour la vraie religion.

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Sts Victor et Mallosus

 À Birten, dans la région de Cologne, vers le IVe siècle, les saintsVictoret Mallosus, martyrs, de la légion thébaine.

Date de dernière mise à jour : 2022-10-08